Lettres à une princesse d'Allemagne

Leonhard Euler

• Editorial: EPFL PRESS
• Año: 2003
• ISBN:
  9782889140312
• Categoría: Mathematics
• Categoría: History & Philosophy of Mathematics

Ces lettres rédigées à Berlin entre 1760 et 1762 et publiées à St. Petersbourg de 1768 à 1772 constituent un brillant exemple de vulgarisation scientifique destiné à un lectorat non spécialisé. Ecrites par le grand mathématicien bâlois Euler (1707-1783), elles ont immédiatement rencontré un véritable succès populaire dès leur première publication. Rédigées dans un français limpide, elles ont été traduites dans de nombreuses langues. Euler aborde ici tous les sujets en dehors des mathématiques proprement dites, comme l'astronomie, la mécanique, l'optique, la musique, la philosophie et la logique, domaine auquel il a personnellement contribué de manière significative. Originalité: Republiées aujourd'hui sous la direction de S.D. Chatterji, ces lettres offrent un contenu scientifique d'une extraordinaire actualité. Au sommaire 234 lettres De l'étendue De la vitesse Du son et de sa maîtrise De l'atmosphère et du baromètre Des changements que la chaleur et le froid produisent dans l'atmosphère...

Índice

• PRÉFACE
• EULER, LE GRAND PÉDAGOGUE
• LETTRES ECRITES A UNE PRINCESSE D’ALLEMAGNESUR DIVERS SUJETS DE PHYSIQUE ET DE PHILOSOPHIE
• LETTRE I • DE L’ÉTENDUE
• LETTRE II • DE LA VITESSE
• LETTRE III • DU SON ET DE SA VITESSE
• LETTRES IV • DES CONSONANCES ET DES DISSONANCES
• LETTRE V • DE L’UNISSON ET DES OCTAVES
• LETTRE VI • DES AUTRES CONSONANCES
• LETTRE VII • DES DOUZES TONS DU CLAVECIN
• LETTRE VIII • SUR LES AGRÉMENS D’UNE BELLE MUSIQUE
• LETTRE IX • SUR LA COMPRESSION DE L’AIR
• LETTRE XI • SUR LA PESANTEUR DE L’AIR
• LETTRE XII • DE L’ATHMOSPHERE ET DU BAROMETRE
• LETTRE XIII • DES FUSILS À VENT ET SUR L’ÉTAT DE COMPRESSIONDE L’AIR DANS LA POUDRE À CANON
• LETTRE XIVS • UR L’EFFET QUE LA CHALEUR ET LE FROID PRODUISENTDANS TOUS LES CORPS ET SUR LES PYROMETRES ET THERMOMETRES
• LETTRE XV • DES CHANGEMENS QUE LA CHALEURET LE FROID PRODUISENT DANS L’ATHMOSPHERE
• LETTRE XVI • POURQUOI ON ÉPROUVE PAR TOUT ET DANS TOUTES LES SAISONS LE MÊME DEGRÉ DE FROID LORSQU’ON MONTE SUR LES HAUTES MONTAGNES AUSSI BIEN QUE LORSQU’ON DESCEND DANS LES CAVES LES PLUS PROFONDES
• LETTRE XVII • SUR LES RAYONS DE LUMIERE ET SUR LES SYSTÊMES DE DESCARTES ET DE NEWTON
• LETTRE XVIII • SUR LES INCONVÉNIENS QU’ON RENCONTRE DANS CE DERNIER SYSTÊME DE L’ÉMANATION
• LETTRE XIX • EXPOSITION D’UN AUTRE SYSTÊME SUR LA NATURE DES RAYONS ET DE LA LUMIERE
• LETTRE XX • SUR LA PROPAGATION DE LA LUMIERE
• LETTRE XXI • DIGRESSION SUR L’ÉTENDUE DU MONDE: ENSUITE SUR LA NATURE DU SOLEIL ET DE SES RAYONS
• LETTRE XXII • ECLAIRCISSEMENS ULTÉRIEURS SUR LA NATURE DES CORPS LUISANS D’EUX-MÊMES ET SUR LA DIFFÉRENCE ENTRE CES CORPS ET LES CORPS OPAQUES ILLUMINÉS
• LETTRE XXIII • SUR LA MANIERE DONT LES CORPS OPAQUES NOUS DEVIENNENT VISIBLESET EXPLICATIONS DU SENTIMENT DE NEWTON,QUI EN MET LA CAUSE DANS LA RÉFLEXION DES RAYONS
• LETTRE XXIV • EXAMEN ET RÉFUTATION DE CE SENTIMENT
• LETTRE XXV • AUTRE EXPLICATION DE LA MANIERE DONT LES CORPS OPAQUES ÉCLAIRÉS NOUS SONT VISIBLES
• LETTRE XXVI • CONTINUATION DE CETTE EXPLICATION
• LETTRE XXVII • FIN DE CETTE EXPLICATION ET SUR LA CLARTÉET LA COULEUR DES CORPS OPAQUES ÉCLAIRÉS
• LETTRE XXVIII • SUR LA NATURE DES COULEURS EN PARTICULIER
• LETTRE XXIX • SUR LA TRANSPARENCE DES CORPS RELATIVE AU PASSSAGE DES RAYONS
• LETTRE XXX • SUR LE PASSAGE DES RAYONS DE LUMIERE PAR LES MILIEUX TRANSPARENS ET SUR LEUR RÉFRACTION
• LETTRE XXXI • SUR LA RÉFRACTION DES RAYONS DE DIVERSES COULEURS
• LETTRE XXXII • SUR LE BLEU DU CIEL
• LETTRE XXXIII • SUR L’AFFOIBLISSEMENT DES RAYONS QUI PARTENT D’UN POINT LUMINEUX ÉLOIGNÉ ET SUR L’ANGLE VISUEL
• LETTRE XXXIV • SUR CE QUE LE JUGEMENT SUPPLÉE À LA VISION
• LETTRE XXXV • EXPLICATION DE QUELQUES PHÉNOMENES RELATIFS À L’OPTIQUE
• LETTRE XXXVI • SUR L’OMBRE
• LETTRE XXXVII • DE LA CATOPTRIQUE ET SUR LA RÉFLEXION DES RAYONS PAR DES MIROIRS PLANS EN PARTICULIER
• LETTRE XXXVIII • SUR LA RÉFLEXION DES RAYONS PAR DES MIROIRS CONVEXES ET CONCAVES ET SUR LES MIROIRS ARDENS
• LETTRE XXXIX • DE LA DIOPTRIQUE
• LETTRE XL • CONTINUATION DE LA MÊME MATIERE; EN PARTICULIER DES VERRES ARDENS ET DE LEURS FOYERS
• LETTRE XLI • SUR LA VISION ET LA STRUCTURE DE L’OEIL
• LETTRE XLII • CONTINUATION ET CONTEMPLATION DES MERVEILLES QU’ON DÉCOUVRE DANS LA STRUCTURE DE L’OEIL
• LETTRE XLIII • CONTINUATION ET EN PARTICULIER SUR LA DIFFÉRENCE ÉNORMEENTRE L’OEIL D’UN ANIMAL ET L’OEIL ARTIFICIEL, OU UNE CHAMBRE OBSCURE
• LETTRE XLIV • SUR LES AUTRES PERFECTIONS QU’ON DÉCOUVRE DANS LA STRUCTURE DE L’OEIL
• LETTRE XLV • SUR LA GRAVITÉ OU PESANTEUR CONSIDÉRÉE COMME UNE PROPRIÉTÉ GÉNÉRALE DE TOUS LES CORPS QUE NOUS CONNOISSONS
• LETTRE XLVI • CONTINUATION DU MÊME SUJET ET EN PARTICULIER SUR LA GRAVITÉ SPÉCIFIQUE
• LETTRE XLVIII • RÉPONSE À QUELQUES OBJECTIONS QU’ON FAIT CONTRE LA FIGURE SPHÉRIQUE DE LA TERRE ET QUI SONT TIRÉES DE LA PESANTEUR
• LETTRE XLIX • SUR LA VRAIE DIRECTION ET SUR L’ACTIONDE LA GRAVITÉ RELATIVE À LA TERRE
• LETTRE L • SUR LA DIFFÉRENTE ACTION DE LA GRAVITÉ, EN PARTICULIER À L’ÉGARD DES DIFFÉRENTES CONTRÉES ET DISTANCES AU CENTRE DE LA TERRE
• LETTRE LI • SUR LA GRAVITÉ DE LA LUNE
• LETTRE LII • SUR LA DÉCOUVERTE DE LA GRAVITATION UNIVERSELLE FAITE PAR LE GRAND NEWTON
• LETTRE LIII • CONTINUATION SUR L’ATTRACTION MUTUELLE DES CORPS CÉLESTES
• LETTRE LIV • DES DIFFÉRENS SENTIMENS DES PHILOSOPHES SUR LA GRAVITATION UNIVERSELLE ET EN PARTICULIER DU SENTIMENT DES ATTRACTIONISTES
• LETTRE LV • SUR LA FORCE AVEC LA QUELLE TOUS LES CORPS CÉLESTES S’ATTIRENT MUTUELLEMENT
• LETTRE LVI • SUR LE MÊME SUJET
• LETTRE LVII • SUR LE MÊME SUJET
• LETTRE LVIII • SUR LE MOUVEMENT DES CORPS CÉLESTES ET SUR LA MÉTHODE DE LE DÉTERMINER PAR LES LOIS DE LA GRAVITATION UNIVERSELLE
• LETTRE LIX • SUR LE SYSTÈME DU MONDE
• LETTRE LX • SUR LE MÊME SUJET
• LETTRE LXI • SUR LES PETITES IRRÉGULARITÉS QU’ON OBSERVE DANS LES MOUVEMENS DES PLANÈTESET QUI SONT CAUSÉES PAR LEUR ATTRACTION MUTUELLE
• LETTRE LXII • DESCRIPTION DU FLUX ET REFLUX DE LA MER
• LETTRE LXIII • DES DIFFÉRENS SENTIMENS DES PHILOSOPHES SUR LE FLUX ET REFLUX DE LA MER
• LETTRE LXIV • EXPLICATION DÉTAILLÉE DE CE PHÉNOMÈNE DU FLUX ET REFLUX DE LA MER PAR LA FORCE ATTRACTIVE DE LA LUNE
• LETTRE LXV • CONTINUATION
• LETTRE LXVI • CONTINUATION
• LETTRE LXVII • CONTINUATION
• LETTRE LXVIII • EXPOSITION PLUS DÉTAILLÉE DE LA DISPUTE DES PHILOSPHES SUR LA CAUSE DE LA GRAVITATION UNIVERSELLE
• LETTRE LXIX • SUR LA NATURE ET L’ESSENCE DES CORPS; OU BIEN SUR L’ÉTENDUE, LA MOBILITÉ ET L’IMPÉNÉTRABILITÉ DES CORPS
• LETTRE LXX • SUR L’IMPÉNÉTRABILITÉ DES CORPS EN PARTICULIER
• LETTRE LXXI • DU MOUVEMENT ET DU REPOS VRAI ET APPARENT
• LETTRE LXXII • DU MOUVEMENT UNIFORME ET MOUVEMENS ACCÉLÉRÉS ET RETARDÉS
• LETTRE LXXIII • DE LA PRINCIPALE LOI DU MOUVEMENT ET DU REPOS:ET SUR LES DISPUTES DES PHILOSOPHES À CET ÉGARD
• LETTRE LXXIV • SUR L’INERTIE DES CORPS ET SUR LES FORCES
• LETTRE LXXV • SUR LES CHANGEMENS QUI PEUVENT ARRIVER DANS L’ÉTAT DES CORPS
• LETTRE LXXVI • SUR LE SYSTÊME WOLFFIEN DES MONADES
• LETTRE LXXVII • SUR L’ORIGINE ET LA NATURE DES FORCES
• LETTRE LXXVIII • SUR LE MÊME SUJET ET SUR LE PRINCIPE DE LA MOINDRE ACTION
• LETTRE LXXIXSUR LA QUESTION, S’IL Y A ENCORE D’AUTRES ESPECES DE FORCES?
• FIN DU PREMIER VOLUME
• LETTRES ECRITES A UNE PRINCESSE D’ALLEMAGNESUR DIVERS SUJETS DE PHYSIQUE ET DE PHILOSOPHIE
• LETTRE LXXX • SUR LA NATURE DES ESPRITS
• LETTRE LXXXI • SUR LA LIAISON MUTUELLE ENTRE L’AME ET LE CORPS
• LETTRE LXXXII • SUR LES DIFFÉRENS SYSTÊMES POUR EXPLIQUER L’UNION ENTRE L’ÂME ET LE CORPS
• LETTRE LXXXIII • EXAMEN DU SYSTÊME DE L’HARMONIE PRÉÉTABLIEET OBJECTION CONTRE CE SYSTÊME
• LETTRE LXXXIV • AUTRE OBJECTION CONTRE CE SYSTÊME
• LETTRE LXXXV • SUR LA LIBERTÉ DES ESPRITS ET RÉPONSE AUX OBJECTIONSQU’ON FAIT COMMUNEMENT CONTRE LA LIBERTÉ
• LETTRE LXXXVI • SUR LE MÊME SUJET
• LETTRE LXXXVII • SUR L’INFLUENCE DE LA LIBERTÉ DES ESPRITSDANS LES ÉVENEMENS DU MONDE
• LETTRE LXXXVIII • SUR LES ÉVENEMENS NATURELS, SURNATURELS ET MORAUX
• LETTRE LXXXIX • SUR LA QUESTION DU MEILLEUR MONDEET SUR L’ORIGINE DES MAUX ET DES PÉCHÉS
• LETTRE XC • CONNEXION DES CONSIDÉRATIONS PRÉCÉDENTES AVEC LA RELIGION,ET RÉPONSE AUX OBJECTIONS QUE PRESQUE TOUS LES SYSTÊMES PHILOSOPHIQUESFOURNISSENT CONTRE LA PRIERE
• LETTRE XCI • SUR LA LIBERTÉ DES ÊTRES INTELLIGENS:ET QU’ELLE N’EST PAS CONTRAIRE AUX DOGMES DE LA RELIGION CHRÉTIENNE
• LETTRE XCIIE • CLAIRCISSEMENS ULTÉRIEURS SUR LA NATURE DES ESPRITS
• LETTRE XCIII • CONTINUATION SUR LE MÊME SUJETET RÉFLEXIONS SUR L’ÉTAT DES AMES APRÈS LA MORT
• LETTRE XCIV • CONSIDÉRATIONS PLUS DÉTAILLÉES SUR L’ACTION DE L’AME SUR LE CORPSET RÉCIPROQUEMENT DU CORPS SUR L’AME
• LETTRE XCV • SUR LES FACULTÉS DE L’AME ET SUR LE JUGEMENT
• LETTRE XCVI • SUR LA CONVICTION DE L’EXISTENCE DE CE QUE NOUS APPERCEVONS PAR LES SENS.DES IDÉALISTES, EGOISTES ET MATÉRIALISTES
• LETTRE XCVII • RÉFUTATION DU SENTIMENT DES IDÉALISTES
• LETTRE XCVIII • DE LA FACULTÉ DE SENTIR. SUR LA RÉMINISCENCE, LA MÉMOIRE ET L’ATTENTION.DES IDÉES SIMPLES ET COMPOSÉES
• LETTRE XCIX • SUR LA DIVISION DES IDÉES EN OBSCURES ET CLAIRES, CONFUSES ET DISTINCTES.SUR LA DISTRACTION
• LETTRE C • SUR L’ABSTRACTION ET LES NOTIONS. DES NOTIONS GÉNÉRALES ET DES INDIVIDUS.DES GENRES ET DES ESPECES
• LETTRE CI • SUR LES LANGAGES, LEUR ESSENCE, AVANTAGE ET NÉCESSITÉ,TANT POUR SE COMMUNIQUER MUTUELLEMENT LES PENSÉES,QUE POUR CULTIVER NOS PROPRES CONNOISSANCES
• LETTRE CII • SUR LES PERFECTIONS D’UNE LANGUE. SUR LES JUGEMENS ET SUR LA NATUREDES PROPOSITIONS, QUI SONT OU AFFIRMATIVES OU NÉGATIVES;OU UNIVERSELLES OU PARTICULIERES
• LETTRE CIII • DES SYLLOGISMES ET SUR LEURS DIFFÉRENTES FORMES,SI LA PREMIERE PROPOSITION EST UNIVERSELLE
• LETTRE CIV • SUR LES DIFFÉRENTES FORMES DE SYLLOGISMES,DONT LA PREMIERE PROPOSITION EST PARTICULIERE
• LETTRE CV • ANALYSE DE QUELQUES SYLLOGISMES
• LETTRE CVI • DES DIFFÉRENTES FIGURES ET DES MODES DES SYLLOGISMES
• LETTRE CVII • OBSERVATIONS ET RÉFLEXIONS SUR LES DIFFÉRENS MODES DES SYLLOGISMES
• LETTRE CVIII • SUR LES PROPOSITIONS HYPOTHÉTIQUESET SUR LES SYLLOGISMES QUI Y SONT FONDÉS
• LETTRE CIX • DE L’IMPRESSION DES SENSATIONS SUR L’AME
• LETTRE CX • CONSIDÉRATIONS PLUS DÉTAILLÉES SUR L’ORIGINEET LA PERMISSION DU MAL ET DES PÉCHÉS DANS LE MONDE
• LETTRE CXI • SUR LES MAUX MORAUX ET PHYSIQUES
• LETTRE CXII • RÉPONSE AUX PLAINTES DES HOMMESCONTRE LES MAUX PHYSIQUES DANS CE MONDE
• LETTRE CXIII • SUR LA VRAIE DESTINATION DES HOMMES ET SUR L’UTILITÉET LA NÉCESSITÉ DES ADVERSITÉS DANS CE MONDE
• LETTRE CXIV • SUR LA VRAIE FÉLICITÉ, ET SUR LA CONVERSION DES PÉCHEURS.RÉPONSE AUX OBJECTIONS QU’ON POURROIT FAIRE SUR CETTE MATIERE
• LETTRE CXV • SUR LE VÉRITABLE FONDEMENT DE TOUTES NOS CONNOISSANCES.SUR LES TROIS SOURCES DES VÉRITÉS ET SUR LES TROIS CLASSESDE NOS CONNOISSANCES QUI EN NAISSENT
• LETTRE CXVI • SUR LE MÊME SUJET ET EN PARTICULIER SUR LES ÉGAREMENSDANS LA CONNOISSANCE DE LA VÉRITÉ
• LETTRE CXVII • SUR LA PREMIERE CLASSE DE NOS CONNOISSANCES ET EN PARTICULIERSUR LA CONVICTION QU’IL EXISTE RÉELLEMENT HORS DE NOUS DES CHOSES QUIRÉPONDENT AUX IDÉES QUE LES SENS NOUS REPRÉSENTENT. OBJECTIONSDES PHYRRHONIENS CONTRE CETTE CONVICTION ET RÉPONSE À CETTE OBJECTION
• LETTRE CXVIII • AUTRE OBJECTION DES PYRRHONIENS CONTRE LA CERTITUDE DES VÉRITÉS APPERÇUESPAR LES SENS. RÉPONSE À CETTE OBJECTION ET SUR LES PRÉCAUTIONS QU’ON DOITOBSERVER POUR ÊTRE ASSURÉ DES VÉRITÉS DES SENS
• LETTRE CXIX • SUR LA CERTITUDE DÉMONSTRATIVE, PHYSIQUEET EN PARTICULIER SUR LA CERTITUDE MORALE
• LETTRE CXX • REMARQUES SUR CE QUE LE SENS CONTRIBUENT À AUGMENTER NOS CONNOISSANCES,ET SUR LES PRÉCAUTIONS QU’ON DOIT OBSERVER POUR ÊTRE ASSURÉDES VÉRITÉS HISTORIQUES
• LETTRE CXXI • SUR LA QUESTION, SI L’ESSENCE DES CORPS NOUS EST CONNUE, OU NON?
• LETTRE CXXII • SUR LA VRAIE NOTION DE L’ÉTENDUE
• LETTRE CXXIII • SUR LA DIVISIBILITÉ À L’INFINI DE L’ÉTENDUE
• LETTRE CXXIV • SI CETTE DIVISIBILITÉ À L’INFINI A LIEUDANS LES CORPS ACTUELLEMENT EXISTANS?
• LETTRE CXXV • DE LA FAMEUSE DISPUTE SUR LES MONADES
• LETTRE CXXVI • RÉFLEXIONS ULTÉRIEURES SUR LA DIVISIBILITÉÀ L’INFINI DES CORPS ET SUR LES MONADES
• LETTRE CXXVII • RÉFUTATION ET RÉPONSE AUX OBJECTIONS DES MONADISTESCONTRE LA DIVISIBILITÉ À L’INFINI DES CORPS
• LETTRE CXXVIII • SUR LE PRINCIPE DE LA RAISON SUFFISANTE,QUI EST LE PLUS FORT APPUI DES MONADISTES
• LETTRE CXXIX • AUTRE ARGUMENT DES PARTISANS DES MONADES TIRÉ DU PRINCIPE DE LA RAISONSUFFISANTE; ET SUR LES ABSURDITÉS QUI EN DÉCOULENT NÉCESSAIREMENT
• LETTRE CXXX • RÉFLEXIONS PLUS DÉTAILLÉES SUR LE SYSTÊME DES MONADES
• LETTRE CXXXI • CONTINUATION
• LETTRE CXXXII • FIN DES RÉFLEXIONS SUR LE SYSTÊME DES MONADES
• LETTRE CXXXIV • RÉFLEXIONS SUR L’ANALOGIE ENTRE LES COULEURS ET LES SONS
• LETTRE CXXXV • SUITE DE CES RÉFLEXIONS
• LETTRE CXXXVI • SUR LA QUESTION, DE QUELLE MANIERE LES CORPS OPAQUESNOUS DEVIENNENT VISIBLES
• LETTRE CXXXVII • SUR LES MERVEILLES DE LA VOIX HUMAINE
• LETTRE CXXXVIII • PRÉCIS DES PRINCIPAUX PHÉNOMENES DE L’ÉLECTRICITÉ
• LETTRE CXXXIX • DU VÉRITABLE PRINCIPE DE LA NATURE, SUR LEQUEL TOUS LES PHÉNOMENESDE L’ÉLECTRICITÉ SONT FONDÉS
• LETTRE CXL • CONTINUATION ET EN PARTICULIER SUR LA DIFFÉRENTENATURE DES CORPS PAR RAPPORT À L’ÉLECTRICITÉ
• LETTRE CXLI • SUR LE MÊME SUJET
• LETTRE CXLII • DE L’ÉLECTRICITÉ POSITIVE ET DE L’ÉLECTRICITÉ NÉGATIVE:EXPLICATION DU PHÉNOMENE DE L’ATTRACTION
• LETTRE CXLIII • SUR LE MÊME SUJET
• LETTRE CXLIV • SUR L’ATMOSPHERE ÉLECTRIQUE
• LETTRE CXLV • SUR LA COMMUNICATION DE L’ÉLECTRICITÉ À UNE BARRE DE FER,PAR LE MOYEN D’UN GLOBE DE VERRE
• LETTRE CXLVI • SUR L’ÉLECTRISATION DES HOMMES ET DES ANIMAUX
• LETTRE CXLVII • DU CARACTERE DISTINCTIF DES DEUX ESPECESDE L’ÉLECTRICITÉ, POSITIVE ET NÉGATIVE
• LETTRE CXLVIII • COMMENT LE MÊME GLOBE DE VERRE PEUT FOURNIR L’UNEET L’AUTRE ESPECE D’ÉLECTRICITÉ À LA FOIS?
• LETTRE CXLIX • SUR L’EXPÉRIENCE DE LEYDE
• LETTRE CL • RÉFLEXIONS SUR LA CAUSE ET LA NATURE DE L’ÉLECTRICITÉ,ET SUR LES AUTRES MOYENS PROPRES À PRODUIRE L’ÉLECTRICITÉ
• LETTRE CLI • SUR LA NATURE DU TONNERRE: EXPLICATIONS DES ANCIENS PHILOSOPHESET DE DES CARTES; ET SUR LA RESSEMBLANCE ENTRE LES PHÉNOMENESDU TONNERRE ET CEUX DE L’ÉLECTRICITÉ
• LETTRE CLII • EXPLICATION DES PHÉNOMENES DE L’ÉCLAIR ET DU TONNERRE
• LETTRE CLIII • SUITE DE CETTE EXPLICATION
• LETTRE CLIV • SUR LA POSSIBILITÉ DE PRÉVENIR ET DE DÉTOURNERLES FUNESTES EFFETS DE LA FOUDRE
• FIN DU SECOND VOLUME
• LETTRE CLV • SUR LE FAMEUX PROBLEME DES LONGITUDES: DESCRIPTION GÉNÉRALEDE LA TERRE, DE SON AXE, SES DEUX POLES ET L’ÉQUATEUR
• LETTRE CLVI • DE LA GRANDEUR DE LA TERRE, DES MÉRIDIENS ET DU PLUS COURT CHEMIN
• LETTRE CLVII • DE LA LATITUDE ET DE L’INFLUENCE QU’ELLE A SUR LES SAISONSET LA LONGUEUR DES JOURS
• LETTRE CLVIII • DES PARALLELES, DU PREMIER MÉRIDIEN ET DES LONGITUDES
• LETTRE CLIX • SUR LE CHOIX DU PREMIER MÉRIDIEN
• LETTRE CLX • SUR LA MÉTHODE DE DÉTERMINER LA LATITUDE OU L’ÉLÉVATION DU POLE
• LETTRE CLXI • PREMIER MOYEN DE PARVENIR À LA CONNOISSANCE DES LONGITUDESPAR L’ESTIME DU CHEMIN PARCOURU
• LETTRE CLXII • CONTINUATION DE LA LETTRE PRÉCÉDENTE,ET DES DÉFAUTS DE CETTE PREMIERE MÉTHODE
• LETTRE CLXIII • DEUXIEME MÉTHODE DE DÉTERMINER LES LONGITUDESPAR LE MOYEN D’UNE HORLOGE EXACTE
• LETTRE CLXIV • CONTINUATION DE LA LETTRE PRÉCÉDENTE, ET ÉCLAIRCISSEMENS ULTÉRIEURS
• LETTRE CLXV • LES ÉCLIPSES DE LA LUNE CONSIDERÉES COMME UNE TROISIEME MÉTHODEPOUR DÉTERMINER LES LONGITUDES
• LETTRE CLXVI • LES OBSERVATIONS DES ÉCLIPSES DES SATELLITES DE JUPITER DONNENTUNE QUATRIEME MÉTHODE POUR DÉTERMINER LES LONGITUDES
• LETTRE CLXVII • LE MOUVEMENT DE LA LUNE FOURNIT LA CINQUIEME MÉTHODEDE DÉTERMINER LES LONGITUDES
• LETTRE CLXVIII • DES AVANTAGES DE CETTE DERNIERE MÉTHODE SUR LES PRÉCÉDENTES,ET DE SON DEGRÉ DE PRÉCISION
• LETTRE CLXIX • SUR LA BOUSSOLE ET SUR LES PROPRIÉTÉS D’UNE AIGUILLE AIMANTÉE
• LETTRE CLXX • SUR LA DÉCLINAISON DE LA BOUSSOLEET SUR LA MANIERE DE L’OBSERVER
• LETTRE CLXXI • SUR LA VARIATION QUE LA DÉCLINAISONDE LA BOUSSOLE ÉPROUVE AU MÊME ENDROIT
• LETTRE CLXXII • SUR LA CARTE DES DÉCLINAISONS, ET DE QUELLE MANIEREELLE POURROIT SERVIR À DÉCOUVRIR LES LONGITUDES
• LETTRE CLXXIII • POURQUOI LES AIGUILLES AIMANTÉES AFFECTENT EN CHAQUE LIEU DE LA TERREUNE CERTAINE DIRECTION: POURQUOI CETTE DIRECTION EST DIFFÉRENTE EN DIFFÉRENSENDROITS, ET PAR QUELLE RAISON ELLE CHANGE AU MÊME ENDROIT AVEC LE TEMS
• LETTRE CLXXIV • ECLAIRCISSEMENS ULTERIEURS SUR LA CAUSE ET LA VARIATIONDE LA DÉCLINAISON DES AIGUILLES AIMANTÉES
• LETTRE CLXXV • SUR L’INCLINAISON DES AIGUILLES AIMANTÉES
• LETTRE CLXXVI • SUR LA VÉRITABLE DIRECTION MAGNÉTIQUE, ET SUR LA MATIERESUBTILE QUI PRODUIT LA FORCE MAGNÉTIQUE
• LETTRE CLXXVII • CONTINUATION SUR LA NATURE DE CETTE MATIERE MAGNÉTIQUE,ET DE SON COURRANT RAPIDE. DES CANAUX MAGNÉTIQUES
• LETTRE CLXXVIII • DU TOURBILLON MAGNÉTIQUE, ET SUR L’ACTION DES AIMANS L’UN SUR L’AUTRE
• LETTRE CLXXIX • SUR LA NATURE DU FER ET DE L’ACIER ET DE QUELLE MANIEREILS PEUVENT RECEVOIR LA FORCE MAGNÉTIQUE
• LETTRE CLXXX • SUR L’ACTION DES AIMANS DANS LE FER ET DES PHÉNOMENES, QU’ON OBSERVELORSQU’ON MET DES PIECES DE FER DANS LE VOISINAGE D’UN AIMANT
• LETTRE CLXXXI • SUR L’ARMATURE DES AIMANS
• LETTRE CLXXXII • SUR L’ACTION ET LA FORCE DES AIMANS ARMÉS
• LETTRE CLXXXIII • SUR LA MANIERE DE COMMUNIQUER À L’ACIER LA FORCE MAGNÉTIQUE: DE LA MANIERED’AIMANTER LES AIGUILLES DE BOUSSOLES; DE LA SIMPLE TOUCHE, DE SES DÉFAUTSET DES MOYENS D’Y REMÉDIER
• LETTRE CLXXXV • COMMENT ON COMMUNIQUE À DES BARRES D’ACIER UNE FORCE MAGNÉTIQUE TRÈSGRANDE, PAR LE MOYEN D’AUTRES BARRES QUI N’EN ONT QU’UNE TRÈS FOIBLE
• LETTRE CLXXXVI • SUR LA FABRIQUE DES AIMANTS ARTIFICIELS EN FORME DES FERS À CHEVAL
• LETTRE CLXXXVII • SUR LA DIOPTRIQUE: DES INSTRUMENTS QU’ELLE NOUS FOURNIT POUR RENFORCERNOTRE VUE: DES TELESCOPES ET DES MICROSCOPES. DES DIFFÉRENTES FIGURES QU’ONDONNE AUX VERRES OU LENTILLES
• LETTRE CLXXXVIII • SUR LA DIFFÉRENCE ENTRE LES LENTILLES PAR RAPPORT À LA COURBURE DE LEURSFACES CONVEXES ET CONCAVES. DISTRIBUTION DES LENTILLES EN TROIS CLASSES
• LETTRE CLXXXIX • DE L’EFFET DES VERRES CONVEXES
• LETTRE CXC • SUR LE MÊME SUJET ET DE LA DISTANCE DE FOYER DES VERRES CONVEXES
• LETTRE CXCI • SUR LA DISTANCE DE L’IMAGE DES OBJETS
• LETTRE CXCII • SUR LA GRANDEUR DE CES IMAGES
• LETTRE CXCIII • SUR LES VERRES ARDENS
• LETTRE CXCIV • SUR LES CHAMBRES OBSCURES
• LETTRE CXCV • RÉFLEXIONS SUR LA REPRÉSENTATION FAITE DANS LES CHAMBRES OBSCURES
• LETTRE CXCVI • SUR LES LANTERNES MAGIQUES ET LES MICROSCOPES SOLAIRES
• LETTRE CXCVII • SUR L’USAGE ET L’EFFET D’UN VERRE CONVEXE SIMPLE, LORSQU’ONREGARDE IMMÉDIATEMENT À TRAVERS
• LETTRE CXCVIII • SUR L’USAGE ET L’EFFET D’UN VERRE CONCAVE, LORSQU’ONREGARDE IMMÉDIATEMENT À TRAVERS
• LETTRE CXCIX • DE LA GRANDEUR APPARENTE, DE L’ANGLE VISUELET SUR LES MICROSCOPES EN GÉNÉRAL
• LETTRE CC • SUR L’ESTIME DES GROSSISSEMENS DES OBJETSCONTEMPLÉS PAR DES MICROSCOPES
• LETTRE CCI • PROPOSITION FONDAMENTALE POUR LA CONSTRUCTION DES MICROSCOPES SIMPLESET DEVIS DE QUELQUES MICROSCOPES SIMPLES
• LETTRE CCII • SUR LES BORNES ET LES DÉFAUTS DES MICROSCOPES SIMPLES
• LETTRE CCIII • SUR LES TELESCOPES, ET LEUR EFFET
• LETTRE CCIV • SUR LES LUNETTES D’APPROCHE OU DE POCHES
• LETTRE CCV • SUR LEUR GROSSISSEMENS
• LETTRE CCVI • SUR LES DÉFAUTS DE CES LUNETTES DE POCHES,ET SUR LE CHAMP APPARENT
• LETTRE CCVII • DÉTERMINATION DU CHAMP APPARENT POUR LES LUNETTES DE POCHES
• LETTRE CCVIII • SUR LES LUNETTES ASTRONOMIQUES, ET DE LEUR GROSSISSEMENT
• LETTRE CCIX • SUR LEUR CHAMP APPARENT, ET LE LIEU DE L’OEIL
• LETTRE CCX • DÉTERMINATION DU GROSSISSEMENT D’UNE LUNETTE ASTRONOMIQUE, ET CONSTRUCTIONDE TELLES LUNETTES QUI GROSSISSENT LES OBJETS UN NOMBRE DONNÉ DE FOIS
• LETTRE CCXI • DU DEGRÉ DE CLARTÉ
• LETTRE CCXII • SUR L’OUVERTURE DES OBJECTIFS
• LETTRE CCXIII • SUR LA NETTETÉ DANS L’EXPRESSION; SUR L’ESPACE DE DIFFUSION CAUSÉEPAR L’OUVERTURE DES OBJECTIFS, ET CONSIDERÉE COMME LA PREMIERE SOURCEDU DÉFAUT DE NETTETÉ DANS LA REPRÉSENTATION
• LETTRE CCXIV • DE LA DIMINUTION DE L’OUVERTURE DES VERRES, ET DES AUTRES MOYENS DE DIMINUERL’ESPACE DE DIFFUSION ET DE LA RÉDUIRE MÊME À RIEN
• LETTRE CCXV • DES OBJECTIFS COMPOSÉS
• LETTRE CCXVI • DE LA FORMATION DES OBJECTIFS SIMPLES
• LETTRE CCXVII • SECONDE SOURCE DU DÉFAUT DE NETTETÉ DANS LA REPRÉSENTATION FAITEPAR LES LUNETTES. SUR LA DIFFÉRENTE RÉFRANGIBILITÉ DES RAYONS
• LETTRE CCXVIII • SUR UN MOYEN DE REMÉDIER À CE DÉFAUT, EN EMPLOYANTDES OBJECTIFS COMPOSÉS DE VERRE ET D’EAU
• LETTRE CCXIX • SUR UN AUTRE MOYEN PLUS PRATICABLE POUR REMÉDIER À CE DÉFAUT
• LETTRE CCXX • RÉCAPITULATION DE TOUTES LES QUALITÉS QU’UNE BONNE LUNETTE DOIT AVOIR
• LETTRE CCXXI • SUR LES LUNETTES TERRESTRES À QUATRE VERRES
• LETTRE CCXXII • SUR L’ARRANGEMENT DES VERRES DANS CES LUNETTES
• LETTRE CCXXIII • SUR QUELQUES PRÉCAUTIONS À OBSERVER DANS LA CONSTRUCTION DES LUNETTES:DE LA NÉCESSITÉ DE BIEN NOIRCIR L’INTÉRIEUR DES TUBES ET SUR LES DIAPHRAGMES
• LETTRE CCXXIV • COMMENT LES LUNETTES NOUS REPRÉSENTENT LA LUNE, LES PLANETES, LE SOLEILET LES ÉTOILES FIXES: POURQUOI CES DERNIERES NOUS PAROISSENT PLUS PETITESPAR LES LUNETTES QU’À LA VUE SIMPLE. ESTIME DE LA DISTANCE DES ÉTOILES FIXESEN COMPARANT LEUR GRANDEUR APPARENTE AVEC CELLE DU SOLEIL
• LETTRE CCXXV • SUR LA QUESTION: POURQUOI LA LUNE ET LE SOLEIL NOUS PAROISSENT PLUS GRANDSÀ LEUR LEVER ET À LEUR COUCHER, QUE LORSQU’ILS SE TROUVENT À QUELQUEHAUTEUR? DES DIFFICULTÉS QU’ON RENCONTRE EN VOULANT EXPLIQUER CE PHÉNOMENE
• LETTRE CCXXVI • RÉFLEXIONS SUR CETTE QUESTION EMBARASSANTE, ET APPLANISSEMENTDES DIFFICULTÉS QU’ON Y RENCONTRE. EXPLICATIONS ABSURDES
• LETTRE CCXXVII • ACHEMINEMENT À LA VRAIE EXPLICATION DE CE PHÉNOMENE. LA LUNE PAROIT ÊTREPLUS ÉLOIGNÉE DE NOUS LORSQU’ELLE EST À L’HORIZON, QUE LORSQU’ELLE SE TROUVEAU HAUT DU CIEL
• LETTRE CCXXVIII • LES ESPACES DU CIEL NOUS PAROISSENT SOUS LA FORMED’UNE VOUTE APPLATIE VERS LE ZÉNITH
• LETTRE CCXXIX • LA LUMIERE DES ASTRES QUI SE TROUVENT À L’HORIZON EST BEAUCOUP AFFOIBLIE,PARCEQUE LEURS RAYONS ONT UN BEAUCOUP PLUS GRAND CHEMIN À PARCOURIR DANSNOTRE BASSE ATHMOSPHERE, QUE LORSQUE LES ASTRES SE TROUVENT À UNE HAUTEUR;ET C’EST PAR CETTE RAISON QUE NOUS LES JUGEONS À L’HORIZON, ÊTRE PLUS ÉLOIGNÉSDE NOUS ET PLUS GRANDS, QUE S’ILS SONT À UNE HAUTEUR
• LETTRE CCXXX • SUR QUELQUES AUTRES ILLUSIONS, QUI VIENNENT DE CE QUE NOUS JUGEONS UN OBJETD’AUTANT PLUS ÉLOIGNÉ DE NOUS, QUE SA LUMIERE OU SON ÉCLAT NOUS PAROIT FOIBLE.DE QUELLE MANIERE LES PEINTRES EN PROFITENT
• LETTRE CCXXXI • SUR LE BLEU DU CIEL
• LETTRE CCXXXII • SUR CE QUE NOUS OBSERVERIONS, SI L’AIR ÉTOIT PARFAITEMENT TRANSPARENT,ET DE LA SITUATION DÉPLORABLE, DANS LAQUELLE UNE TELLEPARFAITE TRANSPARENCE DE L’AIR NOUS JETTEROIT
• LETTRE CCXXXIII • SUR LA RÉFRACTION DES RAYONS DE LUMIERE À LEUR ENTRÉE DANS L’ATMOSPHERE,SUR LES EFFETS DE CETTE RÉFRACTION. DES CRÉPUSCULES ET DU LEVER ET COUCHERAPPARENS DES ASTRES
• LETTRE CCXXXIV • SUR CE QUE LES ASTRES NOUS PAROISSENT PLUS ÉLEVÉS QU’ILS NE LE SONTEFFECTIVEMENT, ET SUR LA TABLE DES RÉFRACTIONS
• ELOGE DE M. EULERPAR LE MARQUIS DE CONDORCET
• 4e de couverture