Chapitre V
Premier réflexions sur la théorie de la relativité général
Tel premier réflexion je vais la faire sans penser dans le principe de Galilée sur la chute libre des corps.
La deuxième réflexion, plutôt, en référence, juste au principe de Galilée sur la chute libre des corps, je vais la faire dans la septième partie.
Comment tout nous savons, dans la Physique classique le mouvement uniforme absolu n’existe pas.
Albert lui-même répète, voir p. 221 de son livre susmentionné: Je ne comprends pas pourquoi il l'oublie lorsqu'il fait ses expériences mentales.
Je l'accompagne également dans ses expériences mentales.
Cette fois, je ne ferai pas qu'écouter ses conclusions.
Avant de partir, tout d’abord, j’ai fait suivre des études spécifiques pour connaitre plus en détail l’attraction gravitationnelle de la terre, à travers d’un réseau de surveillance positionné sur la surface terrestre, à différentes hauteurs, ainsi qu'à différents moments.
Ceci est à souligner le fait que nous sommes en présence d'un espace-temps en quatre dimensions (latitude, longitude, hauteur et temps).
Les études, comment déjà qualitativement bien est savait, ont confirmé que l’accélération de gravité (juste à cause de l’imparfaite sphéricité de la surface terrestre; d'inhomogénéité de la densité de la masse terrestre; des mouvements de la terre; de l’influence sur le camp gravitationnel terrestre des corps célestes components du système solaire, en particulaire soleil e lune, déjà au niveau macroscopique en relation aux marées, a la chute des météorites), n’est pas constante mais varie avec les coordonnées spatiales et le temps.
Les études ont également donné des résultats sur le principe de Galilée sur la chute libre des corps, ma di c’est, comment déjà dit, parlerai successivement dans la septième partie.
De plus, je demande que tout le matériel scientifique nécessaire soit mis en place, afin de vérifier expérimentalement chaque phénomène à l'étude.
Commençons!
Ça ne dépend pas de moi illustrer la théorie de la relativité générale avec les hypothèses sur lesquelles il est basé.
Avant de procéder, le lecteur pourra procéder à toute analyse approfondie qu’il jugera utile.
Pour une extrême simplicité, je signale seulement que la validité d'Albert du principe de Galilée sur la chute libre des corps était nécessaire pour pouvoir dire que, pendant tel chute, de conséquence, les corps entre eux sont au repos (relatif, j’ajoute), donc pas soumis à des forces: la gravité a disparu!
- 5.1. En ce qui concerne l'expérience d'ascenseur
Rappelons-nous que l'expérience est réalisée en supposant seulement l'absence d'air (semblable à Galilée avec son petit tube).
Pendant ce temps, Albert lui-même ne peut manquer de souligner que la validité du point de vue de l'observateur interne est limitée à la durée de la chute libre.
En plus de tous les différents objets apportés par Albert (mouchoir, montre), j'avais également deux petites sphères en or (par exemple 0,5 décimètres), ainsi que deux autres sphères toujours en or mais de diamètres différents. (Par exemple, l’un ayant un diamètre de 0,3 décimètre et l’autre ayant un diamètre de 10 décimètres).
Tout cela pour pouvoir effectuer des mesures précises, en différence d’Albert que, au lieu de cela, s’en remettait uniquement à son raisonnement, utilisant dogmatiquement le principe de Galilée.
Le câble est coupé à l'ascenseur.
Commence la chute libre verticale.
Ne se considéra pas aucune influence de l’ascenseur sur les corps placés à l’intérieur.
Albert, fait à l’observateur intérieur vérifier que "Aucune force n'agit sur les deux corps (mouchoir et montre), qui restent au repos comme s'ils étaient dans un SC (système coordonné) inertiel ”.
Albert, ce n’est – pas que ces objets les voient au repos. Il croit qu’ils sont dans cet état seulement parce – qu’il devrait être valide le principe de Galilée.
Albert le phénomène de la chute libre des corps ne veut pas le voir.
Je ne compris pas, aussi, pour quoi Albert attribue le caractère du SC (système coordonné) inertielle, quand il savait que le mouvement uniforme absolu n’existe pas . . . laissons perdre.
La Physique classique, en train de connaitre ça, fait référence aux étoiles fixé.
Une Sous – section .
Avant de suivir, je presse de faire noter que Fabio, dans ce livre, à l’ascenseur avec le câble cisaille, à la pag. 114, écrit «ne tombent pas, mais fluctuant devant d’elle et non stanno cadendo, ma fluttuano davanti a lei e perseverano, se non li spinge, nel loro stato di quiete o di moto rettilineo uniforme».
Albert, dans le livre, à la page. 225, toujours à l'ascenseur avec un câble cisaillé, rapporte «qui restent au repos comme s'ils se trouvaient dans un SC inertiel».
Pourquoi Fabio rapporte aussi “ou de mouvement rectiligne uniforme”?
Quel peut être le pensée d’Albert, rapportée complète dans le livre de Fabio, o que c’est plutôt l’ajout de Fabio, c’est à lui de clarifier cette situation.
Quels que soient les faits, je pense que la possibilité d'un "mouvement rectiligne uniforme", en plus du calme, ne peut exister.
Nous continuons.
Jusqu'à ce point, j'ai invité Albert à refaire l'expérience deux fois avec les deux paires de sphères séparément.
Concentrons-nous sur les aspects qui se produisent après la coupure du câble de support.
Albert, de manière superficielle, bien qu’il dispose à présent de toute l’instrumentation scientifique nécessaire, sans effectuer de mesure, il déclare à son observateur interne qu’il croit être inertiel, que chaque paire de sphères est à l’état de repos (au moins, nous pouvons maintenant observer des objets. régulier et non, comme il le faisait auparavant, avec le mouchoir et la montre).
À ce stade, avant de faire les mesures nécessaires, en fonction de mes réflexions, je signale à Albert que les deux paires de sphères (considérées une à la fois: la première paire ayant le même diamètre; la seconde paire présentant les deux diamètres) Je ne suis pas au repos (je ne comprends pas pourquoi Albert ne le spécifie jamais, ou peut-être que oui?. Son observateur interne vit dans la grotte), car leur distance mutuelle, lors de la chute libre, doit diminuer, toujours sans tenir compte du principe de Galilée.
Voulant seulement ne considérer que la motion de l'automne libre (vertical), ce mouvement que nous croyons naturellement accélérer du fait d'une approximation consciente (rectiligne à accélération constante), les deux verticales de chacune des deux sphères (pour chacune des deux paires examinées) ne sont pas deux droites parallèles, mais deux droites radial vers le centre de la terre. Par conséquent, avec le passage du temps, pendant lequel se produit la chute libre, la distance réciproque des deux sphères (corde) ou la longueur de l’arc de circonférence (pour chacune des deux paires de référence formées avec les quatre sphères) tend à diminuer. Si l’on considère plutôt une distance constante entre les sphères, il s’agit d’une erreur directement proportionnelle à la hauteur de chute libre, sans toutefois influer sur la distance entre les sphères.
J'ai délibérément négligé l'approche ultérieure des deux sphères, pour chacun des deux couples, en raison de l'attraction mutuelle.
Après ces éclaircissements, Albert approuve mes réflexions; nous effectuons ensemble les mesures qui confirment les résultats analytiques.
Nous sortons de l'ascenseur. Nous disons au revoir.
Je laisse Albert pensivement.
Il me fait comprendre qu'il comprend ce qui suit.
Il s'en va . . . à la recherche de Galilée et d'Isaac. . .
Murmurant. . .
Après cent ans, mais que besoin avait Fabio d’écrire son livre?
Je n’ai pas déjà donne le mérite dû à Ricci Curbastro, pour son système mathématique que j'ai utilisé pour ma théorie générale de la relativité?
Je pourrait conclure ici.
Cette réflexion sur la théorie de la relativité générale d’Albert Einstein est suffisante pour le réfuter?
Peu importe si cela est dû à l'inefficacité du principe de Galilée sur la chute libre de corps ou à toute autre raison qui y est liée. Mais je continue. Aussi, parce que, quelles que soient les conséquences sur la relativité, je dois réfléchir à où et pourquoi le principe de Galilée sur la chute libre des corps pourrait être affecté par une erreur découlant de la loi de gravitation ultérieure d'Isaac Newton.
- 5.2. A propos de l'expérience du vaisseau spatial.
Les expériences mentales sont admissibles lorsqu'elles ont leur propre logique et cohérence (élimination de l'air, élimination des frottements, isolation thermique).
Je ne peux vraiment pas voir ce vaisseau spatial.
Tout en admettant cette expérience (commençons), une fois arrivé dans cet espace lointain de l'univers (mais ce que cela signifie n'est soumis à aucun champ gravitationnel appréciable, il est évidemment acquis que sa stricte absence n'existe pas car elle est dans l'univers ...), que fait le vaisseau spatial? Est-ce que ça s'arrête? Se déplace-t-il en ligne droite uniforme? Est-ce que ça bouge avec des mouvements variés? Je ne vois vraiment pas pourquoi le navire devrait être un système inertiel.
Mais allons-y!
En tant que dogme, Albert doit donner l'état d'inertie au vaisseau spatial: il sait que, sinon, il ne pourrait pas continuer.
Est-ce que cela suffit, encore une fois, à réfuter votre théorie générale de la relativité?
M...