Les organisations de soins de longue durée
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Les organisations de soins de longue durée

Points de vue scientifiques et critiques sur les CHSLD et les EHPAD

  1. 278 pages
  2. French
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Les organisations de soins de longue durée

Points de vue scientifiques et critiques sur les CHSLD et les EHPAD

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À propos de ce livre

Il n'existe pas de publication qui rassemble les points de vue scientifiques et critiques sur les centres d'hébergement et de soins de longue durée (CHSLD, au Québec) et les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD, en France). Pourtant, ces organisations sont depuis longtemps l'objet de vives critiques, notamment dans les médias, à cause du manque de main-d'oeuvre, de services déficients aux résidents ou de la faible qualité des infrastructures. Avec la crise de la COVID-19 subie en 2020, ces critiques semblent trouver, de façon tragique, toute leur justification. Les auteurs de l'ouvrage visent à combler ce manque en présentant une diversité de regards sur la situation de ces organisations. De la vie quotidienne des résidents à la place qu'occupent les CHSLD et les EHPAD dans le continuum de services, en passant par les enjeux organisationnels et professionnels, ils convoquent le travail social, les sciences infirmières, administratives et récréationnelles, ou encore la sociologie, pour expliquer ce contexte si difficile et proposer des améliorations. Ce livre inspirant, qui marie la réflexion, le récit et l'analyse, permet également l'accès à une bande dessinée originale en ligne sur le travail et la vie des préposés aux bénéficiaires, des « anges gardiens » bien humains. Le grand public, mais aussi toutes les personnes qui gravitent autour des CHSLD, des EHPAD ou d'autres types d'organisations gériatriques, ainsi que les étudiants en sciences infirmières, en gérontologie, en travail social ou en administration y trouveront réponse à leurs questions et bien plus. François Aubry est professeur au Département de travail social de l'Université du Québec en Outaouais (UQO), ainsi que chercheur au centre de recherche de l'Institut universitaire de gériatrie de Montréal (IUGM). Yves Couturier est professeur titulaire à l'École de travail social de l'Université de Sherbrooke et directeur scientifique du Réseau de connaissances en services et soins de santé intégrés de première ligne. Flavie Lemay est assistante de recherche et étudiante à la maîtrise en travail social à l'Université de Montréal.

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DEUXIÈME PARTIE

VIVRE DANS LES ORGANISATIONS
DE SOINS DE LONGUE DURÉE

CHAPITRE 6

La qualité de vie en résidence
avec le vêtement adapté
commercial

Marie Alderson, Lina Mani, Denyse Roy, Jacqueline Rousseau, Daniel Coutu et Line Allaire
La vie quotidienne des résidents en CHSLD est rythmée par des activités indispensables à leur bien-être; le déshabillage et l’habillage en font partie. Toutefois, l’autonomie fonctionnelle et cognitive de ces personnes étant réduite, la majorité d’entre elles a besoin d’une aide considérable des soignants pour accomplir ces tâches. Pour les soignants comme pour les résidents, les vêtements que portent ces derniers, ainsi que leurs caractéristiques (confort, qualité, esthétique, etc.), jouent un rôle important. Ils participent, à leur manière, à la construction du milieu de vie, dans la mesure où ils sont choisis par le résident et ses proches. En outre, ils sont principalement manipulés par les soignants, pour lesquels les activités de déshabillage et d’habillage peuvent engendrer des troubles musculosquelettiques.

Un milieu de vie ou un milieu de soins?

Il faut se rappeler qu’à l’aube des années 2000, le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec a effectué un tournant majeur dans la façon d’administrer les CHSLD et d’offrir des soins et services aux personnes qui y sont hébergées. En effet, le MSSS s’était donné pour mission d’instau- rer de nouvelles mesures en réponse aux critiques de dépersonnalisation adressées à ces centres. La réticence des personnes en perte d’autonomie à effectuer la transition vers un CHSLD était réelle; grande était la crainte de se voir dépossédées de leur qualité de vie antérieure et, plus globalement, d’un milieu de vie qui faisait sens pour elles. Dans ce contexte, on a préconisé l’implantation de l’approche milieu de vie dans la visée d’offrir à cette clientèle un environnement où elle préserverait son autodétermination en matière d’image de soi, de réalisation de soi, de rapports sociaux et d’organisation de fin de vie. Ladite approche prône une philosophie de soins et de services centrée sur le résident à titre de personne qui poursuit son cheminement de vie en étant accompagnée par des soignants qui la respectent dans ses droits fondamentaux ou ses aspirations et la considèrent comme un citoyen à part entière. Comme le précisaient les orientations ministérielles intitulées Un milieu de vie de qualité pour les personnes hébergées en CHSLD, publiées en octobre 2003, il s’agissait de mettre en place un milieu de vie dans lequel les services et les soins se fondaient sur les besoins, les goûts, les habitudes et les valeurs des personnes hébergées et de leurs proches.
On ne peut ignorer qu’à l’époque un véritable débat a pris place en CHSLD entourant les approches «milieu de vie» et «milieu de soins» dans la mesure où la décision ministérielle était venue bouleverser, relativement brusquement et sans grande négociation avec les intervenants concernés, l’organisation et la prestation des services au point de susciter diverses réactions chez les soignants, susceptibles de menacer la pérennité même du projet ministériel. Ce débat tend encore à ressurgir dans un contexte d’alourdissement de la clientèle en CHSLD.
Afin d’illustrer les enjeux de l’approche milieu de vie pour cette vaste équipe d’acteurs, nous recourrons à l’analogie, parlante pour le peuple québécois (et pour d’autres peuples nordiques), du mushing ou la conduite d’un traîneau à chiens mené par son maître d’équipage, communément appelé musher ou meneur de chien. Les termes mushing et musher dérivent du mot français «marcheur» utilisé par les Canadiens français, qui conduisaient des expéditions pour le ravitaillement des chercheurs d’or.
Cette analogie s’inspire d’un texte de la psychoéducatrice Carole Turcotte, responsable d’une meute de chiens, qui établit un lien entre les chiens de traîneau et les équipes de travail3. Nous le rappellerons plus loin dans ce chapitre.
Ce sont principalement les Inuits qui ont développé la pratique du traîneau à chiens pour leurs déplacements, le transport de marchandises, la livraison du courrier, voire pour tirer leurs charrues. L’Amérique du Nord se souviendra de la «course au sérum» de 1925 (connue aussi sous le nom de la Grande course de la Miséricorde) qui transporta d’urgence, en Alaska, par trains puis par traîneaux à chiens, une caisse de sérum antidiphtérique sur plus de mille kilomètres entre Anchorage et Nome, une région affligée par une épidémie de diphtérie.
Des tensions perdurent entre les soignants et les résidents et leurs proches aidants entourant l’approche milieu de vie: dans la perception des soignants, et selon Alderson (2006), cette approche donne une préséance accrue aux requêtes des résidents et des familles induisant une subordination des soignants à ces derniers. En effet, on accorde aux résidents et aux proches aidants un droit dans le processus décisionnel entourant les soins et les services afin que les personnes hébergées et leur famille s’immiscent, aux dires des soignants, dans la relation de soins, générant chez ces derniers la crainte que les familles en arrivent à réglementer leur pratique. Les soignants ont le sentiment d’être dépossédés de leur expertise professionnelle. L’organisation du travail centrée sur la tâche, couplée à un horaire plus ou moins rigide et exploitant peu l’optimisation des pratiques des professionnels et des non-professionnels, a eu du mal à se réinventer de manière à arrimer milieu de vie et milieu de soins.
Dans un contexte d’alourdissement des soins et services requis par la clientèle en CHSLD, les besoins des soignants sont, selon ces derniers, insuffisamment considérés, entraînant des effets physiques et psychologiques sur leur santé ainsi que sur la dynamique de l’équipe de soins.
Au niveau provincial, l’Association paritaire pour la santé et les services sociaux du secteur affaires sociales (ASSTSAS) a remarqué une mécanisation des relations entre les soignants et leurs clients: les résidents. Comment éviter que des soignants en viennent à agir machinalement face à leurs clients?
C’est dans une optique d’amélioration continue de la qualité de vie dans les milieux d’hébergement que le Ministère a mis en œuvre des visites d’évaluation. L’évaluation portait, et porte toujours, sur les exigences suivantes: 1) l’établissement s’engage à mettre en place des pratiques organisationnelles, administratives et professionnelles structurantes et contribuant à favoriser un milieu de vie de qualité; 2) le résident est intégré dans son nouveau milieu de vie et reçoit les soins et l’assistance requis lors des activités de la vie quotidienne, dans un milieu animé où les espaces sont personnalisés, adaptés et chaleureux.
Plus précisément, les pratiques, l’accompagnement et l’assistance doivent respecter l’individualité du résident. Dans cette perspective, les activités de la vie quotidienne des personnes hébergées en CHSLD, comme s’habiller, créer des liens et se divertir sont fondamentales. Il faut les encourager en tout temps, en tenant compte des préférences, des intérêts, des besoins et des capacités des résidents.
Pour ce faire, le personnel est invité à adopter des attitudes et des pratiques contribuant à un milieu de vie de qualité. Ainsi, c’est par diverses manifestations d’attention, d’empathie, de compassion autant que par professionnalisme que les résidents perçoivent que ce milieu peut être un chez-soi réconfortant et sûr.

Le milieu de vie: enjeux et défis

Parmi les enjeux de l’approche milieu de vie de la politique gouvernementale, il y a le fait de redonner à la personne hébergée le contrôle de ses soins et de son environnement, d’associer, si requis, sa famille à la prise de décisions ainsi que de restructurer le travail des soignants afin de répondre aux besoins particuliers des résidents et de mener l’ensemble de leurs activités avec compétence et respect (MSSS, 2004).
Assister des personnes hébergées en CHSLD, qui ont des incapacités à s’habiller et se déshabiller, représente un défi grandissant pour les soignants. Au niveau provincial, Duval (2005) révèle un risque de mécanisation des relations entre les soignants et les résidents. L’approche relationnelle des soins (ARS), prônée par l’ASSTSAS, vient cependant répondre à cette préoccupation. Cette approche est l’adaptation, par ladite association, de la manutention relationnelle conçue en France par Yves Gineste et Rosette Marescotti. Pour l’ASSTSAS, l’approche relationnelle des soins vient redéfinir les règles de l’art de manière à assurer les meilleures conditions d’exécution des tâches de soins, tant sur le plan physique que psychologique. En effet, plus la relation entre les clients et les soignants est harmonieuse, plus les clients et les soignants se sentent respectés et se diront satisfaits. Selon cette approche des soins mettant en œuvre simultanément le regard, le toucher et la parole, il ne peut y avoir de soins sans relation. Ce faisant, elle contribue à créer un contexte que les résidents et les soignants percevront comme agréable en raison de la relation harmonieuse qui se crée entre eux. À titre d’illustration, en 2006, le CSSS du Val Saint-François (Estrie) initiait deux formatrices à l’approche ARS par site d’hébergement. Par la suite, tout le personnel soignant a été formé. Le CSSS a réalisé, avec l’aide du conseiller milieu de vie Daniel Coutu, des activités de suivi de type «compagnonnage» formatrice-soignant, afin de favoriser le maintien de l’ARS: il s’agissait d’un suivi individuel avec les collègues au moment d’un soin d’hygiène ou de toute autre intervention d’assistance auprès d’un résident.

La santé au travail sacrifiée au milieu de vie?

Un des besoins chez l’humain est d’attirer l’estime et l’admiration des autres; ici, les vêtements jouent un rôle significatif. Plus exactement, outre le fait d’offrir une protection et du confort, la façon de s’habiller projette le statut social: elle enrichit l’apparence physique d’une personne du point de vue autant émotionnel que physique. Dans cet esprit, l’habillement est déterminant pour les résidents; il leur permet de conserver une image signifiante malgré le vieillissement et d’exprimer leurs valeurs, leur personnalité et leur identité, même pour ceux qui en sont moins conscients.
Cela dit, le déshabillage et l’habillage des résidents ainsi que les mobilisations requises constituent des activités perçues par les soignants comme particulièrement exigeantes. Elles arrivent d’ailleurs en deuxième position, derrière les soins d’hygiène, des tâches les plus stressantes, dans la mesure où elles représentent des sources potentielles de troubles musculosquelettiques (TMS). Les TMS se définissent comme un ensemble de symptômes et de lésions inflammatoires ou dégénératives de l’appareil locomoteur au cou, au dos, aux membres supérieurs et aux membres inférieurs: des facteurs biomécaniques, par exemple les efforts physiques, les routines répétitives, les postures contraignantes, ainsi que des facteurs organisationnels et psychologiques au travail contribuent de façon importante à la genèse de ces troubles chez les travailleurs (Vézina et al., 2011).
Les statistiques d’accidents entourant les TMS dans le réseau de la santé et des services sociaux sont éloquentes: en 2014, les TMS représentaient 51% des lésions (N = 4 685), et étaient la cause de 51,8% des jours d’absence CNESST (N = 268 902) et 52,2% des indemnités de remplacement de revenu, soit 31,4 M$ (ASSTSAS, 2017). L’Association indique que les causes les plus fréquentes sont des efforts excessifs ou la réaction du corps lors des activités, dont l’habillage (ex.: en avançant le tronc du client pour descendre son chandail), que l’agent causal est le client, que les titres d’emploi les plus touchés sont les préposés aux bénéficiaires (PAB), les infirmières auxiliaires et les infirmières, et que les lésions les plus fréquentes touchent le dos (65%), puis les épaules (13,5%). Parmi les mesures préventives, l’ASSTSAS (2017) recommande de faire la sélection et l’achat des équipements et des accessoires manquants que requièrent les clientèles obèses et bariatriques. Cette recommandation vaut aussi pour la clientèle en perte d’autonomie. La sécurité et la qualité des soins dispensés aux résidents en CHSLD, autant que la santé des soignants, constituent des préoccupations majeures pour les directions de ces institutions. Force est de constater que les TMS persistent à ce jour chez les soignants, et ce, malgré la disponibilité de données probantes quant aux pratiques préventives en santé et en sécurité du travail. Comme nous le voyons, le milieu de vie est associé à des enjeux de milieu de soins.
Les vêtements adaptés commerciaux (VAC) ouvrent une voie prometteuse, en CHSLD, pour concilier les enjeux souvent contradictoires entre milieu de vie et milieu de soins, autrement dit entre les considérations des résidents et de leurs proches et celles des soignants. Les VAC s’intègrent harmonieusement dans l’approche relationnelle des soins dont nous préconisons la poursuite et le maintien.

Les vêtements adaptés commerciaux

Les VAC sont conçus par des designers afin de répondre aux besoins particuliers des personnes en perte d’autonomie, d’assurer leur confort, de préserver leur dignité ainsi que pour faciliter les soins aux résidents et le travail des soignants. Par exemple, les VAC présentent divers atouts, comme des boutons pression; un élastique à la taille; des ouvertures et des panneaux arrière doubles préservant la dignité, sur une largeur d’environ 12 pouces (30 cm); des ouvertures et des panneaux de dignité aux pantalons sans siège; des ouvertures latérales aux pantalons qui facilitent l’enfilage; et le principe portefeuille pour les jupes. Les épaulettes des blouses, des chandails et des robes contribuent à compenser l’affaissement des épaules, souvent observable chez la personne âgée, ce facteur esthétique étant de nature à contribuer favorablement à l’image de soi.
Il importe de distinguer les VAC des vêtements réguliers modifiés de manière artisanale. Munis de bandes auto-agrippantes (Velcro™) qui ne résistent pas aux traitements des buanderies commerciales, les vêtements modifiés artisanalement sont peu rentables au bout du compte. En outre, le fait de les fendre dans le dos affecte la dignité du résident, qui perçoit son corps comme exposé à la vue d’autrui. De surcroît, les pantalons réguliers n’ont généralement pas assez de tissu pour que des attaches puissent y être ajoutées. De ce fait, ils sont souvent trop serrés, ce qui rompt les attaches lorsqu’il y en a et allonge le temps de déshabillage et d’habillage.
L’analogie entre les VAC et les harnais spécialisés, mis au point et préconisés pour la pratique du mushing nous vient ici spontanément à l’esprit dans la mesure où il s’agit d’une activité exercée par des auteurs du présent chapitre. Ainsi et à l’instar des VAC, il existe dans la pratique du mushing, des harnais perfectionnés, adaptés aux enjeux ergonomiques que rencontrent les chiens et le musher. On privilégie un design ainsi que des matériaux spécifiques afin de distribuer les tensions de la traction du traîneau sur le thorax du chien. Un harnais adapté libérera au maximum les voies respiratoires et les mouvements du chien à l’effort, facilitera la conduite de l’attelage et maximisera la satisfaction du musher lors de sa pratique. Plus particulièrement, les dimensions du harnais s’ajusteront parfaitement à la morphologie du chien, un harnais trop grand ou trop petit augmentant les risques de blessures de part et d’autre. Contrairement au vêtement régulier et au harnais de base non ajustable, les vêtements adaptés commerciaux ainsi que les ...

Table des matières

  1. Tableau des abréviations
  2. Introduction
  3. PREMIÈRE PARTIE
  4. GÉRER UNE ORGANISATION DE SOINS DE LONGUE DURÉE ET Y TRAVAILLER
  5. DEUXIÈME PARTIE
  6. VIVRE DANS LES ORGANISATIONS DE SOINS DE LONGUE DURÉE
  7. TROISIÈME PARTIE
  8. TRANSFORMER LES ORGANISATIONS DE SOINS DE LONGUE DURÉE
  9. Conclusion
  10. Les auteurs