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Ă propos de ce livre
Le soleil se couche sur l'histoire de la peinture. Triomphe de l'image que les Salons de Baudelaire, sans doute. Mais c'est un triomphe au sens oĂč l'entendent les baroques, une pompe funĂšbre. Si une phĂ©nomĂ©nologie de la perception vient relayer aprĂšs coup l'oeuvre de Flaubert, s'ouvrir Ă elle comme l'un de ses dĂ©bouchĂ©s philosophiques, si l'oeuvre de Flaubert de ce point de vue ne demeure pas sans postĂ©ritĂ©, c'est une fin en revanche que consacre la rĂ©flexion esthĂ©tique de Baudelaire. Le rĂšgne de l'image s'Ă©teint doucement Ă l'occident de la littĂ©rature. L'image s'entĂ©nĂšbre, cependant que monte cette aria, petite phrase plaintive qui naĂźt tout juste oĂč meurt le nom de Charles Baudelaire. L'air de la pourriture, avec ses charognes mĂ©lodieuses, et ces cercueils qui chantent comme des boĂźtes Ă musique...
Foire aux questions
Informations
Table des matiĂšres
- Couverture
- Informations bibliographiques
- Pages introductives
- Sommaire
- Liminaires
- Ăpigraphe
- Introduction
- Niagara, Niagara...
- Exposition dâun perroquet
- Beaudelaire
- « Pierre, Π»
- Ăpilogue