Barlaam und Josaphat
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Barlaam und Josaphat

Neue Perspektiven auf ein europÀisches PhÀnomen

  1. 600 Seiten
  2. German
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Barlaam und Josaphat

Neue Perspektiven auf ein europÀisches PhÀnomen

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Information

Jahr
2015
ISBN
9783110383652

Pedro Bådenas de la Peña

La rĂ©daction byzantine de â€č Barlaam et Josaphat â€ș, considĂ©rations sur la paternitĂ© et la composition

RĂ©sumĂ©: La version byzantine de l’â€č Histoire de Barlaam et de Josaphat â€ș, douteusement attribuĂ©e Ă  Jean DamascĂšne, est le point de dĂ©part pour la diffusion de cette Vita dans presque toutes les autres littĂ©ratures. D’abord, la version en grec se rĂ©pand sur tout le monde orthodoxe, voilĂ  les diffĂ©rentes versions en langues slaves, premiĂšrement en ancien bulgare, aprĂšs en russe, en biĂ©lorusse, en serbe, etc. D’autre cĂŽtĂ© la version byzantine, en grec, a fourni la premiĂšre version en latin (XIe siĂšcle) rĂ©alisĂ©e en territoire byzantin, commence ainsi le long chemin de l’â€č Histoire de Barlaam et de Josaphat â€ș en langues vernaculaires dans le space roman, germanique et scandinave. En ce qui concerne la structure littĂ©raire, nous proposons de nouveaux approches pour envisager le caractĂšres et contenu de la disputatio (ou agĂŽn logĂŽn) ainsi que la distribution des personnages et leurs rĂŽles.
Avec l’â€č Histoire de Barlaam et de Josaphat â€ș, nous sommes face Ă  l’un des livres qui eut le plus de diffusion et de popularitĂ© pendant tout le Moyen Âge dans l’Orient et l’Occident chrĂ©tiens, de sorte que sa traduction dans une multiplicitĂ© de langues en unifia des siĂšcles durant la lecture sur notre continent, dĂ©passant les diffĂ©rences dogmatiques entre les milieux culturels orthodoxe et latin.1 UltĂ©rieurement, aux temps modernes, la familiaritĂ© avec son contenu et ses intentions Ă©difiantes lui firent retrouver une nouvelle validitĂ© dans la voie ouverte par la Contre-RĂ©forme. Non seulement la â€č Vie de Barlaam et de Josaphat â€ș est un phĂ©nomĂšne littĂ©raire de longue durĂ©e en Europe, mais elle est Ă©galement prĂ©sente dans de nombreuses littĂ©ratures orientales. Le fond de la lĂ©gende de Bouddha, vĂ©ritable noyau originaire de cette Ɠuvre, se trouve dans l’Orient le plus exotique et le plus lointain du point de vue de la mentalitĂ© chrĂ©tienne occidentale, l’Inde. Son expansion multisĂ©culaire a commencĂ© Ă  partir des faits de la vie de Bouddha, puis avec son adaptation en pahlavi en Perse, pour se christianiser, certainement dans le milieu palestinien, avec les recensions en gĂ©orgien, en grec, en Ă©thiopien, en latin, en slave, etc. Sans oublier les versions prĂ©coces (tant musulmanes que chrĂ©tiennes) en arabe et, dans la pĂ©ninsule IbĂ©rique, Ă©galement en hĂ©breu.2 La version byzantine constitue le point d’origine de sa diffusion vers les autres littĂ©ratures ; d’un cĂŽtĂ©, vers le reste du monde orthodoxe, d’oĂč les diffĂ©rentes versions en langues slaves, tout d’abord en ancien bulgare et ensuite en russe, en biĂ©lorusse et en serbe ; son adaptation en armĂ©nien et en Ă©thiopien (dans ce cas Ă  partir de la version arabo-chrĂ©tienne, dĂ©pendant de la recension grecque) ; de l’autre, de la version grecque dĂ©pend directement la premiĂšre version latine (du XIe siĂšcle et rĂ©alisĂ©e en territoire byzantin), d’oĂč commencera le long chemin vers le monde germano-scandinave et les langues romanes.
La vitalitĂ© d’une Ɠuvre semblable obĂ©it Ă  de nombreux facteurs, mais je vais me centrer ici sur un facteur fondamental, Ă  savoir la structure littĂ©raire de la rĂ©daction byzantine de laquelle dĂ©pend, comme je viens de l’indiquer, l’immense majoritĂ© de ses versions dans tant de langues.

1. L’â€č Histoire de Barlaam et de Josaphat â€ș, document hagiographique et monument littĂ©raire

Comme l’a signalĂ© le PĂšre Hippolyte DELEHAYE,3 tout rĂ©cit sur la vie d’un saint ne constitue pas nĂ©cessairement un document hagiographique. La description des supplices des premiers martyrs chrĂ©tiens faite par Tacite, le long dĂ©filĂ© de victimes des grandes persĂ©cutions dans l’Ɠuvre d’EusĂšbe de CĂ©sarĂ©e, la â€č Vie de Constantin â€ș, etc. sont, avant tout, des documents historiques, mais qui ne sauraient ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme des Ɠuvres hagiographiques. Le caractĂšre hagiographique, y compris dans une narration fondamentalement historique, est dĂ©fini par l’intentionnalitĂ© strictement religieuse et par le but Ă©difiant (psychopheles) du rĂ©cit. Partant de cette prĂ©misse, une Ɠuvre hagiographique peut adopter n’importe quelle forme littĂ©raire, depuis les â€č Actes des Martyrs â€ș jusqu’à la composition poĂ©tique la plus Ă©laborĂ©e ; depuis les rĂ©cits d’une longueur et d’une complexitĂ© variables jusqu’aux narrations les plus populaires et les plus fictives. Il apparaĂźt donc que, du point de vue littĂ©raire, l’hagiographie rĂ©pond davantage Ă  une catĂ©gorie thĂ©matique qu’à un genre littĂ©raire proprement dit. La conceptualisation littĂ©raire de l’hagiographie est par consĂ©quent assez complexe. Il semble plus correct, du point de vue mĂ©thodologique, de parler de divers genres littĂ©raires – n’importe quel genre en principe –, mais imprĂ©gnĂ©s d’un caractĂšre ou d’un but doctrinal, appliquĂ© Ă  la valeur paradigmatique de la « vie et miracles du saint » (ÎČÎŻÎżÏ‚ ϰα᜶ Ï€ÎżÎ»ÎčÏ„Î”ÎŻÎ±) exposĂ©s comme miroir moral. Autrement dit, il n’y a pas lieu de considĂ©rer l’hagiographie comme un genre littĂ©raire en soi, mais comme un contenu spĂ©cifique exprimĂ© Ă  travers un genre dĂ©terminĂ© choisi par l’auteur.

2. Nécessité de nouvelles interprétations

La question Ă©tant ainsi envisagĂ©e, il se trouve que des catĂ©gories traditionnellement utilisĂ©es pour le classement d’Ɠuvres littĂ©raires majeures ou mineures, telles que fable, mythe, conte, lĂ©gende, roman, histoire, etc., peuvent fonctionner avec un but hagiographique ou profane. Ce qui est significatif rĂ©side dans la combinaison de ces diverses formes d’expression textuelle avec les Ă©lĂ©ments argumentatifs dans un cadre d’idĂ©es trĂšs prĂ©cises, comme l’est la moralisation conformĂ©ment Ă  une doctrine dĂ©terminĂ©e.
Le thĂšme inspirateur de la narration sur la conversion du prince Siddharta (Bouddha)-Josaphat est, comme on le sait, l’un des plus rĂ©pandus dans la littĂ©rature universelle. La version chrĂ©tienne byzantine, â€č Histoire de Barlaam et de Josaphat â€ș (HBJ),4 avec des problĂšmes trĂšs complexes de paternitĂ© et de transmission, a en outre une importance fondamentale dans la rĂ©ception et l’adaptation de ce thĂšme, raison pour laquelle cela vaut la peine d’explorer les possibilitĂ©s d’application de nouveaux critĂšres dans l’analyse et l’étude de sa structure littĂ©raire. En premier lieu, l’HBJ peut ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme une Ɠuvre hagiographique. C’est, comme le proclame dĂ©jĂ  le proĂšme, une « histoire Ă©difiante », oĂč c’est le caractĂšre « Ă©difiant » qui est significatif et non celui d’« histoire », un terme qui est ici synonyme de « narration d’un processus », mais un processus dans le sens dramatique, voilĂ  l’important. Ce qui est « racontĂ© », narrativement et dialogiquement, c’est comment s’est christianisĂ© un royaume dans une contrĂ©e lointaine et imprĂ©cise, comme l’Inde. En second lieu, et c’est ce que je me propose de dĂ©velopper ici, l’HBJ est une piĂšce littĂ©raire qui prĂ©sente un haut degrĂ© d’élaboration et d’originalitĂ©. À la lumiĂšre de l’analyse de sa structure et de sa technique de composition, l’â€č Histoire de Barlaam et de Josaphat â€ș pourrait par consĂ©quent ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme un dialogue dramatique.
Pour cette affirmation je pars de critĂšres que j’ai appliquĂ©s dans d’autres de mes travaux sur les types et les thĂšmes de la comĂ©die grecque (d’Aristophane et de MĂ©nandre), et de la mĂ©thodologie suivie dans mon essai sur la structure littĂ©raire du dialogue platonicien.5 Dans l’HBJ on observe trois niveaux trĂšs clairs de technique littĂ©raire et de finalitĂ© :
I.) le noyau primitif de la lĂ©gende, c’est-Ă -dire le fond oriental – indien – relatif Ă  la vie et Ă  la conversion de Bouddha constituĂ© par l’ensemble d’apologues et de fables,
II.) l’organisation dramatique-narrative de l’argument, qui est purement grecque, bien que non strictement chrĂ©tienne sur le plan formel,
III.) le caractĂšre authentiquement byzantin de l’élaboration finale qui rĂ©pond Ă  deux aspects complĂ©mentaires entre eux :
1) le concept essentiel d’exaltation de l’écoumĂšne orthodoxe comme unique modĂšle universel valide de societas christiana rĂ©gie par l’empereur (basileus) comme incarnation mĂȘme de l’ordre thĂ©ocratique du pouvoir sur ledit Ă©coumĂšne, un ordre temporel lĂ©gitimĂ© au moyen d’une Église monastique mais non hiĂ©rarchique, et
2) la moralisation de ce qui prĂ©cĂšde argumentĂ©e grĂące Ă  l’exemple de la conversion Ă  la foi orthodoxe – tout d’abord du prince et ensuite du souverain – Ă  travers le paradigme monastique, moteur du processus d’évangĂ©lisation. Ces deux aspects façonnent le caractĂšre hagiographique de notre Ɠuvre.

3. Traits gĂ©nĂ©raux de la structure littĂ©raire de l’â€č Histoire de Barlaam et de Josaphat â€ș

Je n’entrerai pas dans la longue polĂ©mique sur la prĂ©tendue attribution damas-cĂ©nienne de cette Ɠuvre, ni sur la primautĂ© ou non de la version gĂ©orgienne ou grecque, des thĂšmes que j’ai dĂ©jĂ  eu l’occasion d’aborder6 Je fais simplement Ă©tat de mon rejet de la thĂšse de Franz DÖLGER7 et de mon soutien, quoique nuancĂ©, Ă  la position de David Marshall LANG.8 D’aprĂšs les niveaux signalĂ©s ci-dessus, nous pouvons observer ce qui suit :
I.) En ce qui concerne le fond oriental de l’HBJ, l’élĂ©ment distinctif de composition est la fable. Dans son sens le plus large, la fable peut Ă©quivaloir Ă  l’apologue ou au conte, et dans un sens plus strict, en particulier si des animaux interviennent en qualitĂ© de personnages, c’est une fiction moralisante. Quoi qu’il en soit, la fable9 suppose un type de narration imaginaire brĂšve, fermĂ©e du point de vue argumentatif et thĂ©matique, et avec une fonction d’appui au sein d’une argumentation majeure. Les rhĂ©teurs tardo-impĂ©riaux et byzantins (Libanios, Aphthonios, ThĂ©on, ThĂ©ophilacte Simocatta, NicĂ©phore BasilakĂšs)10 se servent Ă  l’occasion de la fable comme appui ou comme prĂ©texte pour le dĂ©veloppement argumentatif de l’ensemble du rĂ©cit, mais la fable en tant que telle ne constitue pas l’axe de la fiction narrative qui informe l’Ɠuvre littĂ©raire en soi. Comme nous le savons, la fable (mythos) est considĂ©rĂ©e comme un type de progymnasma rhĂ©torique dĂ©jĂ  depuis DĂ©mosthĂšne ou Aristote, mais jamais comme un genre, bien que Nicolas de Myra,11 le rhĂ©teur de l’école de Gaza du Ve siĂšcle, Ă  la diffĂ©rence d’HermogĂšne,12 lui ait donnĂ© plus d’importance en la considĂ©rant comme un sousgenre narratif indĂ©pendant (mythikon diegema) et qu’il ait centrĂ© sa valeur sur la morale, ou Ă©pimythie. Toutefois, la fable clairement orientale reçoit parfois un traitement avec des fonctions structurelles dans l’économie du rĂ©cit, comme c’est le cas de l’usage qu’en font l’auteur anonyme de l’â€č Histoire de Barlaam et de Josaphat â€ș (vers X–XIe s.) ou SimĂ©on Seth (vers la seconde moitiĂ© du XIe s.) dans sa collection de fables traduites de l’arabe, â€č Stephanites et Ichnelates â€ș.13 La collection d’apologues contenue dans la version byzantine de l’HBJ est un peu plus rĂ©duite que celle contenue dans la version gĂ©orgienne (respectivement 10 et 16). Le conte, en tant que modalitĂ© de l’apologue, est l’un des sous-genres que l’hagiographie dĂ©veloppe gĂ©nĂ©reusement. Dans notre cas, j’insiste, il est dĂ©jĂ  incorporĂ© au noyau oriental de l’histoire de Bouddha. Le conte proprement dit est une histoire inventĂ©e qui n’est pas nĂ©cessairement liĂ©e Ă  un personnage rĂ©el ni Ă  un endroit concret parce que tout cela est accessoire. La valeur distinctive du conte, et en cela il coĂŻncide parfaitement avec la fable, est de capter l’attention de l’auditeur ou du lecteur pour mettre en relief, d’une maniĂšre calculĂ©e, une affirmation pratique comme, par exemple, une vertu dĂ©terminĂ©e. Une finalitĂ© par consĂ©quent fonctionnellement probatoire et moralisatrice des arguments qui poussent Ă  l’action. Le noyau formel et thĂ©matique du possible archĂ©type oriental de l’HBJ ne constitue qu’un rĂ©pertoire qui s’adapte aux nĂ©cessitĂ©s de la construction du rĂ©cit, en fonction de la finalitĂ© de celui-ci. Les histoires ou les rĂ©cits hagiographiques des champions de la foi sont d’ordinaire situĂ©s narrativement dans un temps historique dĂ©fini et dans des circonstances historiques prĂ©cises.14 Cependant, dans notre cas, bien que l’histoire soit situĂ©e nominalement en Inde, l’espace gĂ©ographique est totalement vague et confus, plus proche de l’atmosphĂšre du dĂ©sert Ă©gyptien ou palestinien que du monde oriental et exotique de l’Inde.15 À la diffĂ©rence du modĂšle gĂ©orgien, dans le proĂšme de la recension grecque la confusion topographique est explicite puisque l’Inde y est situĂ©e entre l’Égypte et la Perse et qu’elle y est identifiĂ©e avec l’Éthiopie. En ce qui concerne le thĂšme de l’arrivĂ©e du christianisme Ă  cette terre lointaine transgangĂ©tique, s...

Inhaltsverzeichnis

  1. Cover
  2. Titel
  3. Impressum
  4. Vorwort
  5. Inhalt
  6. Kapitel 1 La rĂ©daction byzantine de â€č Barlaam et Josaphat â€ș, considĂ©rations sur la paternitĂ© et la composition
  7. Kapitel 2 â€șBarlaam und Joasaphâ€č im moldawischen Kloster NeamĆŁ, NeamĆŁ, RumĂ€nien
  8. Kapitel 3 Unterhaltsame Lehren: Vermittlung religiöser Wahrheiten in Guis de Cambrai â€șBarlaam et Josaphatâ€č (1. HĂ€lfte 13. Jahrhundert)
  9. Kapitel 4 The Hebrew Version of the Legend of Barlaam and Josaphat in Catalonia
  10. Kapitel 5 Barlaam and Josaphat in the â€čLegenda aureaâ€ș and the â€čMiroir historialâ€ș: A tale twice framed
  11. Kapitel 6 Nichts als Worte: Die Problematik sprachlicher Vermittlung von Heil in Rudolfs von Ems â€șBarlaam und Josaphatâ€č
  12. Kapitel 7 Le roman de Barlaam et Josaphat et les translations romanes des â€č Vitae Patrum â€ș
  13. Kapitel 8 In guter Nachbarschaft. Die Barlaam-Parabeln â€șDas Einhornâ€č, â€șDie drei Freundeâ€č und â€șDer Jahreskönigâ€č
  14. Kapitel 9 Das »MĂ€rchen« vom Widerstreit: Weltkritik, Götterpolemik und poetische Resistenz im â€șBarlaamâ€č Rudolfs von Ems
  15. Kapitel 10 Barlaam und Josaphat deutsch: Eine Projektskizze zur Pragmatik von Legenden
  16. Kapitel 11 Explizierung und Evidenz. Zu einigen poetologischen Aspekten in den spÀtmittelalterlichen Legendar-Fassungen des Barlaam und Josaphat-Stoffes
  17. Kapitel 12 Langweilige Heilige – heilige Langeweile?
  18. Kapitel 13 What’s within a Frame. Observations on Framing in the German Medieval Tradition: Rudolf von Ems and Others
  19. Kapitel 14 The Epic Saint Josaphaz: A Reexamination
  20. Kapitel 15 Exemplarisches ErzĂ€hlen in der altjiddischen Bearbeitung des Barlaam-Stoffes und im â€șBarlaam und Josaphatâ€č Rudolfs von Ems
  21. Kapitel 16 Lost and found in translation. Der alttschechische Barlaam zwischen kontemplativem Traktat, Predigt und Abenteuerroman
  22. Kapitel 17 ErzĂ€hlstrategien und literarischer Ort des â€șLaubacher Barlaamâ€č
  23. Kapitel 18 Westöstliche Askesepraxis in â€șBarlaam und Josaphatâ€č und der Gymnosophistenepisode
  24. Kapitel 19 L’illustration du â€č Roman de Barlaam et Joasaph â€ș reconsidĂ©rĂ©e : Le cas du Hagion Oros, MonĂš IbĂšron, 463
  25. Kapitel 20 The Hagiographic Legend Challenged by Poetry: The French Metrical Versions of Barlaam et Josaphat
  26. Kapitel 21 Vita beatorum Barlaam et Iosaphat. BHL 979 epitome *f
  27. Verzeichnisse und Abbildungen
  28. Fußnoten