Essai sur les femmes
Leur destinée, Le mariage- un piège et une servitude, Beauté passagère, La dame en Occident, L'honneur des femmes…
Arthur Schopenhauer, Auguste Dietrich
- 14 páginas
- French
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Essai sur les femmes
Leur destinée, Le mariage- un piège et une servitude, Beauté passagère, La dame en Occident, L'honneur des femmes…
Arthur Schopenhauer, Auguste Dietrich
Información del libro
Dans son livre intitulé 'Essai sur les femmes', Arthur Schopenhauer explore de manière profonde et provocante la nature de la femme selon sa vision philosophique. En se basant sur son perspective pessimiste sur la vie et l'existence humaine, Schopenhauer aborde des thèmes tels que la nature de l'amour, la relation entre les sexes et la place de la femme dans la société. Son style littéraire est à la fois direct et incisif, incitant le lecteur à remettre en question ses propres convictions sur le sujet. Ce livre s'inscrit dans le contexte de la philosophie allemande du 19ème siècle, marqué par des débats intenses sur la nature de la réalité et de l'humanité. Arthur Schopenhauer, connu pour sa pensée visionnaire et controversée, a écrit 'Essai sur les femmes' pour exprimer ses opinions profondes sur la condition féminine. Ses expériences personnelles et sa vision du monde ont incontestablement influencé son analyse critique de la femme et de son rôle dans la société. Recommandé aux lecteurs intéressés par la philosophie, la sociologie et les études de genre, ce livre offre une perspective unique et stimulante sur un sujet intemporel.
Preguntas frecuentes
Información
… Le seul aspect de la femme révèle qu’elle n’est destinée ni aux grands travaux de l’intelligence, ni aux grands travaux matériels. Elle paie sa dette à la vie non par l’action mais par la souffrance, les douleurs de l’enfantement, les soins inquiets de l’enfance; elle doit obéir à l’homme, être une compagne patiente qui le rassérène. Elle n’est faite ni pour les grands efforts, ni pour les peines ou les plaisirs excessifs; sa vie peut s’écouler plus silencieuse, plus insignifiante et plus douce que celle de l’homme, sans qu’elle soit, par nature, ni meilleure ni pire.