La société d'agriculture de Paris de 1816 à 1870
Une histoire de l'Académie d'agriculture de France - Tome 2
Christian Ferault
- 344 Seiten
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La société d'agriculture de Paris de 1816 à 1870
Une histoire de l'Académie d'agriculture de France - Tome 2
Christian Ferault
Über dieses Buch
L'Académie d'agriculture de France vient de fêter ses 260 ans sous un idéal toujours maintenu: « Une passion, connaître, une ambition, transmettre ». Elle réfléchit sur les progrès, explique les enjeux de tous ordres et éclaire la société et les décideurs. Avec ce volume portant sur la période allant de 1816 à 1870, on découvre les activités d'alors de la Société d'agriculture de Paris, aux relations assez satisfaisantes avec les pouvoirs successifs. Elle fait preuve d'une importante liberté d'entreprendre, traitant certes principalement d'agriculture, mais de plus en plus d'industries agricoles, de génie rural et elle commence à s'intéresser à l'alimentation humaine. Elle sait faire appel à des savants étrangers de premier rang. Au cours de ces années, ses productions écrites directes atteignent 55 000 pages et elle s'applique, via des revues agricoles, à vulgariser davantage ses résultats. En fin de période, elle est déjà en fait, si ce n'est en droit, une Académie.
Häufig gestellte Fragen
Information
Inhaltsverzeichnis
- Couverture
- 4e de couverture
- Copyright
- Dédicace
- Préface
- Présentation
- CHAPITRE I. Composition de la Société royale et centrale d’agriculture au début de ses activités
- CHAPITRE II. Instituit, Constituit, Restituit Une Ode à la Royauté en 1816
- CHAPITRE III. Les modifications statutaires de la Société royale et centrale d’agriculture survenues entre 1814 et 1848
- CHAPITRE IV. Sous les Bourbons, des relations à la Société qui se dégradent
- CHAPITRE V. La Société royale et centrale d’agriculture et la création de la Société d’horticulture de Paris
- CHAPITRE VI. Il y a un peu plus de deux siècles, la Société royale et centrale d’agriculture émettait ses premiers Avis aux agriculteurs. Un exemple : Sur la multiplication de la pomme de terre par semis de ses graines
- CHAPITRE VII. Un exemple de concours ouvert par la Société royale et centrale d’agriculture : Sur la culture du pavot [œillette] Présentation, organisation et résultats
- CHAPITRE VIII. En 1820, MATHIEU de DOMBASLE présentait son célèbre mémoire « De la charrue, considérée principalement sous le rapport de la présence ou de l’absence de l’avant-train »devant la Société royale et centrale d’agriculture dont il devenait la même année correspondant
- CHAPITRE IX. La Société royale et centrale d’agriculture récompensait aussi les « sans-grade »…mais pas « sans-rôle » !
- CHAPITRE X. « Le legs DELAMARRE » : un grand événement favorable à la prospérité de la Compagnie
- CHAPITRE XI. La Société et l’Algérie. De 1830 à 1853 [Il est particulièrement nécessaire de bien replacer ce chapitre dans le contexte de son époque]
- CHAPITRE XII. Un Prix « Pour la composition de petits livres élémentaires d’agriculture à l’usage des enfants qui sont admis dans les écoles primaires »
- CHAPITRE XIII. La Société face à un fléau : le mildiou de la pomme de terre : de 1845 à 1852
- CHAPITRE XIV. La Société devenue nationale et centrale et la Deuxième République. Évolutions statutaires et réglementaires. Premiers rapports au nouveau Pouvoir
- CHAPITRE XV. Le projet d’organisation d’une « Banque de crédit foncier »
- CHAPITRE XVI. Incitation à accroître le nombre de têtes de bétail par rapport au sol cultivé
- CHAPITRE XVII. Concours sur les produits d’une bergerie
- CHAPITRE XVIII. La Société et le Second Empire. De 1852 à 1860
- CHAPITRE XIX. Sur l’article de Michel-Eugène CHEVREUL consacré au « Mémoire sur les défrichements » du marquis de TURBILLY paru en 1855 dans le « Journal des savants »
- CHAPITRE XX. La Société impériale et centrale d’agriculture et les grandes inondations de 1856
- CHAPITRE XXI. La Société et le Second Empire. De 1861 à 1870
- CHAPITRE XXII. Une utile synthèse sur l’Introduction des mérinos en France
- CHAPITRE XXIII. Rapport à l’Empereur sur les grandes primes d’honneur destinées à récompenser les cultivateurs, propriétaires ou fermiers
- CHAPITRE XXIV. Les réunions du Bureau de la Société impériale et centrale d’agriculture de France. Quelques exemples : celles de septembre et octobre 1865
- CHAPITRE XXV. Deux « Grande médaille d’or » décernées pour des inventions importantes et utiles en féculerie, distillerie et sucrerie
- CHAPITRE XXVI. À propos des expériences faites en Angleterre de 1843 à 1863 par LAWES et GILBERT
- CHAPITRE XXVII. La situation de l’agriculture française en 1870 au travers de l’enquête diligentée par le Corps législatif
- Conclusion
- Annexes
- Sources
- Remerciements
- Table des matières
- Adresse