La pensée kaléidoscopique de Jacques Zylberberg
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La pensée kaléidoscopique de Jacques Zylberberg

Un sociologue excentrique et attachant

  1. 174 pages
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La pensée kaléidoscopique de Jacques Zylberberg

Un sociologue excentrique et attachant

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À propos de ce livre

Faire oeuvre scientifique signifie à la fois faire preuve de rigueur et d'(in)discipline dans son enseignement et dans ses travaux pour aller au-delà des évidences. Jacques Zylberberg, citoyen du monde, s'est engagé avec passion et conviction dans une carrière universitaire afin de décrypter l'agir des gouvernants dans de multiples sociétés et comprendre les fondements du pouvoir qui engendrent la violence. Deux questions parmi tant d'autres ont guidé ses analyses socio-politiques: Comment les élites dirigeantes exercent-elles le pouvoir? Pour quelles finalités?

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Informations

Éditeur
Academia
Année
2021
ISBN
9782806124227

Des thèmes de recherche complexes,
variés et souvent à contre-courant

Pour suivre l’évolution de la pensée de Zylberberg, notons au départ que plusieurs perspectives théoriques s’entrecroisent et puisent dans plusieurs traditions sociologiques. Cette observation n’est pas très surprenante, puisque ses recherches s’étendent sur un bon nombre d’années. Ses angles d’approche semblent à la fois s’apparenter à un ordre diachronique, synchronique et même chronologique. Daniel Bertaux (2010 : 81) rappelle que la
diachronie concerne l’ordre temporel relatif des événements, leurs relations avant/après. La chronologie concerne leur datation « absolue » en termes de millésimes […] ou en termes d’âges.
Dans un certain sens, l’interprétation proposée ci-après au sujet des travaux de Zylberberg peut se concevoir sur un continuum qui oscille assez fréquemment entre ces pôles temporels. Il est difficile de qualifier les tendances théoriques et méthodologiques observées dans les écrits de Zylberberg, car elles vont dans de multiples directions en puisant dans plus d’une tradition sociologique. D’entrée de jeu, il est important de préciser que selon nos calculs, sur un total d’environ 100 publications sans distinction, que ce soit un livre, des chapitres de livres, des articles scientifiques, des notes de recherche, des préfaces, des introductions pour un numéro thématique de revue, etc. Zylberberg a signé en solo presque 60 d’entre elles. Ces publications débutent en 1966 et s’étendent jusqu’en 2009, soit pendant plus de 40 ans.
Si on dresse un tableau sommaire de ses publications, on arrive aux résultats suivants :
Compilations des publications présentées en Annexe A
1966-1979 : 15 publications / 19 publications en collaboration avec d’autres auteurs
1980-1989 : 24 publications / 41 publications en collaboration avec d’autres auteurs
1990-1999 : 15 publications / 32 publications en collaboration avec d’autres auteurs
2000-2009 : 3 publications / 5 publications en collaboration avec d’autres auteurs
Résultat : 57 / 97 ce qui correspond à 58 % de publications comme seul auteur
Dans ce qui suit, il s’agira d’analyser à la fois en compréhension et en extension la pensée de Zylberberg à partir de ses écrits. Il va sans dire que ceux-ci seront étudiés à la suite d’une série de décisions prises face à un corpus très vaste et diversifié. Il en a résulté une démarche qui se situe au confluent du micro et du macrosocial. Ce dernier aspect est à prendre en considération, du moins dans une certaine mesure surtout lorsqu’on s’intéresse au concept d’institution, un concept qui, au cours des années, a été remplacé dans les écrits de Zylberberg par celui d’organisation. Il semble en être de même pour le concept de cause, qui cède le pas à celui de corrélation. Dans le cas de la notion de structure, peu à peu elle est mise de côté au profit des termes de forme ou encore de configuration. La pensée de Zylberberg semble avoir évolué dans ces différents sens au fil du temps. Tout compte fait, le regard critique portera à la fois sur les écrits de Zylberberg et le contexte sociohistorique entourant leur production. Ces deux éléments sont indissociables. Nizet et Rigaux utilisent l’expression « la polyphonie de l’œuvre » lorsqu’ils veulent décrire leur approche face à l’ensemble des travaux d’Erving Goffman (Nizet & Rigaux 2014 : 98). C’est une piste prometteuse et une invitation à décomposer l’œuvre de Zylberberg afin de suivre ses pistes de réflexion et d’analyse et ainsi découvrir de multiples facettes de sa vie intellectuelle, tout comme Nizet et Rigaux ont su si bien le faire à l’égard de la pensée d’Erving Goffman.
Une mise en garde doit être faite : le découpage chronologique proposé ci-après demeure contestable. Il prend cette forme uniquement pour faciliter la compréhension des écrits de Zylberberg, qui sont nombreux et à thématiques multiples. Le but de cette démarche d’ordre méthodologique est d’offrir une analyse la plus systématique possible.

Les principaux thèmes de recherche de Zylberberg
dans un espace-temps de 40 ans

L’un des objets d’étude fondamentaux en science politique est sans aucun doute le concept de pouvoir et le lien qui l’unit avec celui d’autorité. Zylberberg a bien distingué les fondements du pouvoir lorsqu’il écrit qu’il y a lieu d’analyser les relations dialectiques entre : « les systèmes de représentation du pouvoir et les systèmes d’organisation du pouvoir » (Zylberberg 1988 : 249). Il pointe un élément fondamental pour appréhender la dyade : commandement – obéissance, deux notions chères à Max Weber. Lorsqu’on parle des systèmes d’organisation du pouvoir, on fait intervenir les acteurs sociaux qui, dans leurs actions, structurent notamment le pouvoir selon des intérêts particuliers. Ces acteurs sont aussi motivés par des valeurs et des normes qui sous-tendent leurs activités dans la sphère publique. Pour Zylberberg, la « vie politique » renvoie à l’idée d’une « compétition pour l’exercice du pouvoir » (Zylberberg 1976 : 225). Pour ce qui est des pouvoirs centraux, Zylberberg (1986 : 30-31) les définit comme des systèmes qui
codifient, encadrent, règlent et limitent les possibilités de production des œuvres de civilisation et des croyances. Face à l’action civile et au mouvement qui prétendent produire des croyances et des œuvres de civilisations pertinentes, significatives pour l’agrégation élective et structurelle, c’est-à-dire tracer les sentiers d’une « socialité humaine », non aliénée, non perçue comme étrangère, les élites des systèmes centraux contrôlent les médiations de l’œuvre.
Il distingue trois types d’élites : l’acteur ecclésiastique, l’acteur étatique et l’acteur capitaliste. Cette idée phare caractérise assez bien des points marquants de son œuvre éclectique, comme on le verra dans ce qui suit.
Dans les travaux de Zylberberg, un autre thème qui revient fréquemment est associé à différents types d’autorité. Tout comme Raymond Boudon (2012 : 266) a su le faire, Zylberberg distinguait les autorités religieuses et les autorités bureaucratiques. On peut se demander si dans leurs actions, ces autorités n’agissent pas avec des intentions comparables ? Assoiffé de liberté de parole, de liberté de mouvement, Zylberberg supportait mal que des individus pris un à un ou encore en groupes décident pour l’ensemble de la collectivité de ce qui est souhaitable pour tous et chacun. D’autres concepts récurrents peuvent être énumérés ici : gouvernement, groupement social, ordre social, ordonnancement sociétal, organisation du pouvoir dans différentes instances, etc. Autant de thèmes qui ressortent du contenu des publications de Zylberberg.
Le concept d’État est central dans les écrits de Zylberberg. Pour lui, l’État correspond au « noyau central de l’autorité politique dans les sociétés contemporaines » (Zylberberg 1976 : 218). Inévitablement, au fil du temps, il donne à ce concept de multiples formes. Dix ans plus tard, en puisant à même une perspective wébérienne, il soutient que l’État contemporain renvoie à :
une organisation permanente, spécialisée, centralisée et hiérarchisée qui régule les différentes catégories sociales au sein d’un ensemble territorial reconnu juridiquement par les autres États. (Zylberberg 1986 : 118-119)
Il ajoute ultérieurement que
l’État, comme signifié, est un phénomène singulier, une entreprise spécifique de gestion du lien social, de production de chaînes sociales et d’accompagnement des liens sociaux dans la postmodernité. (Zylberberg 1992 : 477-478)
Dans ses diverses analyses, il parle tantôt de l’État-nation, l’État de droit, l’État régulateur, l’État ethnique. Pour lui, l’État est une organisation à laquelle personne ne peut échapper. Il correspond à l’organisation de la domination.
La stratification sociale semble être un concept qui a retenu l’attention de Zylberberg très tôt dans ses travaux. En effet, en 1966, il a étudié la stratification sociale de la Guadeloupe. Pour ce faire, son analyse s’appuie sur le concept de statut social tel qu’il était élaboré à l’époque où cette étude a été réalisée. Les indices retenus sont : « ascendance, état de fortune, prestige attribué à la profession, niveau et genre d’éducation, caractéristiques biologiques (telles que la différence entre sexes) et religion professée » (Zylberberg 1966 : 483). La tradition sociologique a considérablement évolué depuis cette époque. En effet, au XXIe siècle, ce découpage ne se ramène-t-il pas aux indicateurs suivants : âge, genre, degré de scolarité, niveau de revenu, lieu de résidence, première langue apprise et encore parlée, origine nationale ? Ces derniers indices sont à la fois semblables et différents de ceux évoqués précédemment. On voit qu’ils témoignent de deux époques distinctes du point de vue des concepts utilisés pour décrire la société. Dans cette étude particulière, deux modèles de stratification sont exposés et finement décrits. Le premier modèle, qui « dérive de la période esclavagiste » (Zylberberg 1966 : 483) est associé à la vie privée et familiale, alors que le deuxième modèle prend forme « dans le cadre des relations de travail et de la vie publique » (Zylberberg 1966 : 483). Dans ce dernier cas, Zylberberg précise que : « ce modèle a été établi avec des moyens d’investigation très réduits et doit donc être manié avec précaution » (Zylberberg 1966 : 486).
Cette question de la stratification sociale renvoie aussi aux différents types de catégorisations officielles proposés par les autorités étatiques. Ces catégorisations administratives prescrites par diverses autorités correspondent à de multiples processus de différenciation et de hiérarchisation sociale. Les « grands de ce monde », ceux que Weber définit à partir de ses trois types de domination ou d’autorité [charismatique, traditionnelle et rationnelle-légale] proposent, voire imposent une manière particulière de concevoir le monde social (Bertaux 2013 : 12). Ce constat s’impose lorsqu’on réfléchit notamment à des questions associées à l’ethnicité, un concept qui désigne ces croyances réelles et imaginées associées à une origine nationale et culturelle particulière. Nos rapports à l’autorité, qui sont souvent à relier à la dialectique « commandement versus obéissance », peuvent prendre alors différentes formes.
L’influence de la pensée de Max Weber se manifeste aussi par rapport au concept de communauté. Zylberberg (1986 24) a avancé que
L’apparition de la sociologie nous avait valu une histoire évolutionniste, mais typifiée et optimiste remplaçant la théologie. Les relations sociales étaient fondues et abstraites dans des concepts collectifs indifférenciés prétendant représenter des stades de l’évolution de l’humanité toujours plus rationnelle, plus productive et mieux intégrée […] Le passé regretté est exemplifié par ce terme passe-partout élevé au rang de catégorie sociologique par Tonnies : la communauté (Gemeinschaft).
Cette communauté perdue quelque part entre la révolution industrielle et la fin de la Première Guerre mondiale signifie, dans la littérature, deux types différents de dynamiques : la déstructuration écologique et morphologique des relations sociales, le passage du village à la ville, la réduction de la famille étendue à la famille nucléaire ; dans la version d’Hannah Arendt, les individus « décommunautarisés » soit par l’évolution sociale, soit par la Grande Guerre, sont mobilisés, constitués en masse par des élites populaires. Cette vision psychologisante de la rupture des relations primaires affectives et immédiates, remplacées par une pseudo-communauté nationale d’individus atomisés, qui intègre l’individu privé de ses « groupes traditionnels d’appartenance et de référence », peut-être rapprochée des perspectives de Durkheim et de Fromm, sans oublier Reich […] L’évolution sociale a produit un excès de liberté individuelle et l’individu a peur de la liberté. Les masses post-traditionnelles et post-communautaires désignent donc alternativement la foule comme groupe d’appartenance et le peuple comme groupe de référence mythique fusionnant à la fois la communauté et la société. (Zylberberg 1986 : 24-25)
Zylberberg a publié de nombreux articles sur l’Amérique latine. Après la création du Centre for Research on Latin America and the Caribbean, en 1979 à Toronto, il s’est impliqué de multiples manières dans ce centre de recherches et de ressources qui avait été mis sur pied notamment pour offrir des possibilités de recherche et faciliter l’exil à des étudiants victimes de répression dans leur pays d’origine. Zylberberg connaissait de près la situation sociopolitique dans plusieurs pays d’Amérique centrale et d’Amérique du sud, car il a étudié le Chili, l’Équateur, l’Argentine, le Venezuela, la Guadeloupe, Haïti dans le cadre de ses travaux. Plus tard dans le présent chapitre, d’autres observations seront formulées au sujet de ces multiples études de cas. Le Canada, le Québec, les États-Unis, la France ont aussi donné lieu à des publications qui témoignent d’un foisonnement de la pensée de Zylberberg et montrent comment il a procédé pour tester les diverses hypothèses de travail qu’il a formulées. L’analyse comparée lui a permis de mettre en relief des faits, des idées qui, autrement, n’auraient pu être imaginés qu’en termes d’évidence. Sa démarche scientifique s’inscrit dans la même perspective que celle mise en avant par Bernard Lahire (2017). Celui-ci soutient avec justesse que :
Lorsque nous lisons des travaux scientifiques issus de traditions théoriques diversifiées nous n’apprenons pas les mêmes « choses » concernant le monde social et nous ne pouvons pas prétendre que l’un ou l’autre de ces travaux permet de saisir de façon plus complexe les mêmes réalités que les autres appréhendent. Ils nous présentent des versions différentes d’un monde social qui est encore susceptible, avec la variation perpétuelle des valeurs et des intérêts culturels, d’une multitude d’autres descriptions et analyses. (Lahire 2017 : 364)
Le thème du nationalisme est étudié de manière récurrente dans ses travaux, tout comme celui relatif aux droits humains et à la citoyenneté. Zylberberg a écrit abondamment sur ces divers sujets. On n’a qu’à penser au livre qu’il a édité en collaboration en 1991 (Colas & coll. 1991). En tant que sociologue des religions, Zylberberg a démontré à maintes reprises la variabilité et la complexité du concept de religion (Fontaine 2017). Un principe de base qui correspond à un fil conducteur dans ses travaux est celui qui affirme que
le rôle social d’une religion ne peut jamais être défini une fois pour toutes : il doit être précisé pour chaque période historique, et en fonction de chaque groupe social spécifique qui s’approprie de cette religion (Lalive d’Épinay & Zylberberg 1974 : 87).
Un autre principe perceptible dans ses écrits est celui qui soutient que :
la réalité radicale de la vie représente pour l’entreprise de connaissance, pour l’agir rationnel, un donné, plutôt qu’un déterminisme. L’univers, le monde, la radicalité de la vie, ne peuvent être affrontés conceptuellement que dans la perspective du limité, de la relativité, de la logique d’un point de vue (Zylberberg 1989 : 880).
Il adopte cette prise de position en s’appuyant sur celle soutenue par Ortega y Gasset dans son livre La révolte des masses.
Cet arrière-plan thématique représente un prélude à la présentation des multiples facettes de la pensée de Zylberberg qui seront étudiées plus en profondeur dans les prochaines pages. Pour s’y retrouver, le découpage proposé conjugue deux types de facteurs. Des repères temporels seront utilisés et décomposés en décennies de 1970 jusqu’à 2010 et quelques événements significatifs associés à son destin individuel seront aussi évoqués pour marquer cet ordre biographique. Nous pensons notamment au coup d’État au Chili le 11 septembre 1973, au fait qu’il a immigré au Canada en 1975, à son mariage en 1989 et à ses problèmes de santé qui se sont aggravés après 2001 jusqu’à son décès neuf ans plus tard. Ces événements biographiques ont façonné ce qu’il est devenu. Dans une certaine mesure, ils ont influencé ses productions scientifiques au fil du temps.

Les thèmes privilégiés tout au long des années 1970

Le titre choisi exige de le nuancer et de reconnaître que durant la décennie 1960, au moins un de ses écrits a fait l’objet d’une publication scientifique. Il s’agit de cette étude de cas au sujet de la société guadeloupéenne dans laquelle il présente l’« Esquisse d’une sociologie de la Guadeloupe » (Zylberberg 1966). Dans la première note de bas de page de ce texte, il précise que cette étude reprend des extraits d’un « mémoire publié à l’Université de Louvain » (Zylberberg 1966 : 478). Un mémoire de fin d’études présente les étapes ultérieures de ce que pourrait être l’étude d’un sujet spécifique. C’est une étape obligatoire à franchir avant l’obtention de l...

Table des matières

  1. Couverture
  2. 4e de couverture
  3. Titre
  4. Copyright
  5. Exergue
  6. Remerciements
  7. Préface. Trois mondes unis par l’amitié
  8. Avant-propos
  9. Introduction
  10. Quels angles d’analyse privilégier et pour quelle finalité ?
  11. L’homme derrière et devant son œuvre
  12. Ses manières de faire de la science
  13. Des thèmes de recherche complexes, variés et souvent à contre-courant
  14. Une multiplicité de regards et d’interprétations
  15. Conclusion
  16. Annexe A : Liste non exhaustive des écrits de J. Zylberberg
  17. Annexe B : Des archives hétéroclites, apports multiples et limites observées
  18. Bibliographie
  19. Table des matières