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La physique de l'Homme chez Regius suivi de En quoi le ...
À propos de ce livre
Les récentes études sur l'épais dossier de la querelle d'Utrecht ont mis au jour le caractère tumultueux des relations entre Descartes et celui qu'il a pourtant considéré comme son disciple, jusqu'à la brouille définitive. La première contribution de ce volume aborde cette relation à partir de l'œuvre de Regius et à la lumière de l'interrogation suivante: sur quel type de théorie de la connaissance, Regius se fonde-t-il pour rédiger une physique à laquelle ne manquerait plus ce qui manque aux Principes de la philosophie de Descartes? La seconde contribution montre en quoi et pourquoi les textes divers (de Clerselier, Schuyl, La Forge ) qui accompagnent l'édition posthume du traité de l'Homme visent à endiguer toute tentation de lire cet ouvrage comme un manifeste matérialiste. Elle interroge donc le texte de Descartes à partir de l'histoire de sa réception, pour en tirer enseignement sur Descartes même.
Foire aux questions
Informations
Table des matières
- La physique de l’Homme chez Regius
- suivi de
- En quoi le Traité de L’Homme de Descartes peut-il être lu comme un texte matérialiste ?
- Collection Mercure du Nord/Verbatim
- En quoi le Traité de L’Homme de
- Descartes peut-il être lu comme
- un texte matérialiste ?
- En quoi le Traité de L’Homme de
- Descartes peut-il être lu comme
- un texte matérialiste ?
- sommaire
- I/ LA PHYSIOLOGIE COMME BRANCHE DE LA DISCIPLINE S’ATTACHANT A LA CONNAISSANCE DES CHOSES NATURELLES
- II. LA CONNAISSANCE DE LA NATURE DE L’ÂME
- III. LES PASSIONS
- CONCLUSION
- I. Regards croisés : L’Homme au confluent de plusieurs histoires
- II/ La définition physiologique de l’idée et ses conséquences. Pistes de réflexion
- Collection Mercure du Nord/Verbatim
- La physique de l’Homme chez Regius
- la physique de l’homme chez Regius
- La physique de l’homme chez Regius
- LA physique de l’Homme chez Regius
-
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- En quoi le traité de L’Homme de Descartes peut-il être lu comme un texte matérialiste ? Variations sur l’édition de 1664