Tous les enfants sont différents
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Tous les enfants sont différents

7 étapes clés pour accompagner leur éveil

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  1. French
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Tous les enfants sont différents

7 étapes clés pour accompagner leur éveil

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Table des matières
Citations

À propos de ce livre

Comment permettre à un enfant de grandir en conscience et d'acquérir sa propre personnalité? L'auteure lie cette quête avec des étapes très pratiques de l'évolution de l'enfant (l'apprentissage de la propreté par exemple) et surtout au corps physique. Il faut rétablir son lien avec soi-même pour aller mieux, faciliter une croissance apaisée (notamment au moment de l'adolescence) en 7 moments-clés: La naissance (les premières heures) / La rencontre des regards (les 3 premières semaines) / À partir de 3 mois, l'acquisition de la parole / Entre 10 et 18 mois, l'accompagnement de la marche / Vers 2 ans, l'apprentissage du pot / À partir de 4 ans, les gestes pour écrire / La puberté. Préserver la connexion avec la mémoire sensorielle prénatale est l'aboutissement de la recherche de Sylvie Delanoue et le fruit de ses savoirs faire cliniques et professionnels. En tant que professionnelle de santé, elle les a menés en milieu hospitalier, en institution et en pratique libérale depuis plus de trente ans auprès d'adultes, d'enfants et de familles. Aujourd'hui Pédagogue et Formatrice de santé, Praticienne en thérapie manuelle des Fascias et en Arts énergétiques internes issus de la Médecine traditionnelle chinoise et du taoïsme, elle transmet un art de comprendre le corps humain qui favorise le bien-être, la connaissance de soi et l'ancrage de l'âme dans le corps.

Foire aux questions

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Informations

Année
2020
ISBN
9791028517496
1

Transmettre le meilleur à votre enfant

En tant que parents, vous êtes nombreux à avoir entamé une réflexion pour accompagner la croissance de votre enfant. Vous avez déjà découvert ce qui a manqué ou s’est avéré difficile dans votre propre enfance et n’aimeriez pas que cela se reproduise pour lui. Vous avez aussi à cœur de lui transmettre ce qui l’a rendue heureuse, les souvenirs joyeux, les lieux, les goûts ou les odeurs qui enchantent encore votre mémoire. Peut-être aspirez-vous à lui transmettre les expériences, connaissances et découvertes faites sur le chemin de votre propre développement ?
Parallèlement, vous souhaitez aussi prendre soin de ce qui anime votre enfant de manière singulière dès le début de sa vie. C’est une question de regard. Cette manière de le voir comme un être humain animé par le mystère du vivant colore le sens donné à sa naissance et oriente sa croissance. Comme une fenêtre qui s’ouvre, sa venue au monde s’inscrit avec un potentiel unique et des ressources insoupçonnées, et vous allez l’accompagner, le soutenir pour qu’il puisse s’épanouir. Ce regard porté sur lui ouvre un nouveau champ de conscience, il est fondateur et influence son devenir.
J’ai observé que si certains acquis ou habiletés se transmettent facilement, accompagner un enfant dans ce qu’il a d’unique n’est pas toujours si simple. Dans l’éducation, un problème essentiel se pose : on ne sait pas à l’avance qui est notre enfant, ni ce qu’il va devenir. Ses potentiels, ses ressources et ses fragilités nous sont inconnus. Nous ne pouvons que les imaginer, les espérer ou même les redouter. Seul le temps révèle ses dons, ses goûts et ses rythmes. Seul le déroulé naturel de sa croissance dévoile ses domaines de prédilection, ses facilités ou, au contraire, ce qui représente un défi : une difficulté d’apprentissage scolaire, un problème de santé ou un don spécifique. Ce sont des challenges qu’il aura à apprivoiser pour pouvoir les dépasser.
Souvent, vous avez la réponse pour l’aider face à une épreuve, à mieux s’adapter à l’école ou en société, à jouer avec les autres… Mais quelquefois, malgré toute votre bonne volonté, votre patience et votre amour, rien n’y fait. Vous vous retrouvez dans la situation de ne pas le comprendre et dans l’impossibilité de le rejoindre là où il est empêché, bloqué ou au contraire passionné et enthousiaste dans un domaine éloigné du vôtre, donc insaisissable.
Mon enfant, un autre que moi : le voir et le respecter dans sa dimension unique
On s’imagine connaître son enfant car il s’inscrit dans notre continuité, mais un jour, parce qu’il porte des lunettes, parce qu’il nous dit non et s’oppose plus fort que d’habitude, parce qu’il pleure ou se plaint au-delà des limites de notre patience, parce qu’il est allé pour la première fois chez le coiffeur et que les boucles de son enfance ont disparu, on a l’impression de ne plus le reconnaître. « À ce moment-là, j’ai vu qu’il n’était pas uniquement la chair de ma chair, m’a confié Julie ; ça a changé mon regard sur lui, et là je me suis dis : mais comment je vais faire avec cet enfant ? Je ne le reconnais plus ! » Les occasions sont multiples de constater, tôt ou tard, qu’une partie de lui nous devient étrangère.
J’ai souvent observé que le plus difficile en tant que parent est de ne pas savoir quoi faire pour aider son enfant. On souhaite contribuer à son bonheur, mais on se sent démuni. Si cette situation se répète ou dure dans le temps, un manque de confiance en soi et en ses propres capacités d’être parent s’installe. Des tensions dans le couple peuvent aussi apparaître. La communication avec l’enfant devient difficile, la patience s’émousse et cet être, pourtant chéri, peut devenir dérangeant pour le confort de la vie quotidienne.
Dans la recherche de solutions, on peut faire appel à la raison et argumenter : « Mais si, c’est important que tu ailles à l’école… » ; « Mais si, il faut que tu te tiennes bien à table… » ; « Mais non, tu ne peux pas indéfiniment faire pipi par terre… » ; « La musique ? Il n’y a pas que ça dans la vie… » L’explication est en général fatigante et peu efficace dans la durée.
Que faire alors ?
Baisser les bras et laisser faire, faute d’énergie pour se battre ?
Rentrer dans un rapport de force qui contraint l’enfant par la punition, la menace… parce qu’il a eu raison de notre patience ?
On essaie tout ce qui est à notre disposition jusqu’à ce que l’enfant nous renvoie cette impression désagréable qui ressemble à un sentiment d’impuissance.
Là où certains souhaitent une fille, un garçon, réussite, santé, richesse, diplômes ou transmission du nom, rester à l’écoute de ce qui va émerger du monde intérieur de votre enfant avec la certitude que son potentiel se révèlera me semble essentiel : cette attitude face à la vie lui permettra de prendre les bonnes orientations dans son existence. Prendre en compte le monde intérieur de l’enfant nous éclaire et nous invite à un nouveau regard sur l’éducation.
Quand, dans le miroir de vos yeux, votre enfant se sent porteur de ce potentiel créateur, tout son élan de découvrir le monde se manifeste. Il se sent vivant, compris et existant. L’enfant n’est pas éduqué uniquement pour s’insérer dans un contexte socio-économique et pour épouser la tradition de sa famille, de son clan et de sa culture.
Dans son identité profonde, l’enfant ne peut être ni domestiqué ni dressé, tout comme il ne peut se satisfaire du « prêt-à-penser » ou de réponses toutes faites. Considérer qu’un enfant naît avec une identité qui lui est propre met en perspective son développement dans une dimension plus vaste. Sa vie s’inscrit dans un déroulé naturel sur lequel il peut agir, qui lui permet d’être acteur, de se laisser surprendre, de collaborer avec le mouvement de la vie, de se laisser inspirer aux frontières de l’infini et de trouver ses réponses en lui tout en partageant avec les autres. Avez-vous remarqué qu’un petit enfant, dès l’âge de trois ou quatre ans, demande : « Où il est parti, papy, quand il est mort ? Et après la vie, il y a quoi ? Et moi, d’où je viens ? Pourquoi il y a des hommes sur la Terre ? Et dans les étoiles, est-ce qu’il y en a aussi ? » Sa soif de compréhension et sa quête de l’origine sont vastes. Elles dépassent la perception rationnelle du monde. Les questions métaphysiques qu’il pose à un âge précoce portent à mon sens l’intuition du mystère encore présente chez les petits. Souvent, les adultes en difficulté ne savent pas quoi répondre et ne donnent pas suite. Devant ce trouble et faute de réponses satisfaisantes, l’enfant apprend à se taire. La vie événementielle n’a pas la solution à ces vastes questions. Si l’on prend le temps d’écouter l’enfant, on peut alors entendre ce que conçoit un enfant dans son intériorité – « Tu sais, c’est pas parce qu’on n’est pas né qu’on est mort », m’a dit Ysé, 4 ans. J’ai observé que savoir d’où il vient répond à la question identitaire de l’enfant de savoir qui il est.
Pour l’enfant, le fait de se sentir entendu et compris sur toutes les questions qui le traversent spontanément lui offre un crédit de confiance dans la bienveillance de la vie. Voir votre enfant comme un être unique et l’accompagner en découvrant son potentiel au fur et à mesure que sa croissance le fait émerger lui évite de porter des projets que vous pourriez avoir pour lui car, même remplis de bonnes intentions, ils pourraient ne pas lui convenir et l’enfant pourrait vous décevoir s’il ne réalise pas vos vœux. Donner à votre enfant la possibilité de penser le monde tel qu’il le voit, tel qu’il le sent depuis sa réalité intérieure, et lui offrir votre écoute attentive sera très probablement un merveilleux cadeau. Cela lui offrira ce supplément d’âme qui lui permettra de se sentir à sa vraie place dans sa vie.
L’âme, une évidence ressentie, une expérience sensorielle, une inconnue qui fait grandir
L’âme est avant tout une expérience sensorielle, souvent vécue dans l’étonnement. Je la perçois quand elle s’exprime à travers un état intérieur de confort, de joie et de vitalité. Elle donne la sensation d’être à la bonne place. Dans sa présence, il devient plus facile d’être disponible à toutes les « petites choses » si essentielles qui remplissent l’existence.
L’enfant est d’emblée dans ce monde.
Son temps s’arrête lorsqu’il regarde des colonies de fourmis transporter une miette de pain ou un morceau de feuille d’arbre.
Son espace se dilate lorsqu’il s’agit de lancer des petits cailloux dans l’eau, de regarder les ronds se dessiner et s’agrandir à sa surface.
Son ciel s’ouvre : il a découvert un bébé chat en bordure du jardin.
Son cœur s’épanouit : le petit chat lui donne sa confiance en venant boire dans la petite coupelle de lait qu’il lui a apportée.
Son œil pétille : il a attrapé tout seul une cuillère dans le tiroir en montant sur la chaise.
Ses papilles jubilent : ça sent si bon le gâteau au chocolat !
Sa colonne vertébrale se redresse lorsqu’il nous dit fièrement : « Regarde, ce dessin, je l’ai fait pour toi ! »
Il se régale des premiers mots qu’il lit tout seul et de la compréhension du monde qui s’ouvre alors à lui.
Vous venez le chercher à la crèche, à l’école. En un clin l’œil, il vous a aperçu. Alors il n’écoute que son élan et accourt vers vous les bras ouverts et le rire cristallin. Juste comme ça, parce que son cœur le chante – ou pas !
Il est essentiel de préserver cette faculté sensorielle de goûter la vie, car elle nourrit chaque instant. En prendre soin, c’est conserver cet état d’ouverture inné et enthousiaste de la toute petite enfance, avant que la raison ne le referme.
Ce qui anime votre enfant dans son for intérieur est précieux et lui appartient en propre. Cette partie intime de lui vous échappe et c’est normal : elle est à découvrir. Incontrôlable, elle énerve les parents qui la redoutent. Elle est irréductible et c’est peut-être ce que l’on pressent quand on dit de quelqu’un : « Quelle force d’âme ! » Il s’agit pourtant de toute sa richesse en devenir.
Le petit enfant, jusqu’à quatre ans, n’obéit qu’à cette voix intérieure. Quand il a envie de pleurer, il pleure ; quand il a envie de jouer, il joue. Il n’est pas conditionnable. Il est libre. Mais ce bonheur d’enfant d’être dirigé par sa puissance de vie s’émousse peu à peu quand on lui dit : « Tu obéis ! » Il apprend le monde de la souffrance et à ne plus exprimer ses émotions qui restent bloquées et l’étouffent, ou bien l’amènent à taper. Alors la violence s’installe, intériorisée ou extériorisée, et on lui inflige dogmes et croyances.
J’ai constaté que l’âme ne répondait pas aux critères de la bonne éducation, ni de la politesse, ni de la raison, ni même de la force. On ne peut pas la contraindre. De même qu’on ne tire pas sur les fanes d’une carotte pour la faire pousser, on ne peut être directif avec cette dimension-là de l’être humain. Elle ne répond pas à ces critères. Elle ne se domestique pas, car elle constitue l’inspiration fondamentale de notre élan de vie. Elle est ce qui nous anime, et sa flamme fait pétiller nos regards.
Les règles de vie en société sont nécessaires, mais une part de nous-même ne connaît pas les codes sociaux de « la bonne éducation ». La personnalité les intègrera au fur et à mesure de la socialisation. Ainsi, certains enfants dits « difficiles » seront naturellement « bien élevés » pourvu qu’ils soient regardés du point de vue de ce qui anime leur monde intérieur.
Ce monde intérieur de l’enfant est un univers sensoriel.
Par son corps, l’enfant vit l’immédiateté d’un ressenti. C’est sa réalité première. Il construit sa confiance en comprenant ce qu’il ressent, et c’est ce qui lui permet d’agir de manière connectée et adaptée. Cette manière d’habiter son corps avec des sensations qui ont du sens lui fait goûter la présence et le bonheur de se sentir vivant. Il vit alors ancré dans ses profondeurs corporelles, en cohérence avec ce qu’il perçoit et non par l’intermédiaire de supports virtuels qui distordent, l’éloignent ou le coupent de ses ressentis. Il est en phase et accordé au monde, ce qui ne veut pas dire qu’il répondra à toutes les sollicitations. Ses sensations sont autant d’indicateurs internes lui permettant de se repérer hors du champ des références mentales. Par contraste, grandir isolé de ses sensations corporelles, c’est comme vivre la vie en noir et blanc, dans un monde sans couleurs et en 2D, sans volume ni épaisseur. Chaque être humain dispose d’un accès sensoriel à lui-même, porteur d’informations et de sens. C’est cela qui a besoin d’être préservé dès la naissance, et structuré sur un bâti corporel au cours de la croissance.
Lorsque cette vie intérieure est confiée au hasard, son évolution devient aléatoire.
Ainsi, à l’âge adulte, cette partie plus intime se retrouve parfois engloutie comme une cité perdue, exilée comme une aspiration que l’on n’arrive plus à recontacter, ou bien encore emprisonnée dans une forteresse. On se sent alors isolé, éloigné de notre route, pas aussi vivant qu’on le pressent. La vie perd son sens lorsque la flamme est étouffée et, si elle s’éteint, nous éprouvons le sentiment de la désolation de l’âme.
Quand l’âme n’est pas prise en considération dès la venue au monde, l’existence devient source d’interrogation sur le sens de la vie, la place de chacun et la cohérence du monde. Ainsi témoigne Justin, 13 ans : « J’ai l’impression d’avoir été déposé sur Terre sans mode d’emploi. Je ne sais pas comment faire pour vivre la vie, je n’y comprends rien, je me sens toujours décalé. Je me demande vraiment ce que je fais là. » Ces questions existentielles inspirent alors une recherche personnelle et initient souvent une quête de sens et de l’origine. Elle débute plus ou moins jeune, selon la nécessité intérieure de chacun et les événements de la vie, dont personne ne sait à quel moment ils viendront nous questionner.
Que ressent un enfant ignoré dans cette dimension ?
Lorsqu’un enfant n’est pas vu dans cette dimension de lui, son âme n’est pas nourrie. Elle se dessine comme la pièce manquante d’un puzzle, un espace à combler, un manque à vivre. Ne pas regarder l’enfant comme porteur de cette flamme, c’est prendre le risque qu’il se sente nié dans son existence, malmené dans son élan créateur spontané et son sens de l’émerveillement.
Il risque de se construire une fausse personnalité, d’adopter des comportements « décalés » et de développer une manière d’être éloignée de qui il est pour s’adapter au monde social qui lui est proposé. Sans un espace rendu disponible par sa singularité ou si ses talents sont vécus comme dérangeants pour son entourage, ces derniers, tout évidents qu’ils soient, risquent alors d’être laissés pour compte, et cette situation sera source de souffrance pour l’enfant.
Il risque de mener la vie de quelqu’un d’autre, de faire des choses qui ne lui plaisent pas ou qui n’ont aucun sens pour lui dans le but être accepté. Il se sentira nié et il n’existera pas par et pour lui-même. Il ne sera ni rejoint ni vu au niveau de profondeur auquel il attend que l’adulte vienne le retrouver. Un enfant est capable de grandir mécaniquement et physiologiquement sans ...

Table des matières

  1. Couverture
  2. Copyright
  3. Titre
  4. Exergue
  5. Préface
  6. 1 - Transmettre le meilleur à votre enfant
  7. 2 - Le corps sensible et le monde intérieur de l’enfant
  8. 3 - Tisser un lien de continuité entre la vie prénatale et la vie postnatale
  9. 4 - 7 étapes clés de croissance en lien avec l’intériorité
  10. Conclusion
  11. Remerciements