REMERCIEMENTS
Merci à Romeo Saganash, pour avoir accepté de répondre à mes mille et une questions...
Merci à Marc Gauthier, pour son efficacité discrÚte et bienveillante, et son pilotage de feu sur la route de la Baie-James!
Merci aux élus des villages et communautés de la région rencontrés pendant ce périple, dont Gordon Blackned, François Bouchard, Kenneth Cheezo, René Dubé, André Elliott, Thomas Jolly, Cécile Philippon, Normand Lacour, Emily Whiskeychan.
Merci Ă Walter Jolly et Darlene Cheezo-Diamond Ă Nemaska, Melissa Saganash, du gouvernement cri, Roger Orr Ă Chisasibi, Sylvain Paquin dans le bois, Edith Cloutier du Centre dâamitiĂ© autochtone de Val-dâOr, Nicolas Mainville qui dirigeait le bureau quĂ©bĂ©cois de Greenpeace lors de la rĂ©daction de ce livre, Jean-Christophe Guay dâHydro-QuĂ©bec, Jesse Staniforth pour ses prĂ©cieux conseils, Pierre-Alain Bouchard du gouvernement rĂ©gional dâEeyou Istchee Baie-James, Miles Smart du comitĂ© conjoint de chasse, de pĂȘche et de piĂ©geage, Matthew Happyjack dâAir Creebec, merci aux productions Quatre ĂlĂ©ments.
Merci à mes éditeurs, Alexandre Sånchez et Mark Fortier, au cartographe de choc Philippe Rekacewicz, à David Dufresne pour la précieuse relecture, et à Juliette, Joseph et Gustave, pour tout!
II
[1] LocalitĂ© de Villebois. Villebois, une localitĂ© dâavenir, Villebois, LocalitĂ© de Villebois, 2010.
[2] Wemindji et Waskaganish sont deux communautés cries.
[3] Commission royale sur les peuples autochtones, «à lâaube dâun rapprochement. Points saillants du Rapport de la Commission royale sur les peuples autochtones», Gatineau, ministĂšre des Approvisionnements et Services Canada, 1996, "site web".
III
[1] Les employĂ©s des mines utilisent, pour sây rendre puis pour rentrer chez eux, des avions affrĂ©tĂ©s par les compagnies.
[2] Pierre Foglia, «Un beau monsieur», La Presse, 8 mai 2011.
[3] Il a depuis été remplacé par Darlene Cheechoo, élue deux mois plus tard, ancienne haut responsable du gouvernement cri et premiÚre femme à diriger la communauté de Waskaganish.
IV
[1] Dans les villages cris de la Baie-James, prĂšs dâun bĂ©bĂ© sur cinq a une mĂšre adolescente. Le taux de fertilitĂ© est presque deux fois plus Ă©levĂ© que la moyenne quĂ©bĂ©coise. Le Conseil cri de la santĂ© et des services sociaux de la Baie-James observe cependant depuis quelques annĂ©es une baisse lĂ©gĂšre du nombre dâenfants par femme., «Aperçu de lâĂ©tat de santĂ© de la population de la rĂ©gion 18», Conseil cri de la santĂ© et des services sociaux de la Baie James, 2013, "site web".
[2] Comme en Ă©cho, ce rĂ©sumĂ© dâune Ă©mission crie de CBC, Maamuitaau, Ă lâoccasion de la JournĂ©e internationale des femmes, le 8 mars 2016: «à midi, les femmes derriĂšre la Convention de la Baie-James et du Nord quĂ©bĂ©cois. Pour notre programmation spĂ©ciale de la journĂ©e des Femmes, nous retournerons dans les annĂ©es 1970 pendant les nĂ©gociations de la Convention de la Baie-James, lorsque Violet Pachanos et Edna Neeposh travaillaient en coulisses, ouvrant les portes pour que les femmes obtiennent des postes de direction en Eeyou Istchee.» (Traduction libre.)
[3] Gaëtan Hayeur, «SynthÚse des connaissances environnementales acquises en milieu nordique de 1970 à 2000», Montréal, Hydro-Québec, septembre 2001.
[4] Ibid., p. 73.
[5] Cree Construction Development Corporation.
[6] Tracey Deer et Neil Diamond, One More River, Rezolution Pictures, 2005.
[7] Nicolas Renaud, La nouvelle Rupert, MC2 Communication MĂ©dia, 2012.
[8] La lettre est parue en ligne, "site web".
[9] www.creegeoportal.ca/climate-change.
[10] Dont, par exemple, Anne Foro et al., «Perception des leaders et professionnels dâEeyou Istchee quant aux changements climatiques et Ă leurs effets sur la santĂ© humaine: rapport des consultations», Chisasibi, Conseil cri de la santĂ© et des services sociaux de la Baie-James, mars 2013, "site web".
[11] Marie-Jeanne S. Royer, «Lâinteraction entre les savoirs Ă©cologiques traditionnels et les changements climatiques: les Cris de la Baie-James, la bernache du Canada et le caribou des bois», thĂšse, UniversitĂ© de MontrĂ©al, dĂ©cembre 2012.
[12] Traduction libre.
[13] Naomi Klein, Tout peut changer. Capitalisme et changement climatique, Montréal/Arles, Lux/Actes Sud, 2015, p. 193.
[14] Presque un an plus tard, on apprenait quâun foyer serait construit Ă Waskaganish, Ă proximitĂ© dâEastmain, et un autre Ă Waswanipi; des dĂ©cisions qui disent Ă la fois le dynamisme de la nation crie et la persistance des violences. Voir Betsy Longchap, Celina Wapachee et Jaime Little, «Ceremony Held to Bless Future Site of Waskaganish Womenâs Shelter», CBC News, 12 avril 2016, "site web".
V
[1] Les terres I sont celles des villages cris, les terres II sont les territoires de chasse exclusivement rĂ©servĂ©s aux Cris et situĂ©s immĂ©diatement autour des villages, les terres III sont les terres gĂ©rĂ©es par le gouvernement rĂ©gional, mais oĂč sont situĂ©s Ă©galement des territoires de chasse traditionnels cris.
[2] Lire, entre autres, ce communiquĂ© dâAmnistie internationale, «Les communautĂ©s touchĂ©es saluent cette dĂ©cision et rĂ©clament la tenue dâune enquĂȘte dans les plus brefs dĂ©lais», 31 mars 2010, "site web". La demande de suspension des activitĂ©s de la mine par lâOIT figure dans ce document: Bureau international du travail, «Rapport de la Commission dâexperts pour lâapplication des conventions et recommandations», ConfĂ©rence internationale du travail, 98e session, rapport III, partie 1A, 2009, "site web".
[3] «Inauguration de la mine ĂlĂ©onore de Goldcorp - Une mine moderne et un exemple de coopĂ©ration avec les PremiĂšres Nations selon lâAsso...