- French
- ePUB (adapté aux mobiles)
- Disponible sur iOS et Android
Prendre le pouvoir : force et légitimité
À propos de ce livre
Pour la troisième fois, après « Justice et politique: La Terreur dans la Révolution française » (1997) et « Droit romain, ius civile et Droit français » (1999), Études d'histoire du droit et des idées politiques accueille les actes d'une réunion de travail, la troisième « table ronde » du réseau de laboratoires du Grand Sud, tenue à Toulouse les 16 et 17 mars 2001. Ce réseau joint au Centre toulousain d'histoire du droit et des idées politiques le Centre d'études et de recherches en histoire des idées politiques d'Aix-Marseille III et le Centre lyonnais d'histoire du droit et de la pensée politique de Lyon III. Quatorze universitaires ont apporté leur contribution au thème choisi, celui des rapports entre la force et la légitimité. Leurs recherches couvrent un champ très vaste, notamment d'un point de vue chronologique, depuis l'époque romaine avec une étude fondée sur le xxe Panégyrique latin et l'Histoire Auguste, jusqu'au xxe siècle, avec l'analyse des circonstances d'installation de la Ve république, en 1958. Entre ces deux extrêmes, les travaux présentés portent sur l'Angleterre de la guerre des deux roses, sur le Moyen Âge français de l'époque de Louis XI, sur les Temps modernes avec Louis de Condé, le cardinal de Bernis et le chancelier Maupeou, sur les xixe et xxe siècles avec le Concordat de 1801, les analyses de Benjamin Constant, de Louis-Auguste Blanqui et de Raymond Théodore Troplong, avec les rêves de retour au pouvoir de la famille de Bourbon...
Foire aux questions
Informations
Table des matières
- Couverture
- Informations bibliographiques
- Pages introductives
- Sommaire
- Ont collaboré à cet ouvrage
- Préface
- Force, légitimité et pouvoir dans le xiième panégyrique latin et dans l’Histoire Auguste
- La fin de la légitimité dynastique dans l’Angleterre des deux roses, 1399-1485
- 1465 : Louis XI perd le pouvoir
- La justification d’un coup d’état selon un chroniqueur breton engagé
- La prise d’armes de Louis de Condé en 1562
- La monarchie française selon le cardinal de Bernis : la légitimité sans la force
- La polyphonie du discours parlementaire sur la fonction royale au temps de la réforme Maupeou (1771-1775)
- Un coup de force dans l’église : le bref Tam multa (15 août 1801)
- Prendre le pouvoir selon Benjamin Constant : ni la force, ni la légitimité d’origine
- Louis-Auguste Blanqui
- Une légitimité à contre-courant du xixe siècle : le IIe empire de R. Th. Troplong
- L’espoir d’une restauration d’après la correspondance inédite du prétendant François de Bourbon
- Mai – juin 1958
- Orientation bibliographique
- Annexe