Sous l'empire de Joséphine
eBook - ePub

Sous l'empire de Joséphine

  1. 136 pages
  2. French
  3. ePUB (adapté aux mobiles)
  4. Disponible sur iOS et Android
eBook - ePub

Sous l'empire de Joséphine

Détails du livre
Aperçu du livre
Table des matières
Citations

À propos de ce livre

Joséphine, première femme de Napoléon dont elle a partagé la vie pendant 10 ans, est restée dans la mémoire collective comme l'impératrice des Français. Soucieuse de préserver un cadre de vie intime, la Malmaison, sans s'y enfermer, elle est en relation avec les meilleurs artistes de son temps - peintres, sculpteurs, orfèvres et ébénistes - et anime ainsi une véritable vie culturelle. Elle est également en rapport constant avec les sociétés civiles et militaires françaises et européennes.

Foire aux questions

Il vous suffit de vous rendre dans la section compte dans paramètres et de cliquer sur « Résilier l’abonnement ». C’est aussi simple que cela ! Une fois que vous aurez résilié votre abonnement, il restera actif pour le reste de la période pour laquelle vous avez payé. Découvrez-en plus ici.
Pour le moment, tous nos livres en format ePub adaptés aux mobiles peuvent être téléchargés via l’application. La plupart de nos PDF sont également disponibles en téléchargement et les autres seront téléchargeables très prochainement. Découvrez-en plus ici.
Les deux abonnements vous donnent un accès complet à la bibliothèque et à toutes les fonctionnalités de Perlego. Les seules différences sont les tarifs ainsi que la période d’abonnement : avec l’abonnement annuel, vous économiserez environ 30 % par rapport à 12 mois d’abonnement mensuel.
Nous sommes un service d’abonnement à des ouvrages universitaires en ligne, où vous pouvez accéder à toute une bibliothèque pour un prix inférieur à celui d’un seul livre par mois. Avec plus d’un million de livres sur plus de 1 000 sujets, nous avons ce qu’il vous faut ! Découvrez-en plus ici.
Recherchez le symbole Écouter sur votre prochain livre pour voir si vous pouvez l’écouter. L’outil Écouter lit le texte à haute voix pour vous, en surlignant le passage qui est en cours de lecture. Vous pouvez le mettre sur pause, l’accélérer ou le ralentir. Découvrez-en plus ici.
Oui, vous pouvez accéder à Sous l'empire de Joséphine par Jacques-Olivier Boudon en format PDF et/ou ePUB ainsi qu’à d’autres livres populaires dans Historia et Historia del mundo. Nous disposons de plus d’un million d’ouvrages à découvrir dans notre catalogue.

Informations

Éditeur
SPM
Année
2015
ISBN
9782336747446

LA RENAISSANCE DE MALMAISON :
SOUVENIRS DE CONSERVATEURS
, 1

par Amaury Lefébure

La demeure de Joséphine que rien ne prédisposait à devenir un des hauts lieux de l’histoire de France – et un lieu de mémoire par excellence – a plusieurs fois échappé aux destructions qui l’ont menacée et connut à chaque fois une véritable renaissance. Sans remonter aux incursions des Vikings qui ont donné son nom à la « mala domus » (mauvaise maison), ni au remplacement du manoir médiéval par le petit château construit sous Louis XIII, Malmaison aurait pu, du temps même de Joséphine et après sa mort, disparaître. Cependant, à chacune des menaces de guerre, de ruine, de démolition, le château a bénéficié d’une protection, d’un renouveau, voire d’un essor. Déjà l’invasion de la France par les armées coalisées en 1814 et leurs incursions aux abords de Malmaison auraient pu entraîner son pillage, sa destruction, sans l’installation d’une « sauvegarde » par le tsar Alexandre Ier. Joséphine, de retour de son château de Navarre près d’Evreux où elle s’était réfugiée, a pu y finir ses jours presque en apothéose. L’invasion de 1815 s’est limitée à des pillages et à l’installation de troupes anglaises. La vente du domaine en 1828 pouvait entraîner à son tour la démolition du château. Il n’en fut heureusement rien. Le banquier Jonas Hagerman puis la reine Marie-Christine d’Espagne qui en furent les acheteurs successifs l’ont conservé, restauré, remeublé, même si le premier l’a amputé de la grande galerie, des cuisines et de la chapelle. Après la brillante renaissance du château avec Napoléon III et Eugénie, la guerre franco-prussienne de 1870 faillit néanmoins lui être fatale. Les bombardements du 29 décembre 1870 provoquèrent un début d’incendie et endommagèrent gravement les façades et les toitures que la IIIe République remit cependant en état avant la vente du domaine en 1877. Alors commença la lente agonie, annonciatrice d’une destruction probable à laquelle le château semblait ne pas pouvoir échapper. Son achat en 1896 par le mécène et philanthrope Daniel Iffla dit Osiris le sauva toutefois de la ruine1. Entièrement restauré et donné à l’État en 1903 pour y créer un musée napoléonien, il ouvrit au public en 1905. Une page nouvelle s’ouvrait pour le château, écrite depuis maintenant plus d’un siècle par les huit conservateurs qui se sont succédé dans la charge de l’entretenir et de le promouvoir.
Chacun d’entre eux, à sa manière, a participé à la renaissance progressive du château et de son parc dans leur état d’origine. Le premier, issu des milieux politiques, Charles Pallu de la Barrière (1905-1907), proche de Waldeck-Rousseau, commença d’abord par une surprise de taille ; à peine arrivé, il dut faire enlever un obus enfoui dans les jardins : « Le 16 août, l’autorité militaire que j’avais prévenue a fait enlever un obus chargé de 1871 enfoui dans les jardins »2. Une fois le parc en bon état, il s’attacha dans le château à remettre en place, autant qu’il était possible, le mobilier du temps de Joséphine, ou, à défaut, des équivalences, comme le prévoyait l’acte de donation. Le Mobilier national retourna le mobilier que Napoléon III avait fait placer entre 1862 et 1870, quand Malmaison avait été racheté par l’Empereur, et qui avait réintégré les magasins à la veille de la guerre. Le Mobilier national envoya également des meubles livrés pour les appartements de Joséphine à Saint-Cloud et aux Tuileries et des livres provenant de la bibliothèque. En 1906, un an après l’ouverture de Malmaison au public, l’impératrice Eugénie offrit plusieurs meubles et objets historiques de première importance dont la célèbre harpe de Joséphine par Cousineau3.
Cette politique de remeublement fut poursuivie par le successeur de Pallu de la Barrière, en 1907, Jean Ajalbert (1907-1917). Nommé par son ami Aristide Briand, alors ministre de l’instruction publique, Ajalbert était proche également du monde politique. Il parvint en dix ans à redonner aux salles ayant retrouvé un état historique, principalement au rez-de-chaussée, un aspect habité et à créer dans les autres pièces un musée grâce à de nouveaux dépôts du Mobilier national et de Versailles et à quelques dons : notamment les premiers dons des mécènes américains Edward Tuck et son épouse, Julia Stell. La renaissance de Malmaison était en marche. Et si la nouvelle chapelle édifiée par la reine d’Espagne était démolie en 1912, dans les jardins dès 1911, Jules Graveraux créait une roseraie en souvenir de la passion de Joséphine pour les roses. Ajalbert, avocat de formation, issu du journalisme, membre de l’Académie Goncourt de 1917 à 1947, rédigea dans un livre de souvenirs, paru en 1919 et réédité en 2007, ces dix années à Malmaison. Il y conte avec verve ses combats et ses victoires contre une administration souvent encline à « une routine inexpugnable »4. Il raconte par ailleurs la visite incognito de l’impératrice Eugénie, le 3 juillet 1909, alors qu’il est absent ce jour-là : « Je n’étais pas là. Un conservateur n’est jamais là, on le sait bien. C’est d’ailleurs, le sûr moyen de faire venir les gens que de s’absenter ! On ne bouge pas de quinze jours : personne. Absentez-vous un quart d’heure : c’est la visite importante… l’Impératrice, accompagnée du comte Primoli et de son secrétaire, M. Pietri, visita avec la foule… Ce fut mieux ainsi… L’Impératrice avait pu constater que rien n’était préparé pour la circonstance… Elle avait entendu le gardien proclamer, selon les étiquettes : « Don de l’impératrice Eugénie », devant la harpe, le buste de Joséphine, les meubles d’Hortense, comme pour tous autres donateurs. Elle en avait été étonnée et satisfaite, après l’incident de Carnavalet où le berceau du roi de Rome5 était annoncé, je l’ai noté déjà, comme un don de M. Pietri »6. Avec son successeur, Jean Bourguignon (1917-1946), ancien directeur de cabinet de Paul Painlevé, Malmaison bénéficia des réseaux politiques et mondains de son conservateur. Les collections s’accrurent de façon spectaculaire, passant de quelques centaines d’œuvres à près de dix mille, du fait notamment d’innombrables dons. C’est à Jean Bourguignon que l’on doit la création de la Société des Amis de Malmaison, en 1923, source principale de beaucoup de donations. Au premier rang de ces générosités, il faut noter le don en 1929 de 400 000 francs du grand mécène de Malmaison et d’autres musées français, Edward Tuck, pour l’acquisition de la célèbre Table d’Austerlitz que Bourguignon venait de préempter en vente publique, mais pour laquelle il ne disposait pas des crédits nécessaires7. Au premier rang des acquisitions, c’est, en 1931, celle du célèbre tableau de Girodet, Apothéose des héros français morts pour la patrie pendant la guerre de la Liberté, peint en 1802 pour le salon de Malmaison. Ces trente années qui virent la construction du pavillon dédié à Osiris et le retour en 1926 du château de Bois-Préau dans le domaine de Malmaison, grâce au mécénat des Tuck, marquèrent l’histoire de Malmaison. Une effervescence s’empara du château où se côtoyaient d’authentiques napoléoniens et des brasseurs d’affaires en quête de respectabilité. Les années 20 comme les années 30 rappelèrent par moment le temps des agioteurs du Directoire que fréquentait Joséphine !
Avec l’arrivée de Joseph Billiet (1947-1956), s’ouvrit une ère où désormais la conservation de Malmaison fut confiée aux seuls scientifiques, spécialistes de l’histoire de l’art. Billiet s’attacha à enrichir notablement les fonds d’autographes et de gravures et bénéficia de dons et de legs variés : les dons Rabusson-Corvisart (1948, 1950, 1953), le legs Villeneuve-Esclapon (1952) ; et c’est peu après son arrivée qu’entra, en 1949, l’œuvre emblématique entre toutes de Malmaison : Le Premier consul franchissant les Alpes de David, léguée par Eugénie Bonaparte, princesse de la Moskowa. À la suite de Joseph Billiet, Pierre Schommer (1956-1963) continua de bénéficier de ce courant de donations spécifique à Malmaison. Près de 5000 œuvres furent ainsi données en 1958 par la princesse Marie Bonaparte, après la mort de son époux, le prince Georges de Grèce, qui souhaitait léguer ses collections à Malmaison. Il s’agit d’un ensemble incomparable de tabatières, boîtes et petits objets à l’effigie de Napoléon ou participant de la légende napoléonienne. En 1961, la princesse Marie Bonaparte offrit également la frise à sujet mythologique considérée alors comme celle ornant l’hôtel de la rue de la Victoire, où vécurent Bonaparte et Joséphine jusqu’au coup d’État de novembre 17998. Pierre Schommer a laissé sur Joséphine des pages admirables, traçant une sorte de portrait psychologique de l’Impératrice, loin des caricatures engendrées par les ouvrages du grand historien de l’Empire, Frédéric Masson. Elles mériteraient d’être réunies en une publication9.
Durant la présence de Gérard Hubert (1963-1989), successeur de Pierre Schommer, de grands travaux de restaurations furent menés par Jacques Chauliat, architecte en chef des Bâtiments civils et Palais nationaux, en charge du château de 1971 à 1983. Outre les indispensables travaux assurant le clos et le couvert, les restaurations des salles historiques affectèrent au rez-de-chaussée la tente d’entrée, la salle de billard, le salon de musique, la bibliothèque, la salle du conseil ; au premier étage l’appartement de l’Empereur et celui de l’Impératrice, rétabli dans sa topographie d’origine, tandis que le second étage était aménagé en salles d’exposition permanente10. L’inventaire des collections s’accrut de près de 900 numéros, dont plus de la moitié constituée d’estampes ou de documents. La période fut dominée par quelques acquisitions de premier plan dont celle de l’Ossian de Gérard (1967), celle des premières pièces des services de Joséphine et d’Eugène par Dihl et Guérard (trois imposantes glacières en 1983), celle du Cabaret égyptien de l’impératrice Joséphine (1983) et par celle de meubles ayant figuré à Malmaison du temps de Joséphine : sept pliants de la grande galerie (1970, 1978, 1979), un fauteuil et trois tabourets du boudoir (1980), le guéridon du même boudoir (1986), et enfin cinq fauteuils du salon de compagnie (1986). Parmi les dons, il faut signaler ceux de gravures et de documents historiques (Amis de Malmaison en 1968 et 1974, Caroline Ferriday en 1968 et Pierre David-Weill en 1972), le legs de la baronne Gourgaud, effectif en 1965, et, au tout premier rang, le don de la berline de Waterloo par le comte Blücher von Wahlstatt en 1975. Enfin, Malmaison bénéficia de la cession et de la donation consenties en 1979 à l’État français par le prince Louis Napoléon (1914-1997), la princesse Alix, son épouse, et la comtesse de Witt (1912-1996), sa sœur. Près de 200 peintures, sculptures, objets et souvenirs historiques (dont le Glaive consulaire) et 3000 gravures enrichirent ainsi les collections du musée. À l’occasion de cette donation et de cette cession, une nouvelle répartition des collections napoléoniennes fut organisée entre les musées nationaux. Malmaison perdit une centaine d’œuvres (souvent des dépôts du Mobilier national) au profit de Fontainebleau, où fut inauguré en 1986 un Musée Napoléon Ier consacré à l’Empereur et à sa famille pendant la durée de l’Empire, et Compiègne, où avaient déjà été déposées entre 1952 et 1972, pour le Musée du second Empire, pas moins de 2400 œuvres. Malmaison est désormais le musée du Consulat, de Joséphine et de ses enfants, Eugène et Hortense, Bois-Préau, le musée de Sainte-Hélène, du retour des cendres et de la légende.
Avec Bernard Chevallier, à la tête du musée pendant vingt ans (1989-2008), les collections se sont enrichies de près de 1600 œuvres selon une politique privilégiant plusieurs domaines précis. Le premier domaine, traditionnel, est celui du remeublement de Malmaison, marqué par des acquisitions exceptionnelles comme celle du coffre à bijoux-écritoire de Joséphine par Biennais (1993), celle d’un sixième fauteuil du salon de compagnie (1995), ou celle d’un des fauteuils de la salle du Conseil, le premier à revenir à Malmaison (2004). Le deuxième domaine est lié à la reconstitution des services de porcelaine de l’impératrice Joséphine et du prince Eugène, livrés par la manufacture parisienne de Dihl et Guérard. Une trentaine d’assiettes ont ainsi été acquises (en 1991, 1992, 1993, 1994, 1995, 1997, 1998, 2005), de même que plusieurs pièces de forme (notamment une jatte à crème en 1993 et deux drageoirs en 2005) et une tasse et sa soucoupe (1994). Le troisième domaine est lié à une autre reconstitution : celle de la galerie de peintures de Joséphine, et à l’évocation du courant pictural qu’elle affectionnait, appelé de nos jours peinture troubadour. Plusieurs œuvres originales achetées par Joséphine et accrochées de son temps dans le salon de musique, ou des répétitions autographes, ont retrouvé leur lieu d’origine ou évoquent celles qui s’y trouvaient. On peut citer, du plus important des artistes appréciés par l’Impératrice, Fleury François Richard, Jacques de Molay (1993), Charles VII écrivant ses adieux à Agnès Sorel (2000) ou Valentine de Milan (2003). D’autres acquisitions ont, par ailleurs, enrichi les collections consacrées aux enfants de Joséphine, comme le carnet de romances de la reine Hortense, orné de lavis de Turpin de Crissé (1996), ou le meuble de toilette dit « barbière » du prince Eugène (2007). Pendant toute cette période, les dons ont été fort nombreux. Outre ceux des Amis de Malmaison, on peut citer les dons Ledoux-Lebart (1990, 1993), Proctor Jones (1993, 1998), Daisaku Ikeda (1994), Lesaffre (1996, 2002), Nuss (2000), Polain (2003), Serena (2004, 2006), Ruxton-Love (2005). Après Pierre Schommer, Bernard Chevallier à son tour a écrit sur Joséphine des pages admirables. La fréquentation des lieux habités par l’Impératrice, avant même d’en devenir le directeur, et le soin qu’il a porté à la restitution des décors et ameublements d’origine l’ont conduit à une intimité avec le personnage. Deux biographies, réalisées en collaboration avec Christophe Pincemaille, ont été publiées en 1988 et 199911. Elles ont révélé une femme de caractère, figure attachante et présente dans le cœur et l’imaginaire des visiteurs de Malmaison.
Par ailleurs, les travaux de restaurations poursuivis sous la direction de Jean-Claude Daufresne, architecte en chef des Bâtiments civils et Palais nationaux en charge de Malmaison de 1983 à 1992, ont permis la restitution dans leur état original des décors de la tente, du vestibule, de la salle à manger, et le réaménagement du château de Bois-Préau qui malheureusement sera fermé à l’automne 199812. Son successeur, Hervé Baptiste, architecte en chef des Monuments historiques chargé du département des Hauts-de-Seine et de Malmaison jusqu’à sa retraite en 2011, a continué ces travaux avec la restauration de la salle de billard et du salon du ...

Table des matières

  1. Couverture
  2. 4e de couverture
  3. Dans la même collection
  4. Titre
  5. Copyright
  6. Liste des auteurs
  7. INTRODUCTION par Jacques-Olivier Boudon
  8. LES TASCHER DE LA PAGERIE : ITINÉRAIRE D’UNE FAMILLE IMPÉRIALE EN MARTINIQUE DE 1802 À 1809 par Lionel Trani
  9. JOSÉPHINE SUR LES ROUTES DE L’EMPIRE par Jacques-Olivier Boudon
  10. L’EMPIRE DES LIVRES DE JOSÉPHINE par Charles-Éloi Vial
  11. ALEXANDRE IER, JOSÉPHINE ET LA REINE HORTENSE, ENTRE SPHÈRE PUBLIQUE ET SPHÈRE PRIVÉE par Marie-Pierre Rey
  12. JOSÉPHINE GRAND-MÈRE DE L’EUROPE par Camille Duclert
  13. LA FORTUNE APOCRYPHE DE JOSÉPHINE (1814-1914) par Alain Pougetoux
  14. NAPOLÉON III ET LA CHAMBRE DE JOSÉPHINE, LA FIDÉLITÉ À LA MÉMOIRE (1861-1870) par Isabelle Tamisier-Vétois
  15. LA RENAISSANCE DE MALMAISON : SOUVENIRS DE CONSERVATEURS, 1 par Amaury Lefébure
  16. LA RENAISSANCE DE MALMAISON : SOUVENIRS DE CONSERVATEURS, 2 par Bernard Chevallier
  17. TABLE DES MATIÈRES