- 272 pages
- French
- ePUB (adapté aux mobiles)
- Disponible sur iOS et Android
De larmes et de sang
À propos de ce livre
« Je vous livre ici tout ce à quoi je tiens, tout ce à quoi je crois, tout ce qui fait de moi ce que je suis à ce moment particulier de ma vie. Je voudrais que vous entriez dans la peau du médecin pour mieux comprendre la relation au patient. C'est en face de lui que je m'assois. Je suis face à face avec un être humain qui souffre, que j'écoute, que je cherche à guérir et à comprendre. Guérir le corps est sans nul doute fondamental, mais veiller à ne pas blesser l'âme est tout aussi important. C'est cela, selon moi, être médecin. C'est la raison pour laquelle j'ai écrit ce livre. Je vous propose une vraie rencontre avec le médecin que je suis. Je mets ma pratique à nu, je la décris dans le détail et au scalpel. Je ressens aussi le besoin de parler de ma propre attitude face à la mort, face à la peur. » Le professeur David Khayat est chef de service de cancérologie à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière et professeur à l'université Pierre-et-Marie-Curie. Il a notamment publié Les Chemins de l'espoir et Le Vrai Régime anticancer, qui sont de grands succès de librairie.
Foire aux questions
Informations
Table des matières
- Couverture
- Titre
- Copyright
- Dédicace
- Avant-propos
- Chapitre I - La question du pourquoi et du comment
- Chapitre II - Brève histoire de la cancérologie
- Chapitre III - Les mots pour le dire
- Chapitre IV - Jours de consultations
- Chapitre V - Un nouvel acteur : Internet
- Chapitre VI - Les enseignements du pouvoir partagé
- Chapitre VII - L’acte de dire
- Chapitre VIII - De retour en consultation
- Chapitre IX - Dans la peau du médecin
- Chapitre X - De la fragilité des choses médicales
- Chapitre XI - Je suis mes cellules : parlons de culpabilité
- Chapitre XII - « Un si long concubinage avec la mort »
- Chapitre XIII - Douleur et souffrance
- Chapitre XIV - Et la sexualité dans tout ça : les cancers du sein et de la prostate
- Épilogue
- Bibliographie
- Du même auteur chez Odile Jacob