Les Indispensables astronomiques et astrophysiques pour tous
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  1. 224 pages
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Les Indispensables astronomiques et astrophysiques pour tous

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À propos de ce livre

Pourquoi la Lune nous montre-t-elle toujours la mĂȘme face? Pourquoi se laisse-t-elle voir en plein jour? Pourquoi y a-t-il des saisons, des mirages ou des aurores borĂ©ales? Qu'est-ce qu'une grande marĂ©e d'Ă©quinoxe?Pourquoi le ciel est-il bleu? la Lune rouge lors d'une Ă©clipse? Ă  quoi sert la couche d'ozone? Et l'effet de serre? Pourquoi Pluton n'est plus une planĂšte? Quel est le cycle de vie d'une Ă©toile? Qu'est-ce qu'un pulsar, un trou noir, un quasar, un rayon cosmique? Sur quoi se fonde la thĂ©orie du Big Bang?Ce livre met Ă  la portĂ©e de tous les notions indispensables pour comprendre notre systĂšme solaire, ses ressources et ce qui le menace. Et pour lire son avenir dans l'observation avancĂ©e de l'Univers que permet depuis cinquante ans la conquĂȘte spatiale. Alexandre Moatti, ancien Ă©lĂšve de l'École polytechnique, ingĂ©nieur en chef des Mines, est directeur de la publication de www.science. gouv. fr

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Informations

Éditeur
Odile Jacob
Année
2009
ISBN
9782738195883
Chapitre 1
Mouvements de la Terre
et calendrier
La Terre est sphĂ©rique, tourne sur elle-mĂȘme et autour du Soleil. Trois affirmations aujourd’hui communĂ©ment admises, mais cela n’a pas Ă©tĂ© chose facile. HĂ©raclide du Pont Ă©mit, au IVe siĂšcle avant notre Ăšre, l’hypothĂšse de la rotation de la Terre sur elle-mĂȘme afin d’expliquer le mouvement apparent des Ă©toiles au cours de la nuit. ÉratosthĂšne, un siĂšcle plus tard, calculait de maniĂšre expĂ©rimentale le rayon de la Terre. Le mouvement de la Terre autour du Soleil fut, lui, plus difficile Ă  admettre : GalilĂ©e, adoptant et modĂ©lisant l’idĂ©e de Copernic, se heurta Ă  l’Église et dut « abjurer » sa thĂ©orie1.
La forme de la Terre
La Terre est sphĂ©rique et non plate, nos Anciens l’ont su en voyant depuis la cĂŽte un navire disparaĂźtre progressivement derriĂšre l’horizon, ou en observant la forme circulaire de l’ombre portĂ©e par la Terre sur la Lune lors d’une Ă©clipse de Lune. L’observation d’étoiles diffĂ©rentes suivant la latitude – et notamment d’un hĂ©misphĂšre Ă  l’autre – prouvait aussi que la Terre n’était pas plate. ÉratosthĂšne de CyrĂšne (276-194 av. J.-C.), directeur de la BibliothĂšque d’Alexandrie, par ailleurs inventeur du crible des nombres premiers qui porte son nom, Ă©value la circonfĂ©rence terrestre en mesurant les longueurs diffĂ©rentes de l’ombre d’un « gnomon » (bĂąton plantĂ© dans le sol) en deux lieux diffĂ©rents situĂ©s Ă  900 kilomĂštres de distance, SyĂšne (aujourd’hui Assouan) et Alexandrie. Il obtient une circonfĂ©rence terrestre de 45 000 kilomĂštres, mesure d’une bonne prĂ©cision pour l’époque.
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Figure 1 : La ville de SyĂšne (Assouan) est presque situĂ©e sur le tropique nord, le Soleil y tombe Ă  la verticale d’un puits lors du solstice d’étĂ©. Sachant cela, ÉratosthĂšne, en mesurant la longueur de l’ombre du gnomon Ă  Alexandrie, dĂ©duit un angle α Ă©gal Ă  7° 12', Ă©gal aussi Ă  la distance angulaire entre SyĂšne et Alexandrie (N.B. : ici l’angle α est fortement exagĂ©rĂ©). Connaissant la distance entre les deux villes et la hauteur du gnomon, il Ă©tait en mesure de dĂ©duire la circonfĂ©rence, donc le rayon terrestre.
Plus tard, on s’apercevra que la Terre n’est pas une sphĂšre parfaite. La force centrifuge due Ă  sa rotation sur elle-mĂȘme a un effet diffĂ©rent aux pĂŽles – oĂč elle est nulle –, et Ă  l’équateur – oĂč elle est maximale. La Terre a donc, en fait, la forme non d’une sphĂšre mais d’une quasi-sphĂšre, un ellipsoĂŻde aplati aux pĂŽles et enflĂ© Ă  l’équateur. Cet aplatissement a une valeur relative de l’ordre de 1/298, c’est-Ă -dire que l’équateur est plus long que tout mĂ©ridien terrestre d’une longueur d’environ 128 kilomĂštres. C’est le mathĂ©maticien français Maupertuis (1698-1759) qui, en menant des expĂ©ditions au PĂ©rou et en Laponie pour mesurer la longueur de l’équateur et d’un mĂ©ridien, mit en Ă©vidence cette forme d’ellipsoĂŻde.
La rétrogradation des planÚtes
Une des observations les plus curieuses faites de tout temps sur la voĂ»te cĂ©leste est la rĂ©trogradation des planĂštes extĂ©rieures, tout particuliĂšrement celle de Mars, la plus proche de la Terre. Cette observation gĂ©omĂ©trique simple de la trajectoire de Mars s’explique par sa vitesse de rotation moins grande sur son orbite, et par le fait qu’on l’observe depuis la Terre, elle-mĂȘme en mouvement.
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Figure 2 : La Terre, Ă©voluant sur une orbite plus petite, va plus vite que Mars dans son mouvement de rĂ©volution autour du Soleil (la rĂ©volution de Mars se fait en 1,88 annĂ©e terrestre) : comme on le voit sur la figure, observĂ©e sur la « voĂ»te cĂ©leste », la planĂšte Mars semble revenir en arriĂšre entre les positions 3 et 4, puis 4 et 5. C’est le mouvement apparent de rĂ©trogradation.
Cette observation, pourtant facilement explicable dans un systĂšme hĂ©liocentrique, comme on le voit sur la figure 2, allait ĂȘtre Ă  la source d’un systĂšme qui restera en vigueur prĂšs de quinze siĂšcles, le systĂšme gĂ©ocentrique de PtolĂ©mĂ©e du mouvement des planĂštes, avec ses « Ă©picycles » et ses « dĂ©fĂ©rents ».
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Figure 3 : SchĂ©ma simplifiĂ© du systĂšme gĂ©ocentrique de PtolĂ©mĂ©e. Les planĂštes tournent autour de la Terre dans un mouvement composĂ© : elles tournent sur un cercle dit Ă©picycle, dont le centre tourne lui-mĂȘme autour de la Terre. Ce mouvement complexe permettait de rendre compte, notamment, de la rĂ©trogradation des planĂštes (figure de droite). D’un point de vue mathĂ©matique, un point situĂ© sur le cercle Ă©picycle dĂ©crit (figure de droite) une courbe de type cycloĂŻde : c’est la mĂȘme courbe que dĂ©crit la valve de gonflage du vĂ©lo quand la roue avance.
Il Ă©tait pourtant un astronome grec, visionnaire, qui dĂšs l’AntiquitĂ© avait fait l’hypothĂšse de la rotation de la Terre autour du Soleil : Aristarque de Samos (env. 310-230 av. J.-C.) avait Ă©valuĂ© la distance de la Terre au Soleil, et la taille du Soleil, en s’appuyant sur les phases de la Lune, notamment sa quadrature. Trouvant un diamĂštre du Soleil 20 fois plus grand que celui la Terre – la proportion exacte est 109 fois plus grande –, il avait Ă©mis l’idĂ©e que l’astre plus petit, la Terre, tournait autour du plus grand, le Soleil.
Rotation et translation
La Terre tourne sur elle-mĂȘme. Cette rotation est souvent appelĂ©e « mouvement diurne » de la Terre. Pourquoi « diurne » alors que ce mot est plutĂŽt utilisĂ© par opposition Ă  « nocturne » ? Parce que ce mouvement dure une journĂ©e (latin dies, « jour, journĂ©e »). Ce mouvement n’a pu faire l’objet que trĂšs tardivement d’une vĂ©rification expĂ©rimentale : c’est en 1851 que l’expĂ©rience de Foucault au PanthĂ©on en dĂ©montre les effets sur le pendule. Soumis Ă  une force de Coriolis liĂ©e Ă  la rotation de la Terre, et de valeur diffĂ©rente suivant la latitude, le pendule fait le tour de son cadran en un jour au pĂŽle, mais ne tourne pas autour de son cadran Ă  l’équateur ; sa pĂ©riode prend toutes les valeurs intermĂ©diaires entre 1 jour et l’infini quand il passe par les latitudes intermĂ©diaires (par exemple, au PanthĂ©on Ă  Paris, il tourne autour de son cadran en 30 heures). C’était la premiĂšre confirmation expĂ©rimentale, par une mesure faite sur Terre, de la rotation de notre planĂšte sur elle-mĂȘme.
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Figure 4 : Le pendule montĂ© par Foucault au PanthĂ©on, le 2 dĂ©cembre 1851 (illustration du Journal des dĂ©bats, oĂč Foucault Ă©tait « journaliste scientifique ». © MusĂ©e des Arts et MĂ©tiers)
La Terre tourne aussi autour du Soleil. Au terme de « rotation », on prĂ©fĂšre celui de « rĂ©volution ». Certains parlent mĂȘme d’un mouvement de « translation » : ce terme aide Ă  comprendre le fait que l’axe des pĂŽles terrestres pointe toujours vers la mĂȘme direction pendant ce mouvement.
Combien dure un jour ?
24 heures, bien Ă©videmment ! Pourquoi ? Parce que c’est ainsi qu’il est dĂ©fini. Le Soleil traverse toutes les 24 heures le mĂ©ridien passant par un lieu donnĂ© de la Terre. Mais cette durĂ©e ne correspond pas Ă  celle d’un tour de la Terre sur elle-mĂȘme, qui pourtant pourrait paraĂźtre comme une autre dĂ©finition de la durĂ©e d’un jour.
Comme on le voit sur la figure, le passage du Soleil au mĂ©ridien d’un lieu donnĂ© a lieu lĂ©gĂšrement aprĂšs que la Terre a effectuĂ© un tour sur elle-mĂȘme : en effet, pendant la durĂ©e considĂ©rĂ©e, la Terre a avancĂ© sur son orbite de rĂ©volution, et l’axe Terre-Soleil n’est plus tout Ă  fait le mĂȘme (ce qui n’arriverait pas si la Terre Ă©tait immobile). La durĂ©e sĂ©parant deux passages du Soleil au mĂ©ridien d’un lieu donnĂ© est le jour solaire ou jour civil (soit 24 heures), la durĂ©e de rotation de la Terre sur elle-mĂȘme, lĂ©gĂšrement plus courte, est le jour sidĂ©ral, de 23 h 56 min 4 s, soit 86 164 secondes. Le jour sidĂ©ral est ainsi appelĂ© car il correspond Ă  la durĂ©e d’un tour de la Terre sur elle-mĂȘme mesurĂ©e par rapport aux Ă©toiles. Une Ă©toile donnĂ©e (hors le Soleil) repasse au mĂ©ridien d’un lieu donnĂ© toutes les 23 h 56 min 4 s. C’est le jour absolu, caractĂ©risant le mouvement diurne de la Terre indĂ©pendamment de son mouvement autour du Soleil, et indĂ©pendamment du jour civil correspondant au rythme de l’activitĂ© humaine.
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Figure 5 : La Terre a fait un tour sur elle-mĂȘme quand elle se retrouve en A, au moment oĂč les droites issues de A dans les deux positions sont parallĂšles : il s’agit du jour sidĂ©ral (pris par rapport Ă  un repĂšre indĂ©pendant de son mouvement autour du Soleil, par exemple par rapport Ă  la voĂ»te cĂ©leste). Mais, Ă  ce moment-lĂ , en A dans la position de droite, le Soleil, symbolisĂ© par les rayons portant les lettres S, n’est pas encore passĂ© au mĂ©ridien, il ne le fera que quelques instants plus tard (illustration C. Flammarion, Astronomie populaire).
C’est en effet le jour solaire qui est utilisĂ© dans la vie « quotidienne » pour le rĂ©glage de nos montres et de notre agenda, car c’est celui qui rythme le jour et la nuit (passage du Soleil au mĂ©ridien, d’un cĂŽtĂ© ou de l’autre). Si l’on prenait le jour sidĂ©ral comme Ă©talon de la durĂ©e d’une journĂ©e, avec un dĂ©calage de prĂšs de 4 minutes par jour, on se retrouverait au bout de six mois2 avec midi Ă  minuit, ce qui pour nos montres n’est pas trĂšs gĂȘnant, mais l’est sans aucun doute pour notre vie quotidienne !
Histoires de calendrier(s)
L’homme dĂ©finira plusieurs durĂ©es rythmant sa vie en s’appuyant sur les phĂ©nomĂšnes naturels observĂ©s. L’alternance du jour et de la nuit dĂ©finit la journĂ©e. Le rythme des lunes permettra de rĂ©pondre au besoin de dĂ©finir une durĂ©e de temps plus longue, le mois. Le rythme des saisons, sensible dans les rĂ©gions tempĂ©rĂ©es, induit l’annĂ©e, dont la durĂ©e est liĂ©e au mouvement de la Terre autour du Soleil. Elle est dĂ©finie par le passage de la Terre au mĂȘme endroit prĂ©cis sur son orbite. Elle est Ă©gale Ă  365 jours 5 h 48 min 47 s, soit 365,242 jours, lĂ©gĂšrement infĂ©rieure Ă  365 jours un quart3.
Jules CĂ©sar, en 46 av. J.-C., prit cette durĂ©e de 365 jours un quart comme base du calendrier qui porte son nom, le calendrier julien, fondĂ© sur un cycle de quatre annĂ©es, avec une journĂ©e supplĂ©mentaire dans l’une d’elles : c’est l’annĂ©e bissextile4, permettant de se recaler sur le mouvement de la Terre autour du Soleil. LĂ  encore, si l’on ne faisait pas cet ajustement, ce n’est pas midi en pleine nuit qu’on aurait, mais en sept cents ans la neige en juillet ! L’ajustement a lieu fin fĂ©vrier, dernier mois de l’annĂ©e du calendrier julien. Cette annĂ©e commençait au mois de mars : d’oĂč les noms de septembre, octobre, etc., attribuĂ©s au septiĂšme, huitiĂšme mois de l’annĂ©e dans le calendrier romain. Certains mois avaient Ă©tĂ© dĂ©diĂ©s Ă  des dieux (mars au dieu Ă©ponyme, juin Ă  Junon), le SĂ©nat romain dĂ©diera le mois de juillet Ă  Jules CĂ©sar et celui d’aoĂ»t Ă  l’empereur Auguste en Ă©galisant la durĂ©e de ces deux mois, afin que n’apparaisse aucune diffĂ©rence entre les deux hiĂ©rarques !
Toutefois, l’ajustement bissextile de Jules CĂ©sar ne s’avĂ©ra pas tout Ă  fait suffisant, puisque la durĂ©e du mouvement de la Terre est lĂ©gĂšrement infĂ©rieure Ă  365 jours un quart, exactement 365 j 5 h 48 min 47 s. Ce dĂ©calage de 11 min 13 s (soit 673 s par an) a provoquĂ© bien des avatars de calendrier
 Ainsi, en 1582, plus de seize siĂšcles aprĂšs CĂ©sar, toujours Ă  Rome, le pape GrĂ©goire XIII mit en place le calendrier grĂ©gorien, qui, entre autres modifications, permettait de rattraper ce retard du calendrier civil par rapport au calendrier de la Terre : Ă  Rome, le jeudi 4 octobre 1582 a Ă©tĂ© suivi du vendredi 15 octobre5. En France, cet ajustement eut lieu deux mois plus tard, lors du rĂšgne d’Henri III : le 9 dĂ©cembre 1582 fut suivi du 20 dĂ©cembre. La Russie n’adopta le calendrier grĂ©gorien qu’en 1918 – aprĂšs la rĂ©volution d’octobre 19176 – en sautant treize jours et non dix, le dĂ©calage s’étant accru entre-temps.
Afin d’éviter l’accumulation d’un tel dĂ©calage Ă  nouveau, le calendrier grĂ©gorien, instituĂ© Ă  partir de 1582, stipulait aussi que les annĂ©es ...

Table des matiĂšres

  1. Couverture
  2. Titre
  3. Du mĂȘme auteur
  4. Copyright
  5. Avant-propos
  6. Chapitre 1 - Mouvements de la Terre et calendrier
  7. Chapitre 2 - L’inclinaison de l’axe des pîles
  8. Chapitre 3 - Les phases de la Lune
  9. Chapitre 4 - La Lune, les éclipses
  10. Chapitre 5 - La Lune, les marées
  11. Chapitre 6 - Effets optiques de l’atmosphùre
  12. Chapitre 7 - L’atmosphùre protectrice
  13. Chapitre 8 - La magnétosphÚre protectrice
  14. Chapitre 9 - PlanÚtes, astéroïdes, comÚtes
  15. Chapitre 10 - Météores et météorites
  16. Chapitre 11 - Quelques observations astronomiques
  17. Chapitre 12 - L’astromĂ©trie, mesure de la position des Ă©toiles
  18. Chapitre 13 - Naissance de l’astrophysique
  19. Chapitre 14 - Vie et mort des étoiles
  20. Chapitre 15 - Vie et mort des étoiles (2)
  21. Chapitre 16 - Pulsars, quasars
  22. Chapitre 17 - Les rayonnements cosmiques de haute énergie
  23. Chapitre 18 - La théorie du Big Bang
  24. Chapitre 19 - Les principaux Ă©quipements de l’astronomie et de l’astrophysique
  25. Chapitre 20 - Les sujets de recherche actuels en astrophysique
  26. Chapitre 21 - Un condensĂ© d’indispensables
  27. Bibliographie
  28. Index chronologique
  29. Remerciements