La Fin de Fausta
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La Fin de Fausta

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La Fin de Fausta

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La suite du volume IX, La Fin de Pardaillan, et la fin de ce cycle majeur dans l'oeuvre de Zévaco.

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Informations

Éditeur
Booklassic
ISBN
9789635237012

Chapitre 1 SUITE DE L’ALGARADE DE LA RUE DE LA COSSONNERIE

La rue de la Cossonnerie allait de la rue Saint-Denis à la rue du Marché-aux-Poirées, en pleines Halles. De ce côté se tenait une troupe d'archers. Landry Coquenard n'avait pas exagéré en disant qu'ils étaient bien une cinquantaine, commandés par le prévôt en personne. Du côté de la rue Saint-Denis et s'étendant à droite et à gauche dans cette rue, une troupe aussi nombreuse, aussi formidable barrait le passage. À cet endroit de la rue Saint-Denis et dans toute la rue de la Cossonnerie, la circulation se trouvait interrompue. Et naturellement, du côté de la rue du Marché-aux-Poirées comme du côté de la rue Saint-Denis, une foule compacte de badauds, enragés de curiosité, s'écrasait derrière les archers, échangeait des lazzi et d'énormes plaisanteries, et, sans savoir de quoi et de qui il s'agissait, se rangeant d'instinct du côté où elle voyait la force, faisait entendre déjà de sourdes menaces.
Ce n'était pas tout.
Entre les deux troupes d'archers, un grand espace vide avait été laissé. Et cet espace était occupé par Concini et par ses ordinaires. Ils étaient bien une vingtaine à la tête desquels se trouvaient leur capitaine, Rospignac, et ses lieutenants: Roquetaille, Longval, Eynaus et Louvignac. De plus, une trentaine de ces individus à mine patibulaire, dont Pardaillan n'avait pas remarqué la présence dans la rue, s'étaient massés derrière les ordinaires à qui ils obéissaient. Sans compter Concini et les chefs, il y avait là au moins cinquante hommes armés jusqu'aux dents.
Enfin, d'Albaran se tenait près de Concini. Lui, il n'avait avec lui que sa troupe ordinaire d'une dizaine d'hommes. Il se contentait de surveiller et paraissait avoir laissé à Concini le soin de diriger les opérations.
En somme, près de deux cents hommes assiégeaient la maison. Car on pouvait croire qu'il allait s'agir d'un siège en règle.
Il va sans dire que toutes les fenêtres donnant sur la rue étaient grandes ouvertes et qu'une foule de curieux occupaient ces fenêtres. Ceux-là, aussi stupidement féroces que les badauds de la rue, se montraient hostiles sans savoir pourquoi.
Chose étrange, que les trois assiégés remarquèrent aussitôt, personne ne se montrait aux fenêtres de la maison où ils se trouvaient. Toutes ces fenêtres demeuraient fermées. Pardaillan donna cette explication qui paraissait plausible:
-Ils ont dû faire sortir tous les locataires de la maison.
-C'est probable, opina Valvert.
Et il ajouta, sans se montrer autrement ému:
-Peut-être ont-ils l'intention de nous faire sauter.
-À moins qu'ils ne nous fassent griller comme de vulgaires pourceaux, insinua Landry Coquenard d'un air lugubre.
-Au fait, interrogea Pardaillan, que sais-tu, toi?
-Pour ainsi dire, rien, monsieur, fit Landry Coquenard d'une voix lamentable.
Et il renseigna:
-Je rentrais au logis. À la pointe Saint-Eustache, j'ai aperçu le prévôt et ses archers qui venaient du côté de la Croix-du-Trahoir. Je n'ai pas prêté grande attention à eux, et j'ai poursuivi mon chemin. Au bout d'un certain temps, je me suis aperçu qu'ils suivaient, derrière moi, la même direction que moi. Et, brute stupide que je suis, cela ne m'a pas donne l'éveil. Je suis arrivé rue de la Cossonnerie. Machinalement, je me suis retourné pour voir si les archers me suivaient toujours. Et j'ai vu qu'ils occupaient la rue du Marché-aux-Poirées, barrant l'entrée de notre rue. Cela m'a étonné et vaguement inquiété. Je me suis avancé du côté de la rue Saint-Denis. Et j'ai aperçu d'autres archers qui barraient le chemin de ce côté-là. Je me trouvais pris entre ces deux troupes. J'ai commencé à avoir peur. Mais je n'ai toujours pas flairé la manigance.
Et, s'emportant contre lui-même:
-Que tous les diables cornus de l'enfer m'emportent et me fassent rôtir sur leur gril jusqu'à la consommation des siècles!
-Continue, dit froidement Pardaillan, et abrège.
-À ce moment, reprit Landry Coquenard, une dizaine d'archers sont entrés dans notre rue. Sur ce ton amène que vous leur connaissez, ils ont invité les habitants de la rue à verrouiller leurs portes extérieures et à ne plus bouger de chez eux. Quant à ceux qui disaient qu'ils ne demeuraient pas dans la rue, on les a sommés de déguerpir au plus vite. Ce qu'ils ne se sont pas fait dire deux fois, je vous en réponds.
-En sorte, interrompit Pardaillan, en le fixant de son regard perçant, en sorte que tu aurais pu, à ce moment là, te retirer, si tu avais voulu?
-Très facilement, monsieur.
-Pourquoi ne l'as-tu pas fait?
-Parce que, à ce moment, les estafiers de M Concini sont arrivés. En les voyant, j'ai enfin compris, trop tard, hélas! de quoi il retournait!
-C'était plus que jamais le moment de détaler, insista Pardaillan. Car enfin tu es fixé sur le sort que te réserve ton ancien maître s'il met la main sur toi.
-Telle a été ma première pensée, en effet. Mais je me suis dit: M.le comte est sûrement là-haut. Peut-être ne se doute-t-il pas de ce qui se passe dans la rue. Il peut descendre d'un moment à l'autre, et alors, il est perdu. Il faut que j'aille l'avertir. Et je suis entré, monsieur. Et vous avez vu qu'il était temps pour vous: vous alliez vous jeter dans la gueule du loup. Et je vous assure, monsieur le chevalier, que j'ai été douloureusement surpris quand j'ai vu que vous étiez avec M.le comte.
Le digne Landry Coquenard avait débité cela avec simplicité. Il ne paraissait pas se douter le moins du monde qu'il venait d'accomplir une action héroïque vraiment admirable.
Odet de Valvert, profondément touché de cette marque d'attachement, se raidissait pour ne pas laisser voir son émotion. Pardaillan le considéra un instant en silence. Et, d'une voix très douce, il prononça:
-Tu es un brave, Landry.
-Non, monsieur, répondit piteusement Landry Coquenard, je suis un poltron. Très poltron même. Je vous assure, monsieur, que ce n'est jamais moi qui cherche la bataille. Et si c'est elle qui me cherche, je n'hésite pas à prendre mes jambes à mon cou, sans la moindre vergogne, si je peux le faire.
-Et si tu ne peux pas prendre la fuite? demanda Pardaillan en souriant malgré lui.
-Alors, monsieur, fit Landry Coquenard d'un air de résolution féroce, je défends ma peau… Et rudement, je vous en réponds.
Et naïvement:
-Par le ventre de Dieu, je tiens à ma peau, moi!…
-Eh bien, conclut froidement Pardaillan, tâchons de défendre notre peau du mieux que nous pourrons, puisque nous sommes menacés tous les trois.
Il observa encore un moment par la fenêtre. Les archers, aux deux bouts de la rue, demeuraient dans l'attente. Concini et ses hommes, devant la porte, n'agissaient pas. Concini s'entretenait non sans vivacité avec d'Albaran qui paraissait approuver de la tête.
-Que diable peuvent-ils bien comploter? murmura Pardaillan, dépité.
Oui, c'était surtout cette ignorance des intentions de l'ennemi qui était angoissante. En attendant qu'un indice vînt le fixer, Pardaillan se mit à étudier les toits. Et il traduisit son impression:
-Si nous sommes acculés à fuir par là, nous avons quatre-vingt-dix-neuf chances sur cent d'aller nous rompre les os sur le pavé.
-Oui, mais nous avons une chance de nous en tirer, fit observer Valvert.
-Évidemment. Si nous ne pouvons pas faire autrement, il faudra bien la courir, cette chance.
-Attention! Ils entrent dans la maison, avertit Landry Coquenard. En effet, une vingtaine d'estafiers entraient silencieusement en bon ordre, deux par deux. Rospignac avait pris bravement la tête de ses hommes.
Pardaillan et Valvert quittèrent la fenêtre. Landry Coquenard continua de surveiller la rue.
-S'ils viennent ici, fit Pardaillan, qui réfléchissait, la porte ne tiendra pas une minute.
-Nous pouvons nous placer sur l'escalier, proposa Valvert. Il n'est pas si large. À nous deux nous pouvons leur tailler de bonnes croupières.
-Sans doute. Mais ils sont trop. Nous finirons par être accablés sous le nombre. Et puis… il n'est pas dit qu'ils viennent ici. Qui sait s'ils ne vont pas nous faire sauter ou mettre le feu à la maison, comme vous l'avez dit tout à l'heure? fit observer Pardaillan.
Et, frappant du pied avec colère:
-Mort diable! je ne veux pas que MmeFausta me tue, moi!… Plus tard, quand j'aurai ruiné ses projets, cela me sera bien égal!… Mais maintenant, au début de la lutte, me laisser supprimer, lui laisser le champ libre, par Pilate, non, ce serait par trop bête!…
-Alors, décidez, monsieur.
-C'est tout décidé: partons, trancha résolument Pardaillan.
Il se retourna vers la fenêtre. Il est certain qu'il avait déjà calculé toutes ses chances, envisagé toutes les éventualités et fixé la direction qu'il devrait suivre quand il serait sur les toits, car il prononça:
-Aucun de ces gens ne se risquera à nous poursuivre sur ce chemin. Il faut être acculé à la mort, comme nous, pour le faire. Donc pas d'attaque par-derrière à redouter… Donc, je puis, sans scrupule, passer le premier. Je le puis d'autant plus qu'on pourrait nous guetter à une de ces lucarnes que je vois par là.
-Pourquoi, insinua Landry Coquenard, ne pas nous glisser par une de ces lucarnes… si nous réussissons à aller jusque-là?
Pardaillan le dévisagea. Il était un peu pâle, mais en somme, il ne faisait pas trop mauvaise contenance, le digne Landry.
-Crois-tu donc qu'ils ne nous verront pas? dit-il avec douceur. Nous n'aurions fait que reculer pour mieux sauter.
-C'est juste, reconnut Landry.
-Non, reprit Pardaillan, il faut, au contraire, éviter les lucarnes, que nous trouverons sur notre chemin. Fiez-vous-en à moi et suivez-moi… sans perdre pied, si c'est possible.
Il dégaina. Valvert et Landry en firent autant. Il enjamba la fenêtre et se laissa doucement glisser dans l'étroite gouttière. Là, l'épée au poing, il fit deux pas dans la direction des Halles et s'arrêta, attendant ses compagnons.
En bas, dans la rue, son apparition fut saluée par des clameurs épouvantables. Aux fenêtres, quelques braves bourgeois éprouvèrent le besoin de donner la mesure de leur courage et de leur magnanimité en vociférant:
-Le voilà!…
-Le truand se sauve!…
-Sus! arrête! arrête!…
Presque aussitôt après, Landry Coquenard suivit et, derrière lui, Odet de Valvert parut à son tour. Et cette double apparition, comme la première, fut accueillie par des clameurs sauvages, des hurlements féroces, d'ignobles injures.
-En route, commanda Pardaillan de sa voix brève.
Et il partit aussitôt. Les deux autres le suivaient, l'épée au poing comme lui. Ils marchaient lentement, mais d'un pas ferme. Ils tenaient les yeux fixés droit devant eux, évitant avec soin de regarder le vide et son attirance mortelle. Et alors, un silence haletant s'abattit sur la rue.
Pardaillan avançait toujours dans la direction des Halles. Ils avaient déjà dépassé deux ou trois maisons. Tout à coup, il s'arrêta, et, sans se retourner, commanda:
-Halte!
Et, tout de suite après, il commanda:
-Attention, ils vont nous arquebuser. Couchez-vous sur la pente du toit.
En parlant ainsi, il leur donnait l'exemple. Ils l'imitèrent avec toute la promptitude que permettait leur équilibre instable. Au même instant, plusieurs détonations éclatèrent et se confondirent en une formidable explosion. Ils entendirent siffler les balles au-dessus de leurs têtes et venir s'aplatir avec un bruit sec contre les ardoises dont quelques-unes se détachèrent, roulèrent, tombèrent dans la rue, au milieu de l'épais nuage de fumée provoqué par l'explosion.
Pardaillan se redressa avec précaution en disant:
-En route!… Et ne perdons pas une seconde, car il est probable qu'ils vont recommencer.
Ils repartirent de plus belle. Pardaillan allongeait le pas d'une manière sensible. Et les autres, entraînés, faisaient comme lui, sans s'en apercevoir peut-être. Ils firent ainsi une vingtaine de pas.
En bas, la meute enragée manifestait son dépit par de nouveaux hurlements. Et ils l'entendaient. Ils entendaient les ordres brefs que les chefs lançaient d'une voix rageuse. Aux fenêtres, le silence continuait à peser. Les badauds féroces qui occupaient ces fenêtres commençaient à sentir confusément la hideur de cette impitoyable chasse à l'homme, dans des conditions aussi tragiques et qui n'étaient vraiment pas à l'honneur des chasseurs. Maintenant ils se sentaient angoissés. Et plus d'un qui avait stupidement hurlé: «À mort!» sans savoir pourquoi, se surprenait à souhaiter que les trois hardis compagnons échappassent à leurs implacables ennemis.
Les trois fugitifs avançaient toujours, lentement, mais sûrement. Pardaillan guignait le but qu'il se proposait d'atteindre et qui se rapprochait insensiblement. Ce but momentané, c'était la rencontre de deux toits. Cela formait une manière d'étroit couloir à droite et à gauche duquel se dressaient les deux toits aux pentes raides. Ces deux toits constituaient ainsi comme deux garde-fous qui rendaient toute chute impossible. Ils se trouveraient dans un espace étroit, encaissé, mais assez solide, et où ils pourraient évoluer avec assurance, délivrés de cette horrible appréhension d'un faux pas qui pouvait les précipiter dans le vide.
De plus, comme il leur fallait tourner à gauche, ils s'éloigneraient de la rue de la Cossonnerie et de ceux qui la gardaient. Ils deviendraient invisibles, on perdrait leurs traces, on ne pourrait plus les arquebuser froidement comme on venait de le faire.
En bas, ils comprirent la manœuvre, ils comprirent que leur proie allait leur échapper. De nouvelles vociférations éclatèrent, suivies de nouveaux ordres. Les arquebuses furent rechargées à la hâte.
Pardaillan allongea encore le pas. Et brusquement, il sauta à gauche, disparut en criant:
-Vite.
Il se retourna aussitôt. Landry Coquenard paraissait. Il le harponna solidement, le tira à lui, l'enleva, le poussa derrière lui. De nouveau, il allongea les puissantes tenailles qu'étaient ses mains, saisit Odet de Valvert, comme il avait saisi Landry, le souleva dans ses bras vigoureux, et se laissa tomber à plat ventre, en l'entraînant avec lui.
Il était temps: une nouvelle détonation, plus formidable que la première, salua cette prodigieuse retraite qui venait de s'accomplir avec succès et avec une rapidité foudroyante. Lorsque Pardaillan estima qu'ils devaient être assez loin pour qu'on ne pût pas les voir, il s'assit le plus commodément qu'il put, et invita:
-Soufflons un peu.
Ils s'accommodèrent de leur mieux comme lui, et ils soufflèrent. Ils en avaient besoin. Ils étaient haletants, livides, hérissés, ruisselants de sueur. Maintenant que la réaction se faisait, ils se sentaient à bout de forces. Ils durent s'appuyer les épaules au toit. Et ils restèrent ainsi étendus, face au soleil qui les réchauffait de ses rayons bienfaisants. Ils restèrent ainsi un long moment, sans trouver la force de parler, la tête vide de pensées.
Ce fut Pardaillan qui, le premier, reprit ses esprits, se secoua, revint au sentiment de la réalité. Et il les galvanisa en disant:
-Il ne s'agit pas de s'endormir ici. Tout n'est pas dit encore, nous sommes loin d'être hors d'affaire. Ce que nous avons fait jusqu'ici n'est rien comparé à ce qui nous reste à faire.
Ils se redressèrent tous les deux, aussi résolus l'un que l'autre. Ils repartirent, Pardaillan ayant repris la tête. Durant un assez long temps, ils m...

Table des matières

  1. Titre
  2. Chapitre 1 - SUITE DE L’ALGARADE DE LA RUE DE LA COSSONNERIE
  3. Chapitre 2 - LA DAME EN BLANC
  4. Chapitre 3 - LA DAME EN BLANC (suite)
  5. Chapitre 4 - GISELLE D’ANGOULÊME
  6. Chapitre 5 - L’ENVOYÉ EXTRAORDINAIRE DE S. M. LE ROI D’ESPAGNE
  7. Chapitre 6 - LA PRÉSENTATION
  8. Chapitre 7 - L’ENVOYÉ DU MORT
  9. Chapitre 8 - OÙ VALVERT TIENT LA PROMESSE QU’IL A FAITE À ROSPIGNAC
  10. Chapitre 9 - OÙ VALVERT TIENT LA PROMESSE QU’IL A FAITE À ROSPIGNAC (suite)
  11. Chapitre 10 - OÙ PARDAILLAN INTERVIENT ENCORE
  12. Chapitre 11 - FLORENCE
  13. Chapitre 12 - LA SORTIE DU LOUVRE
  14. Chapitre 13 - CE QUI S’ENSUIVIT
  15. Chapitre 14 - ODET DE VALVERT PART EN EXPÉDITION
  16. Chapitre 15 - SUR LES BORDS DE LA SEINE
  17. Chapitre 16 - LES MILLIONS ESPAGNOLS
  18. Chapitre 17 - LE RETOUR
  19. Chapitre 18 - OÙ L’ON VOIT QUE PARDAILLAN AVAIT PENSÉ À TOUT…
  20. Chapitre 19 - LA GORELLE
  21. Chapitre 20 - STOCCO ET LA GORELLE
  22. Chapitre 21 - LE DÉVOUEMENT DE LÉONORA
  23. Chapitre 22 - LÉONORA À L’ŒUVRE
  24. Chapitre 23 - À QUOI TENDAIT LA MANŒUVRE DE LÉONORA
  25. Chapitre 24 - PARDAILLAN AGIT ENCORE POUR LES AUTRES
  26. Chapitre 25 - CE QUE N’AVAIT PAS PRÉVU PARDAILLAN QUI CROYAIT AVOIR PENSÉ À TOUT
  27. Chapitre 26 - LES MILLIONS ESPAGNOLS
  28. Chapitre 27 - LA MÉSAVENTURE DE LANDRY COQUENARD
  29. Chapitre 28 - OÙ LA MÉSAVENTURE DE LANDRY COQUENARD DEVIENT UNE BONNE AFFAIRE
  30. Chapitre 29 - LE MARIAGE DE FLORENCE
  31. Chapitre 30 - LE MARIAGE DE FLORENCE (suite)
  32. Chapitre 31 - LE RENDEZ-VOUS DE FAUSTA
  33. Chapitre 32 - FAUSTA PREND SES DISPOSITIONS
  34. Chapitre 33 - LE MARIAGE DE FLORENCE (fin)
  35. Chapitre 34 - L’EXPLOSION
  36. ÉPILOGUE
  37. Notes de bas de page