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- 336 pages
- French
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eBook - ePub
La loi des seigneurs
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Citations
Ă propos de ce livre
Ce document, basé sur les éléments d'un dossier judiciaire et médiatique complexe, rapporte la quotidienneté violente parfois pathétique, d'une affaire qui a amené l'un des géants de la bande dessinée, Albert Uderzo, à connaßtre une situation qu'aucun druide n'aurait pu prédire. Ce que Jules César n'avait pas réussi, des acteurs industriels, protégés par de larges réseaux d'influence, l'ont fait: le village d'Astérix n'appartient plus à ses créateurs.
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Sujet
Sciences socialesSous-sujet
SociologieĂPISODE 1
CITATION DIRECTE
QUAND LA JUSTICE ENTRE DANS LE PLAN DE COMâ
Il est quinze heures le lundi 2 dĂ©cembre 2013, lorsque mon mobile rĂ©sonne. Nicolas Huc-Morel, notre avocat, cherche Ă nous joindre⊠Y aurait-il du nouveau dans notre vaste dossier que lâon tente de prĂ©senter, depuis quelques annĂ©es, comme opposant lâun des gĂ©nies de la bande dessinĂ©e du XXe siĂšcle, Albert Uderzo, Ă sa fille unique, Sylvie ?
« Bernard, commence Nicolas, je nâarrive pas Ă joindre Sylvie⊠je viens de recevoir un acte dâhuissier Ă©manant de vos beaux-parents⊠Il sâagit dâune citation directe devant le tribunal correctionnel⊠» La voix de Nicolas est mal assurĂ©e. Il est, sonorement, mal Ă lâaise et dĂ©solĂ©. Sâil me lit trĂšs rapidement les quelques lignes essentielles quâil dĂ©couvre avec moi, jâencaisse plus lentement, tant lâattaque est violente. Les mots retenus pas les rĂ©dacteurs de lâacte sont choisis pour faire mal et mouche : il nous est reprochĂ© dâavoir commis des « violences psychologiques » contre les personnes dâAda et dâAlbert Uderzo en Ă©tant, en prime, animĂ©s dâune volontĂ© maligne, celle dâ« abrĂ©ger leurs jours » !
La sidĂ©ration qui tĂ©tanise mes neurones ne mâempĂȘche pas de comprendre quâ« ils » ont franchi, cette fois dĂ©finitivement, le Rubicon de la dĂ©cence minimum, quâ« ils » ont piĂ©tinĂ© des valeurs quâon ne devrait jamais transgresser. Il nây a donc plus rien qui « les » arrĂȘte. Câest lâart de la guerre selon Sun Zi, appliquĂ© maintenant Ă la vie privĂ©e, Ă la famille mĂȘme : la guerre totale que mĂšnent aujourdâhui, plus souvent que le citoyen ne le croit, des puissants pour atteindre les objectifs quâils se sont fixĂ©s. Des « hommes gris », sur lesquels nous reviendrons plus loin, ont pris, câest notre certitude, le contrĂŽle absolu de lâesprit de mes beaux-parents. Pourtant, aprĂšs plus de six ans de combat judiciaire et mĂ©diatique, je nâarrive toujours pas Ă lâaccepter. Cela dĂ©passe mon entendement ! Et je devine que câest ce qui empĂȘchera encore longtemps lâopinion de saisir la rĂ©alitĂ© de ce « dossier ». Seuls le temps, la patience et une dĂ©termination sans faille nous permettront de reconstituer ce puzzle dont les piĂšces ont Ă©tĂ© volontairement Ă©parpillĂ©es. Câest la raison de notre lutte, Ă Sylvie et Ă moi, depuis ce mois de dĂ©cembre 2007 oĂč Albert, Ă 80 ans, a cautionnĂ©, « Ă lâinsu de son plein grĂ© », le licenciement de sa fille adorĂ©e sans motif lĂ©gitime et sĂ©rieux.
Mais, aujourdâhui, je nâai pas le temps de raisonner plus longtemps, mon mobile est dĂ©jĂ en double appel, cette fois câest Sylvie qui tente de me joindre. Je termine ma conversation avec lâavocat qui nâa, pour le moment, plus dâobjet â je crois que jâai compris lâintention â, pour avertir Sylvie du dernier rebondissement de lâaffaire⊠Mais elle sait dĂ©jĂ . « Je referme la porte sur un huissier », me dit-elle. La voix de ma femme est assez neutre, je connais cette voix oĂč je devine la nouvelle charge Ă©motionnelle qui sâest invitĂ©e dans son systĂšme nerveux, venant sâajouter au poids de tous ces instants oĂč il lui a fallu assumer des agressions aussi fantaisistes que rĂ©elles, aussi incongrues que grossiĂšres, aussi incroyables que vulgaires. Sylvie ne sait pas plus que moi Ă quoi cette « citation directe » correspond vraiment. Je la rassure Ă peine en lui proposant que nous la lisions ensemble, si elle pouvait me rejoindre Ă mon bureau dĂšs que possible⊠Il nâest pas quinze heures quinze quand je raccroche. Je sens confusĂ©ment que la dizaine de minutes qui vient de sâĂ©couler va peser lourd dans notre avenir immĂ©diat⊠Je ne peux que difficilement me concentrer sur lâemail que jâĂ©tais en train dâexpĂ©dier. Je le laisse Ă lâĂ©tat de brouillon de peur que la nouvelle dĂ©charge dâadrĂ©naline ne me fasse Ă©crire des mots qui auraient perdu leur sens. Ă lâinstar de tout ce que nous vivons depuis le dĂ©but de cette affaire.
En attendant que Sylvie me rejoigne, je recommence Ă raisonner. Je relĂšve que, pour la premiĂšre fois depuis 2007, dĂ©but des hostilitĂ©s, Sylvie et moi sommes poursuivis conjointementâŠ
Ă quoi peut rĂ©ellement correspondre cette attaque venue de lâespace et dĂ©nuĂ©e du moindre dĂ©but de rĂ©alitĂ© ? « Des violences psychologiques » ? Depuis lâorigine, Sylvie a toujours tenu Ă ne rien faire contre son pĂšre, ses parents, espĂ©rant quâĂ chaque carrefour judiciaire, un ange serait venu remettre de lâordre entre lâĂ©querre et le compas jetĂ©s Ă la maniĂšre dâun autiste sur le tapis vert du dossier. Puis, en 2011, lorsquâelle a eu des soupçons prĂ©cis et avĂ©rĂ©s que nous rĂ©vĂ©lerons, elle sâest dĂ©cidĂ©e Ă entamer une action en abus de faiblesse afin de protĂ©ger ses parents des prĂ©dateurs qui les entouraient⊠Jamais elle nâa agi « contre » ses parents. Contrairement Ă ce que certains mĂ©dias savamment intoxiquĂ©s ont pu Ă©crire ici ou là ⊠OĂč seraient donc les « violences psychologiques » ?
Mais un texto de Nicolas Huc-Morel mâavertit que BFM TV souhaite interviewer Sylvie⊠Comment seraient-ils dĂ©jĂ au courant ? Sylvie me rejoint enfin avec une copie de la citation directe⊠Elle en a lu la premiĂšre page et cela lui suffit bien pour le moment : une irrĂ©pressible nausĂ©e semble nâattendre quâun paragraphe de plus pour concrĂ©tiser ses sombres projets. Lâacte rĂ©digĂ© par les avocats de mes beaux-parents, Jean-Alain Michel et Pierre Cornut-Gentille, est un nouvel Ă©pisode de la saison 4 du feuilleton Main basse sur le village gaulois.
La prise de contrĂŽle du trĂ©sor culturel que constitue AstĂ©rix et ses amis, inventĂ©s par RenĂ© Goscinny et Albert Uderzo en 1959, ressemble Ă sây mĂ©prendre Ă une sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e Ă©crite par une triste Ă©quipe que lâon nommera plus loin « ComitĂ© Central », pour faciliter la lecture. Comme un previously, rĂ©sumĂ© des Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents, la citation directe reprend en plus trash tout ce que les storytellers (avocats, communicants) autour de mon beau-pĂšre ont inlassablement rabĂąchĂ© depuis six annĂ©es, espĂ©rant que cela puisse devenir une vĂ©ritĂ©. Afin dâintĂ©resser les spectateurs, les scĂ©naristes ont Ă©tĂ© parfois renouvelĂ©s, multipliĂ©s, la production ne lĂ©sinant pas sur les moyens.
Cette fois, il a apparemment fallu aller plus loin, Ă la fois pour ne pas perdre lâaudience et, surtout, pour tenter, avec violence, de passer en force, Ă lâinstant oĂč la situation devenait critique pour eux⊠(Pour le savoir, le lecteur devra aller au bout de lâouvrage, naturellement.) Nous nâoublions pas que lâennemi nâest jamais aussi agressif que lorsquâil se sent en danger. Lâartifice est si grossier Ă nos yeux que Sylvie et moi demeurons incrĂ©dules. Cette opĂ©ration sâapparente Ă du bluff pour crĂ©er un nouvel Ă©cran de fumĂ©e⊠Mais il nous manque encore une petite information⊠Un CQFD expliquant les raisons de lâaction en justice sans objet oĂč nous risquons jusquâà « 1 euro » de dommages et intĂ©rĂȘts !
Un bandeau sâaffiche soudain en boucle sur BFM TV et sur i>TĂ©lĂ© : sous la rubrique « Showbizz », les tĂ©lĂ©visions rapportent : « Albert Uderzo, cocrĂ©ateur dâAstĂ©rix, porte plainte contre sa fille et son gendre pour violences psychologiques. » Il y a moins dâune heure que lâhuissier sonnait Ă notre domicile pour nous dĂ©livrer lâacte et les chaĂźnes dâinformation sont dĂ©jĂ au courant⊠Mais, en rĂ©alitĂ©, ce nâest pas seulement les chaĂźnes dâinformation qui ont Ă©tĂ© mises au courant : Albert et Ada Uderzo ont carrĂ©ment tenu une mini confĂ©rence de presse devant sept ou huit mĂ©dias sĂ©lectionnĂ©s. Pour leur annoncer, Ă 15 heures prĂ©cises, câest-Ă -dire au moment oĂč nous allions la dĂ©couvrir, la derniĂšre trouvaille des vedettes du barreau parisien : cette citation directe pour violences psychologiques ! Ce nâest plus de la justice, câest de la communication ou mieux encore du spectacle, comme lâa notĂ©, Ă bon droit, BFM TV.
LE CHOIX DâAGIR
Sylvie ne veut pas croire que ses parents aient acceptĂ© de se prĂȘter Ă ces nouvelles affabulations, Ă un tel travestissement de la vĂ©ritĂ©. Et pourquoi sâacharnent-ils contre nous ? Qui sommes-nous, aprĂšs tout, pour dĂ©clencher un tel ouragan mĂ©diatique ? Qui sommes-nous pour essuyer depuis soixante-douze mois les salves de cette armada de puissants, de coquins qui nous ont pris pour boucs Ă©missaires. « Ils » sont nombreux Ă sâaligner, chacun Ă son tour : des avocats puissants, des groupes industriels et des mĂ©dias, une agence de communication de crise, un cĂ©lĂšbre ex-procureur de Nanterre proche de lâĂlysĂ©e, auxquels vient sâajouter un entourage de petits notables (notaire, expert-comptable, entrepreneur, etc.). Ferions-nous de la paranoĂŻa galopante ? Câest le diagnostic rĂȘvĂ© pour eux, mais, humblement, lâexplication est plus prosaĂŻque.
Il ne sâagit pas de nous pris en tant quâindividus, mais dâun simple couple pris dans une tourmente judiciaire, simplement parce quâil se trouvait lĂ , au mauvais endroit, au mauvais moment : câest-Ă -dire Ă lâinstant de lâhistoire oĂč une conjonction dâintĂ©rĂȘts avait dĂ©cidĂ© dâannexer le petit village dâAstĂ©rix. Un groupe industriel, LagardĂšre, avait inscrit Ă son tableau de chasse le village dâAstĂ©rix. Pour atteindre leur objectif quasi militaire, il leur fallait se garantir Ă la fois la confiance de lâauteur vivant dâAstĂ©rix alors quâil atteignait lâĂąge de 80 ans et Ă©carter ceux qui pouvaient contrecarrer leur victoire totale : la fille unique, directrice gĂ©nĂ©rale de la sociĂ©tĂ© crĂ©Ă©e par Albert Uderzo, et son mari, en charge de tout le dĂ©veloppement des activitĂ©s autour du petit Gaulois.
Toute la raison de cette « affaire » est ici rĂ©sumĂ©e. Simple, froide, mĂ©diocre, une comĂ©die humaine si contemporaine oĂč le mensonge tient lieu de vĂ©ritĂ© dĂšs lors quâil est prodiguĂ© par une Ă©lite sâadressant Ă elle-mĂȘme, en parfaite consanguinitĂ©, sans que quiconque ne pense Ă sâen offusquer. Tout le reste nâest que construction dâun rĂ©cit dĂ©diĂ© Ă masquer une rĂ©alitĂ© cynique, la version Dark Vador du capitalisme que nous avons dĂ©cidĂ©e de dĂ©noncer.
Câest exactement ce qui nous a dĂ©cidĂ©s Ă nous lever et Ă dire « ça suffit ! », ya basta ! LâintĂ©rĂȘt dâen raconter lâhistoire est de dĂ©montrer les processus de corruption et de forfaiture auxquels nous avons assistĂ©. Il est de plus en plus difficile, surtout en pĂ©riode de crise, de sây opposer. Et les possibilitĂ©s que la loi actuelle laisse aux plus pervers et puissants sont trĂšs larges et peu connues du grand public. Personne nâest Ă lâabri, nous en tĂ©moignons, de se faire noyer dans cet ocĂ©an de connexions, de connivences incomplĂštes, câest-Ă -dire soit sourdes, soit aveugles, soit muettes oĂč plus personne ne croit ĂȘtre responsable de rien et oĂč tout le monde dĂ©tourne le regard.
Se taire ? VoilĂ la solution la plus commode, la plus dans lâair du temps, lĂąche, dans laquelle nous faisons grandir nos enfants. Ce nâest pas notre choix. Car trop de questions nâont pas Ă©tĂ© posĂ©es, trop de questions nâont pas trouvĂ© de rĂ©ponses satisfaisantes, trop de manipulations grossiĂšres ont Ă©tĂ© entĂ©rinĂ©es par le simple fait quâil sâagissait dâune histoire qui se passe Ă Neuilly, soi-disant Ă lâintĂ©rieur dâune famille dont le patriarche a Ă©tĂ© lâun des plus talentueux auteurs du neuviĂšme art⊠Câest la raison pour laquelle nous invitons le lecteur Ă sâinterroger sur la nature des faits suivantsâŠ
UNE LONGUE SUITE DE FAITS TROUBLANTS
Est-il bien normal quâun pĂšre de 80 ans convoque sa fille, directrice gĂ©nĂ©rale de la sociĂ©tĂ© familiale depuis plus de quinze ans, Ă un entretien prĂ©alable sous des prĂ©textes fallacieux (qui seront rejetĂ©s ultĂ©rieurement par la justice), pour lui dire quâil voulait simplement lui faire peur et que lâaffaire en resterait lĂ ? Et quâelle ne serait pas licenciĂ©e ! Nây avait-il pas dâautres maniĂšres dâagir ? Est-il normal que, pour finir, dans les semaines qui suivront, sans quâun autre Ă©vĂ©nement ne se soit produit, Albert ait finalement procĂ©dĂ© au licenciement pour faute lourde de sa fille, et ce, un vingt-quatre dĂ©cembre ?
Est-il bien normal, alors quâAlbert me proposait un accord amiable pour que je cesse, en octobre 2007, mes activitĂ©s pour le petit Gaulois que je reçoive, quinze jours plus tard, une assignation pour avoir Ă lui rembourser plus de cent vingt mille euros de frais tombĂ©s du ciel (affabulation que la justice rejettera ensuite), laissant sous-entendre que jâaurais commis des abus de biens sociaux ? Bienvenue chez les gentils Gaulois ou bien chez les prĂ©dateurs capitalistes formĂ©s Ă lâamĂ©ricaine ? Ce ne pouvait ĂȘtre la volontĂ© du dessinateur dâObĂ©lix ! Lâobjectif Ă©vident Ă©tait dans les deux cas de brouiller les messages entre le pĂšre et la fille, les relations entre les gĂ©nĂ©rations.
Est-il bien normal, aprĂšs que Sylvie ait alertĂ© son pĂšre par courrier, en janvier 2008, sur des erreurs matĂ©rielles graves dĂ©couvertes dans la gestion de la sociĂ©tĂ© familiale, que les avocats dâAlbert Uderzo lâaient assignĂ©e au tribunal de commerce afin de couvrir leur incurie ?
Est-il bien normal quâainsi, dĂšs le dĂ©but du conflit, par trois fois, lâentourage dâAlbert ait dĂ©cidĂ© de nous traĂźner devant les tribunaux ? Pour ensuite faire dire Ă Albert et faire passer le message Ă certains mĂ©dias complaisants que nous nâĂ©tions que des procĂ©duriers, les mĂ©chants, en somme⊠à lâintĂ©rieur dâune famille, sâil nây a pas de lĂąchetĂ©, il y a beaucoup dâautres solutions qui Ă©vitent ainsi dâĂ©taler les diffĂ©rends sur la place publique.
Est-il bien normal que lâentourage dâAlbert lui ait fait engager lâagence de communication la plus chĂšre de Paris, dirigĂ©e par StĂ©phane Fouks, pour lutter contre⊠sa fille et son gendre ? Ne serait-ce pas trop dâhonneurs, mes seigneurs ?
Est-il bien normal que lors de la derniĂšre assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de la sociĂ©tĂ© familiale (pĂšre, mĂšre, fille depuis lâorigine) Ă laquelle Sylvie ait pu assister, il se soit passĂ© le fait suivant ? Au moment de procĂ©der au vote des membres du nouveau conseil dâadministration, Albert se penche vers son avocat historique, Yves Sicard, pour lui demander sâil est bien nĂ©cessaire dâen Ă©carter sa fille. Lâavocat, intraitable Ă©minence, insiste : « oui, Albert, câest nĂ©cessaire. » Albert vote, alors, contre sa fille, les yeux baissĂ©s⊠Comment peut-on dĂ©finir une telle attitude ? Si ce nâest par la sujĂ©tion de lâavocat sur un homme ĂągĂ© alors de 81 ansâŠ
Est-il simpleme...
Table des matiĂšres
- Couverture
- 4e de couverture
- Titre
- Copyright
- Citations
- Préam-bulle
- 7 ans de malheur !
- Ăpisode 1 - Citation directe
- Ăpisode 2 - La famille italienne et le gendre
- Ăpisode 3 - Le dĂ©part de feu
- Ăpisode 4 - Un faux dĂ©part ?
- Ăpisode 5 - Le casus belli
- Ăpisode 6 - Les extraterrestres
- Ăpisode 7 - Le comitĂ© central
- Ăpisode 8 - La guerre est dĂ©clarĂ©e
- Ăpisode 9 - TragĂ©die grecque
- Ăpisode 10 - Testaments et tapis rouge
- Ăpisode 11 - La forfaiture
- Ăpisode 12 - La partie de poker
- Ăpisode 13 - La vengeance du Cardinal
- Ăpisode 14 - Lâoutsider
- Ăpisode 15 - La cession sinistre
- Ăpisode 16 - Le coup dâĂtat rĂ©ussi
- Ăpisode 17 - John Wayne quitte Fort Alamo
- Ăpisode 18 - Au tribunal, face au gĂ©ant
- Ăpisode 19 - Des victoires
- Ăpisode 20 - Pot de fer vs pot de terre
- Ăpisode 21 - Lâaccident de lâalbum n°34
- Ăpisode 22 - Des masques tombent
- Ăpisode 23 - Une fin dâhistoire ?
- Ăpisode 24 - Le dĂ©but de lâenquĂȘte
- Ăpisode 25 - La communication de crise
- Ăpisode 26 - Un Ă©tĂ© 2011
- Ăpisode 27 - La dĂ©couverte des abus
- Ăpisode 28 - Et lâexpertise
- Ăpisode 29 - Ils sont fous ces seigneurs !
- Ăpisode 30 - Rupture ou connivence
- Ăpisode 31 - Sous les auditions, la plage
- Ăpisode 32 - Rapetou fait son solo
- Ăpisode 33 - Sylvie est entendueâŠ
- Ăpisode 34 - Cabinet Metzner
- Ăpisode 35 - La chute de Rastapopoulos
- Ăpisode 36 - Les prĂ©mices de la fin ?
- Ăpisode 37 - Les derniĂšres piĂšces du jeu
- Ăpisode 38 - La rĂ©solution de lâĂ©nigme ?
- Table des matiĂšres