La Cousine Bette
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La Cousine Bette

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La Cousine Bette

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À propos de ce livre

La Cousine Bette was written in the year 1847 by Honoré de Balzac. This book is one of the most popular novels of Honoré de Balzac, and has been translated into several other languages around the world.

This book is published by Booklassic which brings young readers closer to classic literature globally.

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Informations

Éditeur
Booklassic
ISBN
9789635228188

Chapitre 1 Où la passion va-t-elle se nicher ?

Vers le milieu du mois de juillet de l’année 1838, une de ces voitures nouvellement mises en circulation sur les places de Paris et nommées des milords cheminait, rue de l’Université, portant un gros homme de taille moyenne, en uniforme de capitaine de la garde nationale.
Dans le nombre de ces Parisiens accusés d’être si spirituels, il s’en trouve qui se croient infiniment mieux en uniforme que dans leurs habits ordinaires, et qui supposent chez les femmes des goûts assez dépravés pour imaginer qu’elles seront favorablement impressionnées à l’aspect d’un bonnet à poil et par le harnais militaire.
La physionomie de ce capitaine appartenant à la 2e légion respirait un contentement de lui-même qui faisait resplendir son teint rougeaud et sa figure passablement joufflue. À cette auréole que la richesse acquise dans le commerce met au front des boutiquiers retirés, on devinait l’un des élus de Paris, au moins ancien adjoint de son arrondissement. Aussi, croyez que le ruban de la Légion d’honneur ne manquait pas sur la poitrine, crânement bombée à la prussienne. Campé fièrement dans le coin du milord, cet homme décoré laissait errer son regard sur les passants, qui souvent, à Paris, recueillent ainsi d’agréables sourires adressés à de beaux yeux absents.
Le milord arrêta dans la partie de la rue comprise entre la rue de Bellechasse et la rue de Bourgogne, à la porte d’une grande maison nouvellement bâtie sur une portion de la cour d’un vieil hôtel à jardin. On avait respecté l’hôtel, qui demeurait dans sa forme primitive au fond de la cour diminuée de moitié.
À la manière seulement dont le capitaine accepta les services du cocher pour descendre du milord, on eût reconnu le quinquagénaire. Il y a des gestes dont la franche lourdeur a toute l’indiscrétion d’un acte de naissance. Le capitaine remit son gant jaune à sa main droite, et, sans rien demander au concierge, se dirigea vers le perron du rez-de-chaussée de l’hôtel d’un air qui disait : « Elle est à moi ! » Les portiers de Paris ont le coup d’œil savant, ils n’arrêtent point les gens décorés, vêtus de bleu, à démarche pesante ; enfin ils connaissent les riches.
Ce rez-de-chaussée était occupé tout entier par M. le baron Hulot d’Ervy, commissaire ordonnateur sous la République, ancien intendant général d’armée, et alors directeur d’une des plus importantes administrations du ministère de la guerre, conseiller d’Etat, grand officier de la Légion d’honneur, etc., etc.
Ce baron Hulot s’était nommé lui-même d’Ervy, lieu de sa naissance, pour se distinguer de son frère, le célèbre général Hulot, colonel des grenadiers de la garde impériale, que l’empereur avait créé comte de Forzheim, après la campagne de 1809. Le frère aîné, le comte, chargé de prendre soin de son frère cadet, l’avait, par prudence paternelle, placé dans l’administration militaire où, grâce à leurs doubles services, le baron obtint et mérita la faveur de Napoléon. Dès 1807, le baron Hulot était intendant général des armées en Espagne.
Après avoir sonné, le capitaine bourgeois fit de grands efforts pour remettre en place son habit, qui s’était autant retroussé par derrière que par devant, poussé par l’action d’un ventre piriforme. Admis aussitôt qu’un domestique en livrée l’eut aperçu, cet homme important et imposant suivit le domestique, qui dit en ouvrant la porte du salon :
– M. Crevel !
En entendant ce nom, admirablement approprié à la tournure de celui qui le portait, une grande femme blonde, très bien conservée, parut avoir reçu comme une commotion électrique et se leva.
– Hortense, mon ange, va dans le jardin avec ta cousine Bette, dit-elle vivement à sa fille, qui brodait à quelques pas d’elle.
Après avoir gracieusement salué le capitaine, Mlle Hortense Hulot sortit par une porte-fenêtre, en emmenant avec elle une vieille fille sèche qui paraissait plus âgée que la baronne, quoiqu’elle eût cinq ans de moins.
– Il s’agit de ton mariage, dit la cousine Bette à l’oreille de sa petite cousine Hortense, sans paraître offensée de la façon dont la baronne s’y prenait pour les renvoyer, en la comptant pour presque rien.
La mise de cette cousine eût, au besoin, expliqué ce sans-gêne.
Cette vieille fille portait une robe de mérinos, couleur raisin de Corinthe, dont la coupe et les lisérés dataient de la Restauration, une collerette brodée qui pouvait valoir trois francs, un chapeau de paille cousue à coques de satin bleu bordées de paille comme on en voit aux revendeuses de la Halle. À l’aspect de souliers en peau de chèvre dont la façon annonçait un cordonnier du dernier ordre, un étranger aurait hésité à saluer la cousine Bette comme une parente de la maison, car elle ressemblait tout à fait à une couturière en journée. Néanmoins, la vieille fille ne sortit pas sans faire un petit salut affectueux à M. Crevel, salut auquel ce personnage répondit par un signe d’intelligence.
– Vous viendrez demain, n’est-ce pas, mademoiselle Fischer ? dit-il.
– Vous n’avez pas de monde ? demanda la cousine Bette.
– Mes enfants et vous, voilà tout, répliqua le visiteur.
– Bien, répondit-elle, comptez alors sur moi.
– Me voici, madame, à vos ordres, dit le capitaine de la milice bourgeoise en saluant de nouveau la baronne Hulot.
Et il jeta sur Mme Hulot un regard comme Tartuffe en jette à Elmire, quand un acteur de province croit nécessaire de marquer les intentions de ce rôle, à Poitiers ou à Coutances.
– Si vous voulez me suivre par ici, monsieur, nous serons beaucoup mieux que dans ce salon pour causer d’affaires, dit Mme Hulot en désignant une pièce voisine qui, dans l’ordonnance de l’appartement formait un salon de jeu.
Cette pièce n’était séparée que par une légère cloison du boudoir dont la croisée donnait sur le jardin, et Mme Hulot laissa M. Crevel seul pendant un moment, car elle jugea nécessaire de fermer la croisée et la porte du boudoir, afin que personne ne pût y venir écouter. Elle eut même la précaution de fermer également la porte-fenêtre du grand salon, en souriant à sa fille et à sa cousine, qu’elle vit établies dans un vieux kiosque au fond du jardin. Elle revint en laissant ouverte la porte du salon de jeu, afin d’entendre ouvrir celle du grand salon, si quelqu’un y entrait. En allant et venant ainsi, la baronne, n’étant observée par personne, laissait dire à sa physionomie toute sa pensée ; et qui l’aurait vue eût été presque épouvanté de son agitation. Mais, en revenant de la porte d’entrée du grand salon au salon de jeu, sa figure se voila sous cette réserve impénétrable que toutes les femmes, même les plus franches, semblent avoir à commandement.
Pendant ces préparatifs au moins singuliers, le garde national examinait l’ameublement du salon où il se trouvait. En voyant les rideaux de soie, anciennement rouges, déteints en violet par l’action du soleil, et limés sur les plis par un long usage, un tapis d’où les couleurs avaient disparu, des meubles dédorés et dont la soie marbrée de taches était usée par bandes, des expressions de dédain, de contentement et d’espérance se succédèrent naïvement sur sa plate figure de commerçant parvenu. Il se regardait dans la glace, par-dessus une vieille pendule Empire, en se passant lui-même en revue, quand le frou-frou de la robe de soie lui annonça la baronne. Et il se remit aussitôt en position.
Après s’être jetée sur un petit canapé, qui certes avait été fort beau vers 1809, la baronne, indiquant à Crevel un fauteuil dont les bras étaient terminés par des têtes de sphinx bronzées dont la peinture s’en allait par écailles en laissant voir le bois par places, lui fit signe de s’asseoir.
– Ces précautions que vous prenez, madame, seraient d’un charmant augure pour un…
– Un amant, répliqua-t-elle en interrompant le garde national.
– Le mot est faible, dit-il en plaçant sa main droite sur son cœur et roulant des yeux qui font presque toujours rire une femme quand elle leur voit froidement une pareille expression ; amant ! amant ! dites ensorcelé…

Chapitre 2 De beau-père à belle-mère

– Écoutez, monsieur Crevel, reprit la baronne, trop sérieuse pour pouvoir rire, vous avez cinquante ans, c’est dix de moins que M. Hulot, je le sais ; mais, à mon âge, les folies d’une femme doivent être justifiées par la beauté, par la jeunesse, par la célébrité, par le mérite, par quelques-unes des splendeurs qui nous éblouissent au point de nous faire tout oublier, même notre âge. Si vous avez cinquante mille livres de rente, votre âge contre-balance bien votre fortune ; ainsi de tout ce qu’une femme exige, vous ne possédez rien…
– Et l’amour ? dit le garde national en se levant et s’avançant, un amour qui…
– Non, monsieur, de l’entêtement ! dit la baronne en l’interrompant pour en finir avec cette ridiculité.
– Oui, de l’entêtement et de l’amour, reprit-il, mais aussi quelque chose de mieux, des droits…
– Des droits ? s’écria Mme Hulot, qui devint sublime de mépris, de défi, d’indignation. Mais, reprit-elle, sur ce ton, nous ne finirons jamais, et je ne vous ai pas demandé de venir ici pour causer de ce qui vous a fait bannir malgré l’alliance de nos deux familles…
– Je l’ai cru…
– Encore ! reprit-elle. Ne voyez-vous pas, monsieur, à la manière leste et dégagée dont je parle d’amant, d’amour, de tout ce qu’il y a de plus scabreux pour une femme, que je suis parfaitement sûre de rester vertueuse ? Je ne crains rien, pas même d’être soupçonnée en m’enfermant avec vous. Est-ce là la conduite d’une femme faible ? Vous savez bien pourquoi je vous ai prié de venir !…
– Non, madame, répliqua Crevel en prenant un air froid.
Il se pinça les lèvres et se remit en position.
– Eh bien, je serai brève pour abréger notre mutuel supplice, dit la baronne Hulot en regardant Crevel.
Crevel fit un salut ironique dans lequel un homme du métier eût reconnu les grâces d’un ancien commis voyageur.
– Notre fils a épousé votre fille…
– Et si c’était à refaire !… dit Crevel.
– Ce mariage ne se ferait pas, répondit vivement la baronne, je m’en doute. Néanmoins, vous n’avez pas à vous plaindre. Mon fils est non seulement un des premiers avocats de Paris, mais encore le voici député depuis un an, et son début à la Chambre est assez éclatant pour faire supposer qu’avant peu de temps il sera ministre. Victorin a été nommé deux fois rapporteur de lois importantes, et il pourrait déjà devenir, s’il le voulait, avocat général à la cour de cassation. Si donc vous me donnez à entendre que vous avez un gendre sans fortune…
– Un gendre que je suis obligé de soutenir, reprit Crevel, ce qui me semble pis, madame. Des cinq cent mille francs constitués en dot à ma fille, deux cents ont passé Dieu sait à quoi !… à payer les dettes de monsieur votre fils, à meubler mirobolamment sa maison, une maison de cinq cent mille francs qui rapporte à peine quinze mille francs, puisqu’il en occupe la plus belle partie, et sur laquelle il redoit deux cent soixante mille francs. Le produit couvre à peine les intérêts de la dette. Cette année, je donne à ma fille une vingtaine de mille francs pour qu’elle puisse nouer les deux bouts. Et mon gendre, qui gagnait trente mille francs au Palais, disait-on, va négliger le Palais pour la Chambre…
– Ceci, monsieur Crevel, est encore un hors-d’œuvre, et nous éloigne du sujet. Mais, pour en finir là-dessus, si mon fils devient ministre, s’il vous fait nommer officier de la Légion d’honneur et conseiller de préfecture à Paris, pour un ancien parfumeur, vous n’aurez pas à vous plaindre…
– Ah ! nous y voici, madame. Je suis un épicier, un boutiquier, un ancien débitant de pâte d’amande, d’eau de Portugal, d’huile céphalique, on doit me trouver bien honoré d’avoir marié ma fille unique au fils de M. le baron Hulot d’Ervy, ma fille sera baronne. C’est régence, c’est Louis XV, Oeil-de-bœuf ! c’est très bien… J’aime Célestine comme on aime une fille unique, je l’aime tant, que, pour ne lui donner ni frère ni sœur, j’ai accepté tous les inconvénients du veuvage à Paris (et dans la force de l’âge, madame !), mais sachez bien que, malgré cet amour insensé pour ma fille, je n’entamerai pas ma fortune pour votre fils, dont les dépenses ne me paraissent pas claires, à moi, ancien négociant…
– Monsieur, vous voyez en ce moment même, au ministère du Commerce, M. Popinot, un ancien droguiste de la rue des Lombards…
– Mon ami, madame !… dit le parfumeur retiré; car, moi, Célestin Crevel, ancien premier commis du père César Birotteau, j’ai acheté le fonds dudit Birotteau, beau-père de Popinot, lequel Popinot était simple commis dans cet établissement, et c’est lui qui me le rappelle, car il n’est pas fier (c’est une justice à lui rendre) avec les gens bien posés et qui possèdent soixante mille francs de rente.
– Eh bien, monsieur, les idées que vous qualifiez par le mot régence ne sont donc plus de mise à une époque où l’on accepte les hommes pour leur valeur personnelle ; et c’est ce que vous avez fait en mariant votre fille à mon fils…
– Vous ne savez pas comment s’est conclu ce mariage !… s’écria Crevel. Ah ! maudite vie de garçon ! Sans mes déportements, ma Célestine serait aujourd’hui la vicomtesse Popinot !
– Mais, encore une fois, ne récriminons pas sur des faits accomplis, reprit énergiquement la baronne. Parlons du sujet de plainte que me donne votre étrange conduite. Ma fille Hortense a pu se marier, le mariage dépendait entièrement de vous, j’ai cru à des sentiments généreux chez vous, j’ai pensé que vous auriez rendu justice à une femme qui n’a jamais eu dans le cœur d’autre image que celle de son mari, que vous auriez reconnu la nécessité pour elle de ne pas recevoir un homme capable de la compromettre, et que vous vous seriez empressé, par honneur pour la famille à laquelle vous vous êtes allié, de favoriser l’établissement d’Hortense avec M. le conseiller Lebas… Et vous, monsieur, vous avez fait manquer ce mariage…
– Madame, répondit l’ancien parfumeur, j’ai agi en honnête homme. On est venu me demander si les deux cent mille francs de dot attribués à Mlle Hortense seraient payés. J’ai répondu textuellement ceci : « Je ne le garantirais pas. Mon gendre, à qui la famille Hulot a constitué cette somme en dot, avait des dettes, et je crois que, si M. Hulot d’Ervy mourait demain, sa veuve serait sans pain. » Voilà, belle dame.
– Auriez-vous tenu ce langage, monsieur, demanda Mme Hulot en regardant fixement Crevel, si pour vous j’eusse manqué à mes devoirs ?
– Je n’aurais pas eu le droit de le dire, chère Adeline, s’écria ce singulier amant en coupant la parole à la baronne, car vous trouveriez la dot dans mon portefeuille…
Et, joignant la preuve à la parole, le gros Crevel mit un genou en terre et baisa la main de Mme Hulot, en la voyant plongée par ces paroles dans une muette horreur qu’il prit pour de l’hésitation.
– Acheter le bonheur de ma fille au prix de ?… Oh ! levez-vous, monsieur, ou je sonne…
L’ancien parfumeur se releva très difficilement. Cette circonstance le rendit si furieux, qu’il se remit en position. Presque tous les hommes affectionnent une posture par laquelle ils croient faire ressortir tous les avantages dont les a doués la nature. Cette attitude, chez Crevel, consistait à se croiser les bras à la Napoléon, en mettant sa tête de trois quarts, et jetant son regard comme le peintre le lui faisait lancer dans son portrait, c’est-à-dire à l’horizon.
– Conserver, dit-il avec une fureur bien jouée, conserver sa foi à un libert…
–...

Table des matières

  1. Titre
  2. Chapitre 1 - Où la passion va-t-elle se nicher ?
  3. Chapitre 2 - De beau-père à belle-mère
  4. Chapitre 3 - Josépha
  5. Chapitre 4 - Attendrissement subit du parfumeur
  6. Chapitre 5 - Comment on peut marier les belles filles sans fortune
  7. Chapitre 6 - Le capitaine perd la bataille
  8. Chapitre 7 - Une belle vie de femme
  9. Chapitre 8 - Hortense
  10. Chapitre 9 - Un caractère de vieille fille
  11. Chapitre 10 - L’amoureux de Bette
  12. Chapitre 11 - Entre vieille et jeune fille
  13. Chapitre 12 - M. Le Baron Hector Hulot d’Ervy
  14. Chapitre 13 - Le Louvre
  15. Chapitre 14 - Où l’on voit que les jolies femmes se trouvent sous les pas des libertins comme les dupes vont au-devant des fripons
  16. Chapitre 15 - Le ménage Marneffe
  17. Chapitre 16 - La mansarde des artistes
  18. Chapitre 17 - Histoire d’un exilé
  19. Chapitre 18 - Aventure d’une araignée qui trouve dans sa toile une belle mouche trop grosse pour elle
  20. Chapitre 19 - Comment on se quitte au treizième arrondissement
  21. Chapitre 20 - Une de perdue, une de retrouvée
  22. Chapitre 21 - Le roman de la fille
  23. Chapitre 22 - Laissez faire les jeunes filles
  24. Chapitre 23 - Une entrevue
  25. Chapitre 24 - Où le hasard, qui se permet souvent des romans vrais, mène trop bien les choses pour qu’elles aillent longtemps ainsi
  26. Chapitre 25 - Stratégie de Marneffe
  27. Chapitre 26 - Terrible indiscrétion
  28. Chapitre 27 - Confidences suprêmes
  29. Chapitre 28 - Transformation de la Bette
  30. Chapitre 29 - De la vie et des opinions de M. Crevel
  31. Chapitre 30 - Suite du précédent
  32. Chapitre 31 - Dernière tentative de Caliban sur Ariel
  33. Chapitre 32 - La vengeance manquée
  34. Chapitre 33 - Comment se font beaucoup de contrats de mariage
  35. Chapitre 34 - Un magnifique exemplaire de séide
  36. Chapitre 35 - Où la queue des romans ordinaires se trouve au milieu de cette histoire trop véridique, assez anacréontique et terriblement morale
  37. Chapitre 36 - Les deux nouvelles mariées
  38. Chapitre 37 - Réflexions morales sur l’immoralité
  39. Chapitre 38 - Où l’on voit l’effet des opinions de Crevel
  40. Chapitre 39 - Le bel Hulot démantelé
  41. Chapitre 40 - Une des sept plaies de Paris
  42. Chapitre 41 - Espérances de la cousine Bette
  43. Chapitre 42 - A quelles extrémités les libertins réduisent leurs femmes légitimes
  44. Chapitre 43 - La famille attristée
  45. Chapitre 44 - Le dîner
  46. Chapitre 45 - Un revenant à revenu
  47. Chapitre 46 - A quel âge les hommes à bonnes fortunes deviennent jaloux
  48. Chapitre 47 - Une première scène de haute comédie féminine
  49. Chapitre 48 - Scène digne des loges
  50. Chapitre 49 - Deuxième scène de haute comédie féminine
  51. Chapitre 50 - Crevel se venge
  52. Chapitre 51 - La petite maison du sieur Crevel
  53. Chapitre 52 - Deux confrères de la grande confrérie des confrères
  54. Chapitre 53 - Deux vrais enragés buveurs
  55. Chapitre 54 - Autre vue d’un ménage légitime
  56. Chapitre 55 - Ce qui fait les grands artistes
  57. Chapitre 56 - Effet de la lune de miel dans les arts
  58. Chapitre 57 - De la sculpture
  59. Chapitre 58 - Où l’on voit la puissance de ce grand dissolvant social, la misère
  60. Chapitre 59 - Considérations sur les mouches
  61. Chapitre 60 - Une belle entrée
  62. Chapitre 61 - Des Polonais en général et de Steinbock en particulier
  63. Chapitre 62 - Commentaires sur l’histoire de Dalila
  64. Chapitre 63 - Jeune, artiste et Polonais que vouliez-vous qu’il fit ?
  65. Chapitre 64 - Retour au logis
  66. Chapitre 65 - Le premier coup de poignard
  67. Chapitre 66 - La première querelle de la vie conjugale
  68. Chapitre 67 - Un soupçon suit toujours le premier coup de poignard
  69. Chapitre 68 - Un enfant trouvé
  70. Chapitre 69 - Second père de la chambre Marneffe
  71. Chapitre 70 - Différence entre la mère et la fille
  72. Chapitre 71 - Troisième père de la chambre Marneffe
  73. Chapitre 72 - Les cinq pères de l’église Marneffe
  74. Chapitre 73 - Exploitation au père
  75. Chapitre 74 - Un triste bonheur
  76. Chapitre 75 - Quels ravages font les madame Marneffe au sein des familles
  77. Chapitre 76 - Résumé de l’histoire des favorites
  78. Chapitre 77 - Audace d’un des cinq pères
  79. Chapitre 78 - Autre sommation
  80. Chapitre 79 - La porte au nez
  81. Chapitre 80 - Un réveil
  82. Chapitre 81 - Son, recoupe et recoupette
  83. Chapitre 82 - Opération chirurgicale
  84. Chapitre 83 - Réflexions morales
  85. Chapitre 84 - Fructus Belli, tout retombe sur le ministère de la guerre
  86. Chapitre 85 - Autre désastre
  87. Chapitre 86 - Autre toilette
  88. Chapitre 87 - Une courtisane sublime
  89. Chapitre 88 - Crevel professe
  90. Chapitre 89 - Où la fausse courtisane se révèle une sainte
  91. Chapitre 90 - Autre guitare
  92. Chapitre 91 - Un trait du maréchal Hulot
  93. Chapitre 92 - La mercuriale du prince
  94. Chapitre 93 - Très court duel entre le maréchal Hulot, comte de Forzheim, et Son Excellence monseigneur le maréchal Cottin, prince de Wissembourg, duc d’Orfano, ministre de la guerre.
  95. Chapitre 94 - Théorie des canards
  96. Chapitre 95 - La mercuriale du frère
  97. Chapitre 96 - Un bel enterrement
  98. Chapitre 97 - Départ du père prodigue
  99. Chapitre 98 - Où Josépha disparaît
  100. Chapitre 99 - Une agrafe
  101. Chapitre 100 - Le legs du Maréchal
  102. Chapitre 101 - Grands changements
  103. Chapitre 102 - L’Epée de Damoclès
  104. Chapitre 103 - L’ami du baron Hulot
  105. Chapitre 104 - Le vice et la vertu
  106. Chapitre 105 - Liquidation de la maison Thoul et Bijou
  107. Chapitre 106 - L’ange et le démon chassant de compagnie
  108. Chapitre 107 - Autre démon
  109. Chapitre 108 - La police
  110. Chapitre 109 - Changement du père Thoul en père Thorec
  111. Chapitre 110 - Une scène de famille
  112. Chapitre 111 - Une autre scène de famille
  113. Chapitre 112 - Effet de chantage
  114. Chapitre 113 - Combabus
  115. Chapitre 114 - Un dîner de lorettes
  116. Chapitre 115 - Où l’on voit Mme Nourrisson à l’ouvrage
  117. Chapitre 116 - Ce qu’est une petite maison en 1840
  118. Chapitre 117 - Dernière scène de haute comédie féminine
  119. Chapitre 118 - La vengeance tombe sur Valérie
  120. Chapitre 119 - Le frère quêteur
  121. Chapitre 120 - Propos de médecin
  122. Chapitre 121 - Le doigt de Dieu et celui du Brésilien
  123. Chapitre 122 - Le dernier mot de Valérie
  124. Chapitre 123 - Les derniers mots de Crevel
  125. Chapitre 124 - Un des cotés de la spéculation
  126. Chapitre 125 - Où l’on ne dit pas pourquoi tous les fumistes de Paris sont Italiens
  127. Chapitre 126 - La nouvelle Atala tout aussi sauvage que l’autre et pas aussi catholique
  128. Chapitre 127 - Continuation du précédent
  129. Chapitre 128 - Une reconnaissance
  130. Chapitre 129 - Le dernier mot d’Atala
  131. Chapitre 130 - Retour du père prodigue
  132. Chapitre 131 - Eloge de l’oubli
  133. Chapitre 132 - Un dénouement atroce, réel et vrai