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Alcools
Ă propos de ce livre
Alcools est un recueil de poèmes de Guillaume Apollinaire, paru en 1913. Guillaume Albert Vladimir Alexandre Apollinaire de Kostrowitzky, dit Guillaume Apollinaire, est un poète et écrivain français, critique et théoricien d'art qui serait né sujet polonais de l'Empire russe, le 26 août 1880 à Rome. Il meurt à Paris le 9 novembre 1918 de la grippe espagnole, mais est déclaré mort pour la France en raison de son engagement durant la guerre. Considéré comme l'un des poètes français les plus importants du xxe siècle, il est l'auteur de poèmes tels Zone, La Chanson du mal-aimé, Le Pont Mirabeau, ayant fait l'objet de plusieurs adaptations en chanson au cours du siècle. La part érotique de son œuvre – dont principalement trois romans (dont un perdu), de nombreux poèmes et des introductions à des auteurs licencieux – est également passée à la postérité. Il expérimenta un temps la pratique du calligramme (terme de son invention, quoiqu'il ne soit pas l'inventeur du genre lui-même, désignant des poèmes écrits en forme de dessins et non de forme classique en vers et strophes). Il fut le chantre de nombreuses avant-gardes artistiques de son temps, notamment du cubisme et de l'orphisme, à la gestation desquels il participa en tant que poète et théoricien de l'Esprit nouveau. Précurseur du surréalisme, il en forgea le nom dans son drame Les Mamelles de Tirésias (1917).
Foire aux questions
Informations
Table des matiĂšres
- Couverture
- Alcools
- Table des matiĂšres
- Zone
- Le pont Mirabeau
- La Chanson du Mal-Aimé
- Aubade chantée à Laetare l'an passé
- Beaucoup de ces dieux...
- RĂ©ponse des Cosaques Zaporogues au Sultan de Constantinople
- Voie lactée {1}
- Les sept épées
- Voie lactée {2}
- Les colchiques
- Palais
- Chantre
- Crépuscule
- Annie
- La maison des morts
- Clotilde
- CortĂšge
- Marizibill
- Le voyageur
- Marie
- La blanche neige
- PoÚme lu au mariage d'André Salmon
- L'Adieu
- Salomé
- La porte
- Merlin et la vieille femme
- Saltimbanques
- Le larron
- Le vent nocturne
- Lul de Faltenin
- La tzigane
- L'ermite
- Automne
- L'Ămigrant de Landor Road
- Rosemonde
- Le brasier
- Je flambe dans le brasier
- Descendant des hauteurs
- Nuit rhénane
- Mai
- La synagogue
- Les cloches
- La Loreley
- Schinderhannes
- Rhénane d'automne
- Les sapins
- Les femmes
- Signe
- Un soir
- La dame
- Les fiançailles
- Mes amis m'ont enfin avoué leur mépris
- Je n'ai plus mĂȘme pitiĂ© de moi
- J'ai eu le courage de regarder en arriĂšre
- Pardonnez-moi mon ignorance
- J'observe le repos du dimanche
- A la fin les mensonges ne me font plus peur
- Au tournant d'une rue je vis des matelots
- Templiers flamboyants je brûle parmi vous
- Clair de lune
- 1909
- A la Santé
- Automne malade
- HĂŽtels
- Cors de chasse
- Vendémiaire