Alimentation et vieillissement
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TroisiĂšme Ă©dition

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À propos de ce livre

Une bonne alimentation peut-elle nous aider Ă  mieux vieillir? La recherche menĂ©e au cours des quarante derniĂšres annĂ©es nous incite fortement Ă  le croire. En effet, un nombre important de travaux indiquent qu'une alimentation variĂ©e et Ă©quilibrĂ©e favorise le maintien des fonctions physiologiques et contribue Ă  l'autonomie et au bien-ĂȘtre des personnes jusqu'Ă  un Ăąge avancĂ©. Par ailleurs, la grande majoritĂ© des dĂ©sordres observĂ©s au cours du vieillissement – l'ostĂ©oporose, le diabĂšte et l'hypertension, par exemple – sont liĂ©s Ă  des questions de nutrition.Cet ouvrage se consacre Ă  l'Ă©tude de la relation complexe entre alimentation et vieillissement en analysant en dĂ©tail le profil alimentaire des aĂźnĂ©s et leurs besoins nutritionnels. On y prĂ©sente notamment: ‱ les problĂšmes nutritionnels frĂ©quents chez les personnes ĂągĂ©es, comme la dĂ©nutrition, la dĂ©shydratation ou la dysphagie; les notions de base nĂ©cessaires Ă  la comprĂ©hension des particularitĂ©s nutritionnelles inhĂ©rentes au vieillissement;‱ les facteurs susceptibles d'influer sur les apports nutritionnels;‱ l'Ă©valuation nutritionnelle;‱ les nouvelles recommandations nutritionnelles en ce qui a trait notamment Ă  l'Ă©nergie, aux macronutriments, Ă  l'eau, etc.;‱ le nouveau Guide alimentaire canadien;les composĂ©s alimentaires exerçant des actions importantes sur l'organisme.‱ et un tout nouveau chapitre sur les profils alimentaires des aĂźnĂ©s canadiens et quĂ©bĂ©cois.En somme, ce livre est une vĂ©ritable rĂ©fĂ©rence pour les Ă©tudiants en gĂ©rontologie et plus largement pour toutes les personnes qui se prĂ©occupent de nutrition liĂ©e au vieillissement.Guylaine Ferland est professeure titulaire au dĂ©partement de nutrition de la FacultĂ© de mĂ©decine de l'UniversitĂ© de MontrĂ©al et chercheure Ă  l'Institut universitaire de gĂ©riatrie de MontrĂ©al et Ă  l'HĂŽpital du SacrĂ©-coeur Ă  MontrĂ©al.

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Informations

1
LA SCIENCE DE LA NUTRITION

Une bonne alimentation peut-elle nous aider Ă  mieux vieillir? La recherche rĂ©alisĂ©e au cours des quarante derniĂšres annĂ©es nous incite trĂšs fortement Ă  le penser. Un nombre toujours croissant de travaux indiquent en effet qu’une alimentation variĂ©e et Ă©quilibrĂ©e tout au long de la vie favorise le maintien des fonctions physiologiques, rĂ©duit les risques de morbiditĂ© et contribue Ă  l’autonomie et au bien-ĂȘtre des personnes jusqu’à un Ăąge avancĂ©. Inversement, un Ă©tat nutritionnel pauvre est associĂ© Ă  un dĂ©clin plus rapide des capacitĂ©s physiologiques et physiques, Ă  l’apparition de divers problĂšmes de santĂ© ainsi qu’à un plus grand nombre de visites Ă  l’hĂŽpital ou au cabinet du mĂ©decin.
En outre, il est maintenant bien Ă©tabli que la nutrition joue un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant dans l’apparition et l’évolution de plusieurs maladies invalidantes associĂ©es au grand Ăąge. Lorsque l’on exclut les prĂ©dispositions gĂ©nĂ©tiques, la qualitĂ© de la diĂšte se trouve en effet en tĂȘte des facteurs de risque des principales causes de dĂ©cĂšs au Canada, Ă  savoir les maladies cardiovasculaires, les cancers et les accidents vasculaires cĂ©rĂ©braux. D’autres dĂ©sordres frĂ©quemment observĂ©s au cours du vieillissement – l’ostĂ©oporose, le diabĂšte et l’hypertension, par exemple – comportent Ă©galement de fortes composantes nutritionnelles. De mĂȘme, un pauvre Ă©tat nutritionnel est un important dĂ©terminant de la mortalitĂ©. Selon un rapport rĂ©cent du Bureau du recensement des États-Unis, la pauvretĂ© de la diĂšte, l’inactivitĂ© physique et le tabagisme seraient Ă  la source de prĂšs de 40% des causes de mortalitĂ© des aĂźnĂ©s amĂ©ricains.
D’aucuns voient un lien direct entre la qualitĂ© de l’alimentation, laquelle s’est grandement amĂ©liorĂ©e au cours des derniĂšres dĂ©cennies, et l’accroissement du nombre de personnes atteignant des Ăąges trĂšs avancĂ©s. Il est vrai que, depuis une quinzaine d’annĂ©es, nous observons dans les pays industrialisĂ©s un vieillissement accĂ©lĂ©rĂ© des populations. Au Canada, par exemple, la proportion des personnes ĂągĂ©es de 65 ans et plus est passĂ©e d’environ 8%, au dĂ©but des annĂ©es 1950, Ă  plus de 11% en 1991, une tendance qui ne fait que s’accentuer puisque les personnes de 65 ans et plus devraient former le quart de la population canadienne en l’an 2051 (SantĂ© Canada, 2001). La figure 1.1 illustre les tendances dĂ©mographiques du Canada et des États-Unis.
Par ailleurs, le vieillissement de la population canadienne s’accompagnera d’un accroissement marquĂ© du nombre de personnes trĂšs ĂągĂ©es. Comme nous pouvons le constater par les donnĂ©es prĂ©sentĂ©es Ă  la figure 1.2, dans un peu plus de vingt ans, la moitiĂ© des aĂźnĂ©s du Canada seront ĂągĂ©s de 75 ans et plus. Le contingent ĂągĂ© continuera Ă©galement d’ĂȘtre majoritairement composĂ© de femmes, lesquelles en 2000, reprĂ©sentaient 57% de l’ensemble des personnes ĂągĂ©es de 65 ans et plus, et 70% des 85 ans et plus. Aussi, on prĂ©voit qu’en 2051 la population des personnes ĂągĂ©es se composera Ă  55% de femmes.
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À l’instar de ce qui s’observe dans les autres pays Ă©conomiquement favorisĂ©s, le vieillissement de la population canadienne est attribuable en grande partie Ă  une augmentation de l’espĂ©rance de vie. De fait, jamais dans l’histoire de l’humanitĂ© l’espĂ©rance de vie humaine n’a-t-elle Ă©tĂ© aussi Ă©levĂ©e. Par exemple, alors qu’au dĂ©but du xxe siĂšcle un Canadien pouvait s’attendre Ă  vivre en moyenne une cinquantaine d’annĂ©es, aujourd’hui, l’espĂ©rance de vie Ă  la naissance est de 82,1 ans pour les Canadiennes et de 77,2 ans pour les Canadiens. De plus, l’augmentation de l’espĂ©rance de vie touche toutes les Ă©tapes de la vie; par exemple, les femmes actuellement ĂągĂ©es de 65 ans ou de 75 ans peuvent s’attendre Ă  vivre respectivement 20,6 annĂ©es et 13 annĂ©es de plus, alors que l’espĂ©rance de vie des hommes aux mĂȘmes Ăąges sera de 17,2 et de 10,5 ans. Qui plus est, les femmes ­peuvent s’attendre Ă  vivre un plus grand nombre d’annĂ©es que les hommes, quelle que soit l’étape de la vie. Le tableau 1.1 prĂ©sente l’espĂ©rance de vie des Canadiennes et des Canadiens ĂągĂ©s, selon trois strates d’ñge.
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Que l’alimentation constitue un jalon important de la santĂ© et puisse contribuer au maintien de l’état physique et de l’état mental jusqu’à un Ăąge avancĂ© ne semble donc plus faire de doute Ă  notre Ă©poque. D’ailleurs, il est intĂ©ressant de noter que les connaissances acquises ces rĂ©centes annĂ©es tendent Ă  confirmer certains travaux de nature anthropologique qui, dans d’autres contextes, ont suggĂ©rĂ© des liens entre l’alimentation et l’état gĂ©nĂ©ral de santĂ©. Par exemple, la piĂštre qualitĂ© de l’alimentation et, en particulier, l’insuffisance calorique ont souvent Ă©tĂ© Ă©voquĂ©es pour expliquer, dans l’Europe du xviiie siĂšcle, la petite taille des personnes Ă  l’ñge adulte et la courte espĂ©rance de vie Ă  la naissance (Ă  peine 40 ans). Par ailleurs, les problĂšmes de santĂ© et la mortalitĂ© prĂ©maturĂ©e engendrĂ©s par la malnutrition qui sĂ©vit dans plusieurs pays du tiers monde nous rappellent le rĂŽle majeur jouĂ© par la nutrition sur l’échiquier sanitaire.
Mais qu’entendons-nous au juste par «nutrition»? De quoi est constituĂ©e cette alimentation susceptible de nous permettre de faire partie des octogĂ©naires, voire des nonagĂ©naires, que l’on croise en montagne ou au cours de randonnĂ©es de ski de fond et qui semblent moins essoufflĂ©s que nous, qui avons pourtant la moitiĂ© de leur Ăąge? Pour rĂ©pondre Ă  ces questions, nous devons d’abord dĂ©finir cette nouvelle science qu’est la nutrition et bien comprendre ce qu’elle englobe. Nous devons Ă©galement nous familiariser avec la notion d’aliment et connaĂźtre ses principaux composants, un vaste sujet qui sera d’ailleurs poursuivi aux chapitres 2, 3 et 4. En outre, parce que l’alimentation est avant tout une affaire de choix personnels, nous devons nous familiariser avec les fondements du comportement alimentaire: quels sont les facteurs qui nous font choisir un aliment plutĂŽt qu’un autre? Est-ce que ces choix changent Ă  mesure que l’on vieillit?

1.1 Qu’est-ce que la nutrition?

La science de la nutrition existe en tant que telle depuis environ une cinquantaine d’annĂ©es. Bien qu’elle se soit d’abord dĂ©veloppĂ©e Ă  partir des sciences de base que sont la chimie et la biologie, elle a depuis intĂ©grĂ© plusieurs autres disciplines, dont la biochimie, la physiologie, la biologie cellulaire et molĂ©culaire, la microbiologie et, plus rĂ©cemment, la biotechnologie. Par dĂ©finition, la nutrition est une science pluridisciplinaire qui s’intĂ©resse aux aliments et aux Ă©lĂ©ments nutritifs qui les composent, Ă  leur action dans l’organisme et Ă  leurs interactions en regard de la santĂ© et des maladies, aux processus par lesquels l’organisme ingĂšre, absorbe, transporte, utilise et excrĂšte les substances alimentaires, et, enfin, aux comportements alimentaires et aux facteurs (socioĂ©conomiques, politiques, technologiques ou autres) qui dĂ©terminent l’environnement alimentaire des ĂȘtres humains.

1.2 Les aliments et leurs composants

Par dĂ©finition, un aliment est un produit dĂ©rivĂ© des plantes ou des animaux servant de nourriture Ă  notre organisme. Plus spĂ©cifiquement, les aliments apportent Ă  l’organisme l’énergie et les substances chimiques dont il a besoin pour fonctionner, pour assurer sa croissance et son dĂ©veloppement, et pour permettre la rĂ©paration des tissus endommagĂ©s. On appelle «nutriments» ou «élĂ©ments nutritifs» les substances chimiques contenues dans les aliments.
Les nutriments se divisent en six grandes catĂ©gories: 1) les glucides (aussi appelĂ©s sucres), 2) les lipides (aussi appelĂ©s graisses), 3) les protĂ©ines, 4) les vitamines, 5) les minĂ©raux et 6) l’eau. Sur le plan chimique, les glucides, les lipides, les protĂ©ines et les vitamines se composent essentiellement d’atomes de carbone (C), d’hydrogĂšne (H) et d’oxygĂšne (O). PrĂ©cisons toutefois que les protĂ©ines contiennent Ă©galement des atomes d’azote (N) et peuvent dans certains cas inclure des atomes de soufre (S). De mĂȘme, certaines vitamines peuvent comporter des atomes d’azote ainsi que des minĂ©raux. Parce qu’ils contiennent du carbone, ces nutriments sont dits «organiques», ce qui littĂ©ralement signifie «vivants». Comme les nutriments des deux autres catĂ©gories (l’eau et les minĂ©raux) ne contiennent pas de carbone, ils sont dits «inorganiques». En effet, l’eau comprend uniquement des atomes d’hydrogĂšne et d’oxygĂšne, tandis que les minĂ©raux sont par nature des Ă©lĂ©ments chimiques, c’est-Ă -dire qu’ils sont composĂ©s d’atomes identiques (par exemple, le fer, le calcium, le zinc). Contrairement aux nutriments de nature organique qui peuvent ĂȘtre altĂ©rĂ©s par les conditions de l’environnement telles que la chaleur, l’oxygĂšne et les rayons ultraviolets, les minĂ©raux et l’eau sont des nutriments chimiquement trĂšs stables. Le tableau 1.2 offre un sommaire des nutriments et rĂ©sume leur composition chimique.
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D’un point de vue nutritionnel, on regroupe les nutriments selon leur importance quantitative dans l’alimentation et dans l’organisme. Parce qu’ils constituent environ 98% du poids des aliments, l’eau, les glucides, les lipides et les protĂ©ines forment ce qu’on appelle le groupe des macronutriments. En revanche, on appelle micronutriments les vitamines et les minĂ©raux, car ils ne constituent qu’une trĂšs petite fraction du poids des aliments et ne sont requis qu’en quantitĂ©s minimes par l’organisme. En plus des vitamines et des minĂ©raux, les aliments comportent d’autres substances prĂ©sentes en petites quantitĂ©s (choline, carnitine, phytosterol, flavonoĂŻdes, etc.), qui bien qu’encore considĂ©rĂ©es comme non indispensables, exercent des fonctions mĂ©taboliques importantes dans l’organisme. En outre, bien que le corps humain soit en mesure de produire certaines vitamines, il ne peut les synthĂ©tiser en quantitĂ© suffisante pour subvenir Ă  ses besoins. Ainsi, les vitamines, tout comme les minĂ©raux et certains acides gras, doivent ĂȘtre fournis par l’alimentation et, pour cette raison, ils sont dits «essentiels».
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Contrairement Ă  ce que l’on peut penser, la majoritĂ© des aliments comprennent les six catĂ©gories de nutriments susmentionnĂ©es. Par exemple, le bifteck dans notre assiette ne contient pas que des protĂ©ines, bien qu’il en constitue une bonne source; il comporte Ă©galement de l’eau, des lipides, des minĂ©raux (fer, magnĂ©sium, zinc) de mĂȘme que des vitamines (B12, B6 et niacine). Parmi les aliments d’exception, mentionnons le sucre de table, composĂ© exclusivement de glucides, ou encore les huiles vĂ©gĂ©tales, qui contiennent essentiellement des lipides et quelques vitamines. Le tableau 1.3 prĂ©sente la composition en nutriments de certains aliments usuels.

1.2.1 Les macronutriments

À l’exception de l’eau, les macronutriments sont des sources d’énergie pour l’organisme. L’énergie libĂ©rĂ©e en fonction du mĂ©tabolisme des macronutriments est mesurĂ©e en diverses unitĂ©s, dont la kilocalorie (kcal ou Cal) et la kilojoule (kJ), oĂč 1 kcal Ă©quivaut Ă  4,2 kJ2. Ainsi, lorsqu’il est complĂštement mĂ©tabolisĂ© dans l’organisme, un gramme de glucide, tout comme un gramme de protĂ©ine, va gĂ©nĂ©rer en moyenne 4 kcal; en revanche, un gramme de lipide fournit en moyenne 9 kcal. Aussi, la teneur Ă©nergĂ©tique d’un aliment va-t-elle dĂ©pendre de son contenu en divers macronutriments: un aliment essentiellement composĂ© de lipides fournira par unitĂ© de poids davantage de calories qu’un autre constituĂ© majoritairement de glucides ou de protĂ©ines.
Soulignons que l’organisme peut Ă©galement tirer de l’énergie de l’alcool dont l’apport est de l’ordre de 7 kcal par gramme; toutefois, l’alcool n’est pas Ă  proprement parler un Ă©lĂ©ment nutritif en raison des consĂ©quences nĂ©fastes qu’il peut engendre...

Table des matiĂšres

  1. PremiĂšre de couverture
  2. Faux-titre
  3. Page titre
  4. DépÎt légal - Catalogage
  5. Table des matiĂšres
  6. DĂ©dicace
  7. Préface
  8. Remerciements
  9. Introduction
  10. 1 La science de la nutrition
  11. 2 Les macronutriments
  12. 3 Les vitamines
  13. 4 Les minĂ©raux et l’eau
  14. 5 Principaux changements physiologiques ayant un impact nutritionnel
  15. 6 Facteurs susceptibles d’influer sur les apports nutritionnels
  16. 7 Les recommandations nutritionnelles au Canada
  17. 8 Bien manger avec le guide alimentaire canadien
  18. 9 Profil nutritionnel et alimentaire des aßnés canadiens et québécois
  19. 10 L’évaluation nutritionnelle
  20. 11 Principaux problÚmes nutritionnels chez la personne ùgée
  21. 12 ProblÚmes nutritionnels: dépistage et prise en charge
  22. Glossaire